Le monde politique ignore les sciences humaines

Toutes les sciences ne sont pas égales aux yeux du politique. Lors de la répartition des crédits domine un non-dit: la technique rapporte; la médecine coûte mais est indispensable; les sciences humaines sont, à des degrés variables, plus ou moins inutiles.

Le plus frappant dans le fonctionnement du parlement est l’ignorance des principes fondamentaux du droit que le législatif élabore sans cesse. En partant du texte préparé par un juriste d’un département, la commission compétente se livre à une mise en pièce de ce travail. Tantôt on propose de supprimer un article, tantôt d’en rajouter. Les phrases les plus simples et les plus claires deviennent alambiquées par ajoute de précisions, de conditions, de cautèles.

Les textes de lois sont encore malmenés au plenum du premier conseil et le même processus recommence dans le second conseil. Les divergences entre les deux conseils donnent lieu à des aller-retours qui se terminent  trop souvent par une conférence de conciliation. Si celle-ci échoue, la loi tombe dans une oubliette. Si elle réussit, c’est souvent par hasard ou par lassitude. Il suffit de travailler dans la commission de traduction pour découvrir des incohérences résultant forcément de ce travail à la chaine par des amateurs, qui ne sont pas toujours bien intentionnés. Certaines lois sont vidées de leur substance initiale, d’autres sont durcies jusqu’à devenir inapplicables.

En un mot, élaborer une loi est un travail de juriste, tout comme prescrire un médicament est celui d’un médecin.

L'apprentissage de juriste: des connaissances qui devront ensuite être mises au service de l'élaboration de lois.

Ceci se situe évidemment à des années lumières du célèbre Code Napoléon, pierre angulaire du droit civil français et inspiration de maintes autres législations. La Convention élit le 22 avril 1794 une commission parlementaire composée de Cambacérès, Couthon et Merlin de Douai «chargée de rédiger en un code succinct et complet les lois qui ont été rendues jusqu’à ce jour, en supprimant celles qui sont devenues confuses».

En un mot élaborer une loi est un travail de juriste, tout comme prescrire un médicament est celui d’un médecin et construire un pont celui d’un ingénieur civil. Mais le travail législatif ordinaire ignore cette contrainte. En somme une science humaine, comme le droit, est à la portée de n’importe qui exerçant son bon sens et effectuant ses choix.

Ce qui est vrai pour le droit l’est tout autant pour l’économie. On ne demande pas à un ministre des Finances, fédéral ou cantonal, de témoigner de sa science. C’est sous-entendre qu’au fond celle-ci n’existe pas. Toutes les études du monde ne permettront pas d’équilibrer un budget soumis à des conjonctures contraires, pense-t-on. Et ainsi de suite. Ne parlons même pas de la sociologie, de l’ethnologie ou de la philosophie qui auraient peut-être quelque chose de rationnel à apporter dans des débats qui portent sur ces questions.

Il est une autre façon de concevoir la gestion de la cité. Elle consiste à comprendre, à admettre et à pratiquer le lien qui va du spirituel au culturel, de celui-ci à la politique, de celle-ci à l’économie, de celle-ci à la technique et à la science. Le terreau de la politique, ce sont les sciences de l’homme par définition. Mais si celles-ci sont réputées molles, aléatoires, critiquables, faibles, sans résultats et sans rigueur, alors on peut effectivement feindre de les ignorer et se fier aux idéologies, aux croyances, aux opinions.

85 commentaires sur «Le monde politique ignore les sciences humaines»

  • Manuel Lehmann dit :

    Sehr schön und sehr wahr

    • Agnes Juillerat dit :

      Hochgebildet und abgehoben à la Neirynck müsste man sein, um in Sache Politik mithalten zu können. Nur, der inzwischen 80 Jahre alte, belgischstämmige Parlamentarier scheint immer noch nicht zu begreifen, dass er Teil eines politischen Miliz-Systems, einer direkten Demokratie ist.

      • P. Buchegger dit :

        Frau Agnes Juillerat, die Gelehrte vom rechten Rand, ist natürlich Herrn Neirynck intellektuell weit überlegen. Darum kommt sie in der Politik auch selbstredend viel besser draus als der alte, fremde Professor aus dem EU-Feindesland Belgien, den man nie hätte einbürgern dürfen ;-).

  • Bernd Chansri dit :

    Es ist schon eine Leistung von Geisteswissenschaft zu reden ohne Dr. R. Steiner auch nur zu erwähnen – obwohl er doch auch über Politik und Gesellschaft gesprochen hat. Aber so etwas will man dann in einer vom Materialismus geprägten Gesellschaft dann doch lieber nicht hören.

    « Niemals dürfte verquickt werden mit irgendwelchen Machtgelüsten, mit irgendwelchen unmittelbar politischen Bestrebungen dasjenige, was Geisteswissenschaft ist, obwohl selbstverständlich derjenige, der ein guter Geisteswissenschaftler ist, der beste Politiker sein kann. GA174b.1 »

  • tobe or not tobe dit :

    Wie wahr, wie wahr…. Ich nenne das mangelndes Bewusstsein in den Reihen der Politiker und Taktgeber in Bern. Während andere von Untergang im 2012 reden, spreche ich davon, das ein kollektiveres Bewusstsein für solche Veränderungen wie sie es vorschlagen Herr Neirynck schon Heute mehr Anklang findet. Manche merkens, andere verbleiben in alten Muster, da die Angst davor, neues Wahrzunehmen zu gross ist.
    Ein neue Art Politik, ist nicht die, in der die Wirtschaft die Gesetze macht, sonder Kultur, geistige Wissenschaft (keine Religionen!) und auch die stetige Weiterentwicklung von Ideen.

  • Hugo Reichmuth dit :

    M.E. ist das Problem nicht Geistlosigkeit sondern Lobbyismus. Wenn man für einen geschickt eingefügten Satz 15’000 Fr. oder 150’000 Fr. mehr auf dem Konto hat, verrät man schnell seine Geistesschärfe und Prinzipien.
    Da nützen auch 20 Semester Theologie, Philosophie und Juristerei nichts. Für ein hübsches Ferienhäuschen am See wird man jedes noch so notwendige Gesetz verstümmeln.
    Tragisch (und vielaussagend), wenn einem Profi wie Neirynck das noch nicht aufgefallen ist…

  • Ralf Schrader dit :

    Plutarch der Ältere hat die Geringschätzung der Geisteswissenschaften als ein Leitsymptom untergehender Kultur gewertet und so ist es wohl heute. Vergessen gegangen in den letzten 35 Jahren ist auch, dass, wenn es eine medizinische Wissenschaft gäbe, diese eine Humanwissenschaft wäre, welche sich ledigllich naturwissenschaftlicher Erkenntnisse bedient.
    Die der Medizin zugrunde liegenden Begriffe Gesundheit ujd Krankheit sind nur kulturell zu fassen und ich bin mir sicher, wir hätten ein besseres und preiswerteres Gesundheitswesen, wenn dies verstanden würde. Das hätte dann sogar Geldwert.

  • gabriel bender dit :

    Je suis juste étonné que vous classez le droit dans les sciences humaines. Rien pourtant dans le droit n’a de scientifique, ni par les protocoles, ni par les volontés heuristiques. Le droit ne cherche pas a comprendre le monde ou à l’interpréter. C’est une pratique qui vise à mettre de l’ordre, un peu comme la grammaire et l’orthographe, ou comme la littérature. Un texte de loi peut même avoir une esthétique mais rien de scientifique. Heureusement, ce serait la fin du politique.

    • Chappuis Jean-François dit :

      Gabriel, vous avez raison, ne mélangeons pas tout et il faut arrêter de faire des amalgames entre le droit et les sciences humaines !

      • laurent31 dit :

        Je ne comprends pas votre remarque :si le droit n’est pas scientifique, alors c’est une science humaine…

  • Hanspeter Elmer dit :

    Wie hat ein Dr. in Physik und Psychologie richtig festgehalten. In der Physik gibt es Konstanten und Gesetzmässigkeiten, die unveränderlich sind. Dieses Wissen nützt einem nach dem Studium. Beim Psychologiestudium musste ich aber feststellen, dass ich alles, was ich an der Universität gelernt habe, gleich wieder vergessen kann, da eh jeder Mensch anders ist. Und genau das ist auch meine Meinung: Geisteswissenschaften sind viel heisse Luft und wenig Inhalt. Der lic. phil. zum Beispiel ist ein Viel- und Schönredner, der im normalen Berufsleben kaum zu gebrauchen ist.

    • Roger Guardino dit :

      Absolut richtig. Ich akzeptiere sowieso nicht, dass man dieses Gefasel allgemein als Geistes »wissenschaft » bezeichnet. Da ist nichts wissenschaftliches drin. Und praktischen Mehrwert brigen sie auch nicht. Ein lic. phil. Studium ist eine Sackgasse, und zu recht. Solche Leute kann man in einer kompetitiven globalisierten Wirtschaft nicht brauchen, deren einzige Verwendung ist in der Tat die Politik, wo auch viel Blablah wenig Konkretes produziert.

    • Harald Helm dit :

      Herr Elmer, Sie gehören wohl zu jenen Menschen die besser nicht studiert hätten, da es ihnen nicht möglich ist den Transfer vom Gelernten in die Praxis zu bewerkstelligen. Das ist ein Grund weshalb Hürden für die Universitäten durchaus Sinn machen, speziell sollte für die Geisteswissenschaften deshalb die Persönlichkeit getestet werden. Einige Mitmenschen sind einfach besser in praktischen Berufen aufgehoben, zumindest bis zu einer Gewissen Reife.

    • Andreas M. Müller dit :

      Sie scheinen weder irgendein Geisteswissenschaftliches Fach studiert zu haben noch den obigen Text verstanden zu haben.

    • Peter Theiler dit :

      Nach jedem Studium muss man zuerst lernen, dass zwischen Theorie und Praxis noch ein paar Hürden im Raum stehen. Ob dass bei einem Psychologen, Zahnarzt oder Juristen ist. Das hat wenig mit Geistes- vs. anderen Wissenschaften zu tun. Aber von einem Psychologen hätten wir das Wissen um diese Hürden irgendwie vorausgesetzt ;-). Haben Sie wirklich eine Lehranalyse hinter sich ?

      • Leo Arnold dit :

        Tja – Theorie und Praxis: Sag Freund, was ist denn Theorie? Wenns gehen soll und geht doch nie! Sag Freund, was ist denn Praxis nun? Wenns geht und keiner weiss warum! – – Wohl etwas zu einfach und uberspitzt – aber dennoch in Manchem wahr. Beide; Psychologie und Physik geben mehr neue Fragen auf, als siezu beantworten in der Lage sind.

    • Yannick dit :

      Dem Kommentar von Andreas M. Müller möchte ich mich anschliessen. Ein guter lic. phil. kann Sie problemlos über die Anmassungen der anderen Wissenschaften aufklären, denn diese greifen allesamt auf Mittel zurück, welche die Philosophie bereitstellt und überschreiten die Grenzen des Wissen-Könnens sehr oft. Den kritischen Filter dieser ersten Wissenschaft, werden Sie in anderen Wissenschaften in dieser selbstkritischsten Form vergeblich suchen.

    • Greg Müll dit :

      Da ist sie wieder- IDEOLOGIE!Als studierter sollten Sie doch wissen, dass alles solange »wahr »ist, solange nicht das Gegenteil bewiesen ist.Wenn Sie nun um »Werthaftigkeit » der Geisteswissenschaft diskutieren, fordere ich Sie auf, die selben Massstäbe auf Ihre Naturwissenschaften zu übertragen&Sie werden entdecken, dass Ihnen beim Zähneputzen die Quantenphysik auch nichts mehr bringt. »Vergessen »ist dabei nur ein Bewustseinszustand.
      Zudem lernt man, dass der Mensch ein Unterbewusstsein hat, das MITSTEUERT, ob Sie wollen oder nicht. Verdrängung ist eine wichtige menschliche Eigenschaft..

    • tststs dit :

      « In der Physik gibt es Konstanten und Gesetzmässigkeiten, die unveränderlich sind. »
      Ähhh ja genau, deshalb dreht sich die Sonne um unsere Erdscheibe…?!?
      Ich glaube, Sie wollten auf folgendes hinweisen: In den Naturwissenschaften wird Wissen generiert, dass entweder eindeutig richtig oder falsch ist (bis zu einer vermeindlichen Widerlegung). In den Geisteswissenschaften ist dies nicht ganz so einfach; selten gibt es ein eindeutiges Richtig oder Falsch. Dass nicht alle Geister damit zurechtkommen ist nur zu verständlich. Aber gerade die Politik ist auf Konsens und Diskussion ausgelegt und es kann und darf niemals ein ausschliessliches Richtig oder Falsch dabei geben.

    • Andre Marie Ruf dit :

      Danke Herr Elmer für die Zusammenfassung meines Lebens und meines Berufsstandes. Als lic. Phil. konnte ich mich und auch viele meiner Kommilitonen hervorragend ind die Berufswelt integrieren – notabene neben Physiker, Biologen, Wirtschaftlern und Juristen in der gleichen Firma. Uiuiui.

  • Sam Spade dit :

    Der an Grundlagen forschende Physiker, Chemiker und Biologe hat als Partner den gut ausgebildeten Ingenieur, welcher aus grundlegenden Erkenntnisse angewandte Technik baut.
    Der an Grundlagen forschende Geisteswissenschaftler hingegen hat als Partner den (nicht ausgebildeten) Politiker.
    Noch Fragen?

  • tobe or not tobe dit :

    Dass ein Herr von der CVP über Geisteswissenschaften schreibt, wobei viele Christen ja nicht mal die Entstehungstheorie annehmen.
    Was dem Menschen im 2011fehlt, ist Bewusstsein!! Bewusstsein für Natur, Kultur, Menschen und geistige Wissenschaften (KEINE RELIGIONEN!!!)…
    Religionen habe die Wissenschaften zu lange zurückgehalten, unterdrückt, beeinflusst..!

  • hubert schoch dit :

    es ist heikel Geisteswissenschaften zu kritisieren, ähnlich we bei der Kunst. Darum lasse ich es bei diesem Sätzchen bleiben

  • Die Frage ist doch eher ob zuviel oder zuwenig Geisteswissenschaft in der Politik und nicht primär ob überhaupt.Da sich die Geisteswissenschafter oft energisch widersprechen, wird für den Laien klar, alles ist irgendwie Relativ.Angenommen es hätte nur Geisteswissenschafter in der Politik, dann wäre wohl die ganze Wirtschaft blockiert, denn alleine die Gerechtigkeitsfrage im Handel mit dem Ausland hätte uns längst wieder zu dem gemacht was wir einmal waren, ein Mausarmes und unbedeutendes Alpenländli!

  • Mike Meier dit :

    Ja, Herr Neirynckes hat recht als wo der Geist fehlt ins Recht ausgewichen wird – was heute gang und gäbe ist. Leider ist jedoch Recht haben und Recht bekommen zweierlei.
    Herr Neirynck hat jedoch nicht recht, wenn er meint, dass der Geist in unserer Gesellschaft fehlt. Der Fehler liegt in seiner Verteilung in den verschiedenen Systemen. Vereinfacht: die Geisteswissenschaften arbeiten losgelöst von der wirtschaftlichen Realität, und die eher materiellen Wissenschaften arbeiten losgelöst vom Geist.
    Soll die Uni doch endlich ihre Systemsiloartige Struktur ändern. Das wäre ein erster Schritt!

  • PlainCitizen dit :

    Da geht es weniger um Geisteswissenschaften als um eine solide Bildung im Gymnasium.

  • cristiano safado dit :

    Wie will man auch geisteswissenschaftliche Ueberlegungen von all den vielen geistig unterdotierten Parlamentarier verlangen können? Selbst als Bundesrat wird man nur gewählt, wenn man aus dem Durchschnitt nicht herausragt.

  • Harald Helm dit :

    Danke für Ihre Worte Herr Neirynck. Ich hoffe, dass sich die Bürgerlichen Parteien Ihrer Aufgabe als liberale, gebildete und verantwortungsvolle Volksvertreter besinnen, die Leistungen honorieren und nicht Besitz. Gerade die CVP könnte aus dem « Christlich » Gerechtigkeit Solidarität und Mäßigung ableiten (Wie unser christliches Kulturerbe einst die Menschenrechte, nach dem Prinzip vor Gott sind wir alle gleich, hervorbrachte). Stattdessen übertrumpfen sich die Bürgerlichen gegenseitig im banalen Populismus. Dies ist ein Grund für mich nicht bürgerlich zu wählen.

  • cristiano safado dit :

    Wie will man auch geisteswissenschaftliche Ueberlegungen von den meist geistig unterdotierten Parlamentariern erwarten können? Selbst als Bundesrat hat man keine Chance gewählt zu werden, wenn man über den (unter)Durchschnitt herausragt. Die Zeiten der Köpfe sind vorbei. Wer etwas auf sich hält, lässt sich im Regelfall gar nicht in die Politik ein. Ausnahmen bestätigen die Regel. Doch diese Einzelstimmen gehen im Lärm der (parlamentarischen) Massen unter.

  • Dan dit :

    Und jetzt noch mal konkret, lieber Jacques Neirynck, für welche Tätigkeit bei welchem Unternehmen genau ist ein lic. phil. nach seinem Studium befähigt?

    • Gregor Müller dit :

      Sie haben nix begriffen…

      • Hat da vielleicht ein Geisteswissenschafter gesprochen?? Dann verstehe ich die eher distanzierte Haltung der « Ungläubigen »!

        • Yannick dit :

          Nicht jede Geisteswissenschaft hat mit dem Glauben zu tun, Herr Bossert und unsere Wirtschaftswissenschaften könnten in diesem Punkt womöglich gar die Theologie in arge Bedrängnis bringen.

        • Jt dit :

          Wenn sie finden, dass das Wissen zuviel kostet, dann schlage ich Ihnen vor, die Dummheit zu probieren.

      • Dan dit :

        @Jt: Das Gegenteil von Wissen ist Unwissen und nicht Dummheit. Soviel zum Thema Bildung.

      • Ralf Schrader dit :

        Sie müssten das schon näher erklären. Die meisten hier haben tatsächlich nichts begriffen, weil sie weder Politik noch Gesellschaft begreifen. Sie begreifen nicht, dass man, bevor man etwas tut, wissen muss, warum man etwas tut. Dann kommt so etwas heraus, wie ‘für welche Tätigkeit bei welchem Unternehmen genau ist ein lic. phil. nach seinem Studium befähigt?’ und die Aussage, dass die Politik dem individuellen Glücklichsein nützen soll. Mit den Konsequenzen dieser Einfalt müssen wir uns herumschlagen, weil es keine auf Werte (ausser dem Peseudowert Geld) bezogene Bildung mehr gibt.

    • Dan dit :

      @Gregor Müller; Entschuldigung, wollte Sie nicht mit den Niederungen der profanen Realwirtschaft belästigen.

  • Walter Boshalter dit :

    Es mag eine utilitaristische Sicht auf die akademische Welt geben, jedoch keine Geringschätzung in der Qualität der Geisteswissenschaften. Eine Geringschätzung allerdings existiert ganz klar gegenüber der Quantität: Jährlich spühlen die Unis hunderte von Phil. I-Abgängerinnen und -Abgänger in Bereiche, wo vielleicht ein knappes Dutzend benötigt werden. Der grosse Rest endet dann überqualifiziert in irgendwelchen Zwischenjobs mit einer unischeren Zukunftsperspektive.

    • Peter Theiler dit :

      Nur zwei ganz kleine sachliche Korrekturen: seit « Bologna » gibt es diese lic.phil.-Abgänger gar nicht mehr, es heisst schon lange auch bei uns Bachelor und Master (ausser, einer hätte erst nach 25 Semstsern abgeschlossen, aber dann ist da ein anderes Problem vorhanden). Und spülen schreibt man ohne h, auch in der ETH.

    • Karl Bolliger dit :

      « Überqualifikation » bezieht sich immer auf den ausgeführten Job – eine servierende Sinologin mit einem schlechten Gedächtnis ist für diesen Job unterqualifiziert…

  • Alain Burky dit :

    « Er hat schoen gesprochen », pflegte meine Mutter nach dem Kirchenbesuch zu sagen;
    mein Vater hat sich zur selben Zeit lieber um Humanitaet im Bistrot bemueht.
    Das heisst, beide haben sich irgendwie, im weiteren Sinn, « humanwissenschaftlich » betaetigt …

  • Père Siffleur dit :

    Monsieur Neireynck, le jeune PDC de 80 ans, en a mis du temps pour se rendre compte que le terreau de la politique est constitué des sciences de l’homme. Et il ne dit toujours pas que, si la réputation de longtemps avant de nous expliquer que les gens qui disent faire de la politique ont transformé ses sciences en molles, aléatoires, critiquables, faibles, sans résultats et sans rigueur.

  • Ruedi Schmid dit :

    Ziel und Zweck der Politik ist den Bürgern ein glückliches reibungsloses Leben in der Gesellschaft zu regeln. Humanität und Ethik ist der Nährboden und ein entsprechendes Studium sollte von jedem Politiker verlangt werden.

    • Ralf Schrader dit :

      ‘Ziel und Zweck der Politik ist den Bürgern ein glückliches reibungsloses Leben in der Gesellschaft zu regeln.’
      Wo haben Sie denn diesen ausgemachten Unsinn her?

  • Raymond Huber dit :

    Je partage le point de vue de M. Neirynck dans l’absolu et la raison théorique. Néanmoins – et ce temps d’élections fédérales doit nous faire à nouveau réfléchir sur les compétences et mission de nos élus – notre système démocratique de milice nous impose des limites pragmatiques et fatalement éloignées de l’idéal académique. Les intérêts personnels et intimes des parlementaires, sociaux, économiques, culturels, idéologiques, politiques créent l’amalgame de société représentatif de la nation, avec ses qualités et défauts. Le reste n’est que rêveuse utopie ! Ou alors, quelle alternative ?

  • Carmen dit :

    Es lohnt sich heute nicht ueber Dinge nachzudenken die keinen Profit abwerfen. Man muss ja Prioritaeten stetzen. Denn schliesslich haben die letzten 30 Jahre gezeigt, dass solches Denken am Ende alle gluecklich macht. Na gut, vielleicht nicht alle, aber wenigstens einen kleinen Teil der Weltbevoelkerung und das ist doch als grosse Errungenschaft anzusehen, den daraufhin arbeiten wir ja mit aller Kraft, oder nicht?

  • Patricia Galli dit :

    Seit 100 Jahren nimmt die Häufigkeit von Verbrechen nicht ab, allem Wissen von Soziologen, Ethnologen, Philosophen etc zum Trotz. Nach so manchen Generationen müsste man doch bildungs- und erziehungmässig irgendwann delinquenzsenkende Möglichkeiten gefunden haben (am Wohlstand kann es nicht liegen, im Vergleich zu 100 Jahren früher leben wir in Saus und Braus). Das ist für die Allgemeinheit eine teure Sache, insbesondere für die Frauen, welche zwar den gleichen Steuersatz haben, obwohl nur 10% der Gefängnisinsassen Frauen sind.

  • Karl Bolliger dit :

    Jacques Neirynck ist den Beweis schuldig geblieben: er schildert uns das gruppendynamische Geschehen in einer Gruppe, die von phil. I ern & -innen beherrscht wird (wenn wir die Juristen auch dazu zählen dürfen), welches im Chaos endet und behauptet dann, wenn es noch mehr phil. I er & -innen sowie Juristen & -innen im Parlament hätte, wäre der Gesetzschöpfungsprozess geordneter und logischer. Von aussen betrachtet könnte man auch zu anderen Schlüssen kommen, zum Beispiel, dass das Chaos seine Ursache im Bildungshintergrund (« unstrukturierte » Humanisten) der Mehrheit der Parlamentarier hat, etc

    • Andreas M. Müller dit :

      Ihr Kommentar veranlasst mich zu denken, dass Sie wirklich keine Ahnung haben wie Juristen und andere Geisteswissenschaftler denken ansonsten würden Sie dies nicht als « unstrukturiert » qualifizieren.

    • Andreas M. Müller dit :

      Sie scheinen nicht wirklich zu wissen, wie Juristen und andere Geisteswissenschafter denken und arbeiten, ansonsten würden Sie wohl diese nicht als « unstrukturiert » disqualifizieren.

  • Wenn sich die Geisteswissenschafter von uns gewöhnlichen so übergangen und vernachlässigt vorkommen, muss da der Grund zwingend bei uns gesucht werden?? Ich glaube eher das dass ausgewogene Verhältniss zwischen Geisteswissenschaft und den Praktikern gestört ist. Ein Ausdruck davon ist die schier unüberwindbare und oft Widersprüchlich Bürokratie, welche wir allzu oft gerade den Juristen zu verdanken haben! Der angesprochene gesunde Menschenverstand ist zwar keine feste Konstante, sollte aber trotzdem wieder vermehrt gefördert werden, ist er doch auch einfacheren Gemütern zugänglich.

  • Maciej Pietrzak dit :

    cont. In den letzten Tagen die Presse berichtet: vielleicht ist die Lichtgeschwindigkeit überschritten, diesjährige Nobel Prize Winner in der Chemie wurde von Linus Pauling belächelt. Oder stellen Sie sich vor, der Moses kommt mit den X Geboten zu seinem Volk und sagt; soeben habe ich vom Gott X Gebote bekommen, der Gott forscht intensiv und schon jetzt kann er sagen das die Hälfte richtig ist, welche dass wird sich noch stellen. Den Politikern kann man nur eins sagen, Hände weg von der Wissenschaft. Die Wissenschaft wurde von den Politikern mehrmals missbraucht, Stalin (mit Lysenko), cont.

  • Maciej Pietrzak dit :

    Die Wissenschaft mit ständig neuen Theorien und Beweislage eignet sich überhaut nicht für Grundlage für politische und soziale Doktrinen, dazu brauch es eine Religion mit festen Dogmen. Dazu muss man noch sagen, dass die Geisteswissenschaften ehe eine Kunst sind, die mit Naturwissenschaften wenig Gemeinsames haben. In Basel erzählt man eine Anekdote. Der Professor vor dem Vortrag sagt zu den Studenten: von dem was ich jetzt Ihnen erzähle, ist nur die Hälfte wahr, leider weiss ich nicht welche. Stellen Sie sich vor einen Politiker der auf die Bühne kommt und das gleiche sagt. cont.

  • Peter Beutler dit :

    Tja, an Geist mangelt es in der Tat. Auf jeden Fall bei den Parlamentariern auf der rechten Ratsseite. Wie kann man Initiativen zur Abstimmung zulassen, die gegen unsere Verfassung und internationales Recht verstossen? Die Mehrheit wolle es so! Noch 1939 hätten 70% der Deutschen für Hitler gestimmt. Unser Volk sagte mit etwas über 50% Ja zu einem Minarettverbot, der Ausschaffungsinitiative und anderen Volksbegehren, die global akzeptierte Menschenrechte mit Füssen treten. Eine Demokratie hat auch nur dann ihren Namen verdient, wenn sie legitime Anliegen der Minderheiten respektiert.

    • Dan dit :

      Ich sehe das Problem anders; Wir haben eine rückständige und idiologische Linke, die nichts versteht von Wirtschaft und nicht mal den Unterschied zwischen zwingendem und nicht zwingendem Völkerrecht versteht. Noch schwieriger macht es das primitive Nazivokabular, kombiniert mit fehlender Bildung und selektivem Geschichtsbewustsein. Beter Beutler, wer einen solchen Unsinn schreibt wie « Noch 1939 hätten 70% der Deutschen für Hitler gestimmt » (1939 = Diktatur) dem sollte das Wahlrecht entzogen werden – tatsächlich, bei einer solchen Einfältigkeit bekommt man Angst vor der Demokratie.

    • Dan dit :

      Ich sehe das Problem anders; Wir haben eine rückständige und idiologische Linke, die nichts versteht von Wirtschaft und nicht mal den Unterschied zwischen zwingendem und nicht zwingendem Völkerrecht versteht. Noch schwieriger macht es das primitive Nazivokabular, kombiniert mit fehlender Bildung und selektivem Geschichtsbewustsein. Beter Beutler, wer einen solchen Unsinn schreibt wie « Noch 1939 hätten 70% der Deutschen für Hitler gestimmt » (1939 = Dikatatur…) dem sollte das Wahlrecht entzogen werden – tatsächlich, bei einer solchen Einfältigkeit bekommt man Angst vor der Demokratie.

    • Dan dit :

      @Beutler: Ich sehe das Problem anders; Wir haben eine rückständige und idiologische Linke, die nichts versteht von Wirtschaft und nicht mal den Unterschied zwischen zwingendem und nicht zwingendem Völkerrecht versteht. Noch schwieriger macht es das primitive Nazivokabular, kombiniert mit fehlender Bildung und selektivem Geschichtsbewustsein. Beter Beutler, wer einen solchen Unsinn schreibt wie « Noch 1939 hätten 70% der Deutschen für Hitler gestimmt » (1939 = Dikatatur) dem sollte das Wahlrecht entzogen werden – tatsächlich, bei einer solchen Einfältigkeit bekommt man Angst vor der Demokratie.

    • Herr Beutler, nach Ihrer Version der Dinge ist es ein legitimes Anliegen einer Minderheit, in der Schweiz Verbrechen zu begehen und dann auch noch das Privileg zu geniessen in der Schweiz bleiben zu dürfen, während sich andere an die Visabestimmungen halten müssen! Die alte Leier von Hitler pauschal der ganzen rechten Seite anzuhängen betrachte ich als eine Frechheit! Zumal dieser Herr wert auf die Bezeichnung NATIONALSOZIALISMUS legte und in den 30,er Jahren die Leute einfing mit dem Versprechen Arbeit für ALLE zu besorgen, Herr Dr. Beutler.

      • Dan dit :

        @Beutler; Stimmt, an Bildung grundsätzlich scheint es einigen zu mangeln. 1. müsste man den Unterscheid zwischen « zwingendem » und « nicht zwingendem » Völkerrecht kennen und 2. müsste man auch wissen, dass 70 % Zustimmung 1939 vergleichbar sind mit Wahlen in der DDR. Wer das nicht weiss und ein solches Nazivokabular verwendet, der sollte nicht abstimmen oder wählen dürfen, da hege ich sogar schon Sympathien für die antidemokratischen Vorstösse der Linke. Ausserdem sind Sie hier noch im falschen Blog, geht ausnahmsweise nicht um die SVP.

      • Karl Bolliger dit :

        Eine Antwort ist uns Herr Neirynck schuldig: Wenn nur « Geisteswissenschafter » richtig und gut Politik machen können, was sucht dann der Elektroingenieur Neirynck im Parlament? Ich hoffe, er hat eingesehen, dass er dort – gemäss diesem, seinem Beitrag – fehl am Platz sein wird und sich aus dem politischen Leben zurückgezogen.

      • Peter Beutler dit :

        Ist es ein Verbrechen, sich für die Menschenrechte einzusetzen? In den Augen von einigen durchaus! In mehreren Foren bin ich auf Termini wie „Menschenrechtsverbrecher“, „Menschenrechtsmaffia“ gestossen, an diejenigen gerichtet, die auf der europäischen Menschenrechtskonvention beharren. Wir akzeptieren einen solchen Polithooliganismus nicht. Nicht wir sind die Kriminellen, sondern vielmehr die, welche internationale Abkommen in den Dreck ziehen. Wir wissen wohl, dass nicht alle Anliegen legitim sind, nicht die Scharia, aber die freie Ausübung des Glaubens, der Schutz von Verfolgten u.a.m.

    • Kaspar Tanner dit :

      Herr Beutler: Wenn Ihre sämtlichen Aussagen genauso faktenbasiert sind wie diejenige mit den 70 % Deutschen, die 1939 (!) für Hitler gestimmt haben, dann erübrigt sich ein Kommentar. Ausser vielleicht, dass Leute wie Sie der Grund sind, nicht internationalsozialistisch zu wählen.

  • Dan dit :

    Ich sehe das Problem anders; Wir haben eine rückständige und idiologische Linke, die nichts versteht von Wirtschaft und nicht mal den Unterschied zwischen zwingendem und nicht zwingendem Völkerrecht versteht. Noch schwieriger macht es das primitive Nazivokabular, kombiniert mit fehlender Bildung und selektivem Geschichtsbewustsein. Beter Beutler, wer einen solchen Unsinn schreibt wie « Noch 1939 hätten 70% der Deutschen für Hitler gestimmt » ( 1939=Dikatatur…), dem sollte das Wahlrecht entzogen werden – tatsächlich, bei einer solchen Einfältigkeit bekommt man Angst vor der Demokratie.

  • johannes wigger dit :

    Das Problem sind nicht die Geisteswissenschaftler an sich – diese braucht es zweifellos. Das Problem ist deren Überzahl, insbesondere im Vergleich zu Ingenieuren, Technikern und Medizinern. Und leider ist die Vermutung nicht ganz abwegig, dass ein Studium der Geisteswissenschaft weniger herausfordernd ist als ein technisches Studium und sich deshalb viele Studenten aus reiner Bequemlichkeit für ein GW- Studium entscheiden.

  • Hans Maag dit :

    Da wären wir wieder, man benützt eine interessante Diskussion, um seinen eigenen Käse, der nichts mit dem Thema zu tun hat loszuwerden. Der Reihe nach: 1) Fehlender Geist auf der rechten Ratsseite: Joseph Goebbels hat Germanistik und Geschichte studiert. 2) Unsere Verfassung wurde von Volk und Ständen bestätigt, diese können jeden Artikel mit einer Initiative ändern. 3) Internationales Recht? Sollen Minderheiten wie z.B. Kriminelle besser geschützt werden als deren Opfer? Soll das Volk wegen dem Minarettentscheid entrechtet werden? Von wem denn, wer steht über dem Volk und den Ständen?

  • Adi dit :

    Mir scheint hier eines wichtig zu sein: Man muss zwischen Geringschätzung (antiintellektueller Haltung) einerseits und einer Kritik and der Quantität der ausgebildeten Spezialisten andererseits unterscheiden. Ich persönlich als Ingenieur schätze den Wert der meisten Wissenschaften, bin aber klar der Meinung, dass es keinen Sinn macht, wenn jedes Jahr zig-tausende Juristen und Oekonomen oder Sozialwissenschaftler ausgebildet werden, während im Land Ingenieure fehlen und aus dem Ausland « importiert » werden müssen.

    • Reto Lüchinger dit :

      Ich durfte kürzlich mit einer Kollegin welche Phil I studiert über meine Jobpläne reden. Sie konnte kaum glauben, dass man in der Schweiz mit einem halbwegs anständigen Ingenieur auswählen kann. Sie machte den Eindruck, dass man in der Schweiz froh sein muss einen Job zu kriegen, wenn einem dafür noch Geld bezahlt wird, ist es schön und gut, wenn der Lohn auch noch fair ist muss man überglücklich sein.

      Falls das irgendjemand liest, der noch die Matura macht und nicht genau weiss, was er/sie studieren will. Mach was technisches!

  • Stefan Meier dit :

    Ich will beileibe nicht die Geisteswissenschaften schlechtreden. Allerdings ist ein Atomausstieg nicht mit Geisteswissenschaftlern zu meistern. Will sagen: Sicher brauchen wir GWler, aber wir brauchen nicht jedes Jahr 50’000 Soziologen, Medienwissenschaftler, Politologen etc, die dann mangels Stellen in der Migros Regale füllen müssen und, wenn sie dann 35 sind, Kinder haben und sich aus dem Beruf zurückziehen. Das ist, so traurig dies tönt, Verschwendung. Gleichzeitig fehlen uns Ingenieure noch und nöcher.

  • Rudolf Mühlemann dit :

    Geistes- versus Naturwissenschaften? Eine völlig überflüssige Frage. Ein phil. I-Absolvent ist beim Bau einer Brücke wenig hilfreich. Jede und jeder, die/der ein Studium anvisiert, muss sich die Kernfrage stellen, wie sie/er das dannzumal erworbene Wissen vermaktet, Dann kommt nämlich die Stunde der Wahrheit. Auch Wissenschafter können nicht am Markt vorbei « produziert » werden. Jedenfalls nicht straflos. Jeder Student « ante portas » muss sich also vor dem Durchschreiten des Tors zur Universität verhalten wie ein Unternehmer: Dasjenige Produkt (Studienfach) wählen, wovon er später leben kannj.

  • Thomas Meili dit :

    @Adi: Ganz Ihrer Meinung. Akademiefeindlichkeit findet nicht nur in einer gering akademisierten Gesellschaft Nährboden, sondern insb. auch in einer überakademisierten, in welcher jeder Halbwissende zum Bachelor oder Master gekrönt wird. Problematisch sind dabei nicht die paar « überzähligen » Philosophen oder Germanisten, sondern die Heerscharen von unfähigen Ökonomen und Juristen, welche an einer Universität eigentlich gar nie etwas verloren gehabt hätten. Sie sind es, welche mit ihrem Unvermögen dem Ruf der Akademie schaden; « diese Experten taugen doch alle nichts », heisst es dann.

  • Sang44 dit :

    Je ne sais pas si cela fais partie des sciences humaines ou d’une autre théorie connue ou pas! Mais à 80 balais il est temps de prendre sa retraite! Place aux jeunes.

  • Kaspar Tanner dit :

    dfsg

  • Kaspar Tanner dit :

    Da die Antwort-Taste nicht funktioniert, hier noch eine Replik an Herrn Beutler: Wenn Sie von deutscher Geschichte keine Ahnung haben und hier völlig faktenfrei polemisieren, dann weiss ich auch, wieso Sozialdemokraten kann Wahl sind. Man kann ja links oder rechts politisieren, sollte aber seine Entscheidungen von FAKTEN abhängig machen. Wenn schon diese Basis fehlt, kann am Schluss nur ein Desaster aufkommen…
    Vielleicht ist Ihnen auch entgangen, dass Auschwitz keine Schweizer Erfindung ist und unser Volk alle rassistischen Überfremdungsinitativen abgelehnt hat…

  • humaniste dit :

    En effet, le monde politique fait l’impasse sur …l’homme…et la femme….
    Plus facile de rester dans un monde de chiffres, de lois, dans une réalité pseudo objective.
    Elle serait plus apte à convaincre le plus grand nombres avec des arguments supposés scientifiques.
    Alors oui, tout ce qui relève des sciences humaines, ces lois non écrites qui donnent à l’humanité ses véritables lettres de noblesses, sont progressivement réduites, voir dénigrées. On laisse ca aux médecins et aux médicaments
    Et pourtant, les questions ne manquent pas ! Qui interroge des philosophes, des psychanalystes ?

  • Philipp Rittermann dit :

    nichts gegen « geisteswissenschaften ». sollten diese aber mehr einfluss in der politik erlagen wäre eine praxisorientiere einstellung gepaart mit « gesundem menschenverstand » von nöten – und hier haperts bei all den verträumten ideologen gewaltig.

  • pascal mieville dit :

    C’est intéressant de lire que les juristes et économistes ne sont pas exploités à leur juste valeur. Car venant de l’autre bord (scientifique), j’observe régulièrement qu’un nombre très important de décisions d’obédience technique ou scientifique, autant dans le cadre institutionnel que privé, sont précisément prises par des représentants de ces deux catégories qui n’ont généralement aucune compétence reconnue dans le domaine.

  • VEYRON Jean Pierrre dit :

    Le suffrage universel permet à n’importe quel ignare ou malfrat de voter ! Plus grave, nous retrouvons chez les élus, sénateurs ou députés, beaucoup d’individus d’une insuffisance absolue. Ainsi, la législation et la réglementation françaises sont des sommes inquiétantes, dignes de toutes les critiques.

  • Zen dit :

    Je crois que c’est un phénomène de mode…
    Il y a quelques années en arrière pour ressembler à un intellectuel il fallait s’exprimer comme un psychiatre/psychologue.
    Maintenant, la référence d’un être compétent est d’être capable de dresser des dossiers comme un avocat/juriste même si le fond n’est pas justifié… Les outils sont différents mais – je pense que le but est d’acquérir de nouvelles armes pour écraser l’autre et pouvoir acquérir de l’argent…

    Un grand merci pour la qualité de votre langage et de vos échanges…

  • Züst Ruedi dit :

    Herr Neyrinck von der CVP, der Partei der katholischen Kirche, glaubt den katholischen Geist in die Politik wieder einbringen zu müssen, nachdem sie wieder einmal mit Überlistung der Wähler mit der grünliberalen Katholikenpartei zusammen den Sieg, aber leider nur in der kleinen Schweiz davongetragen haben, was nur der Explosion eines Irrsterns vor seiner Auslöschung gleichkommt. Jesus Christus bezeichnet die katholische Kirche als ein Gefängnis von Teufeln (Hitler, Napoleon, Karl d. Grosse) und als Gefängnis aller unreinen Geister, auf welchen katholischen Geist wir gerne verzichten.

  • Machin dit :

    Monsieur Neyrinck est un très vieux PDC,ancien colon Belge émerite. Ce Monsieur n’a pas sa place à Berne. Ces politiciens aux multi-passeports ne sont que des opportunistes qui vont nous coûter 1/2 mio minimum, pour quoi, pour qui? Oui, quel mérite peut il bien avoir ce monsieur? A avoir fait des études, d’être de la caste des diplômes? L’histoire est pleine, de diplômés criminels, débiles ou nuls souvent chrétiens. C’est un peu comme tout ces gens qui s’autoproclame artiste. Sartre: « quelqu’un qui se mêle de ce qui ne le regarde pas ».

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