De combien d’amis un politicien a-t-il besoin?

On dit que la campagne électorale de 2011 serait la première campagne via les médias sociaux en Suisse. Mais est-ce que nous voulons vraiment des politiciens cherchant à s’attirer nos faveurs sur Facebook?

S’il existait le titre d’un Mister ou Miss média social pour les parlementaires, Barbara Schmid-Federer, conseillère nationale PDC de Männerdorf (ZH), figurerait parmi les grandes favorites. En effet, selon un récent livre du politologue Mark Balsiger, la séduisante quadragénaire, incontestablement très habile avec les médias, doit en grande partie son élection de 2007 au Conseil national à sa campagne sur internet. Et après avoir franchi le pas au Parlement sans avoir jamais exercé de fonction politique auparavant, elle est plus que jamais présente sur tous les canaux médiatiques. Elle tient son propre site web avec des mises à jour régulières. On peut lui envoyer des poke sur Facebook. On la trouve sur le réseau professionnel Xing et sur Youtube. On peut skyper avec elle en tête-à-tête. Et bien sûr, en tant que fervente utilisatrice des réseaux, Mme Schidt-Federer blogue et twitte aussi.

La campagne électorale de 2011 va-t-elle devenir la première campagne de médias sociaux en Suisse?

Video de Schmid-Federer.

Ceci dit, on peut se demander si tous ces canaux de communication laissent suffisamment de temps pour travailler.

Pourtant, cette question ne se pose apparemment pas – du moins pas pour Barbara Schmidt-Federer. En règle générale, la conseillère nationale PDC ne passe que quelques minutes par jour sur les réseaux sociaux, assure-t-elle. Et même si elle prend part à des discussions et poste des commentaires, le temps consacré n’est pas très important. Par contre, il y a quatre ans, elle a du fournir un effort considérable lorsqu’elle a créé son propre site web: à cette époque, elle a passé des semaines à préparer des textes et des photos.

La Zurichoise est une pionnière des médias sociaux parmi les politiciens suisses; elle a été l’une des premières à miser vraiment sur la campagne électorale en ligne. Aujourd’hui, en particulier durant cette année électorale, les politiciens n’osent pas trop renoncer au prétendu booster de popularité qu’est internet. Quatre-vingt pour cent des parlementaires ont leur propre site web et plus de la moitié d’entre eux ont un profil Facebook. Par exemple, Natalie Rickli, UDC zurichoise, a ainsi déjà 5000 amis; c’est peut-être aussi parce que sur internet elle se présente plus comme une star de variété patriotique que comme une politicienne qui potasse ses dossiers.

Le président du PS Christian Levrat, pour citer un autre exemple, confiait il y a quelques jours à 24 heures et à la Tribune de Genève qu’il utilisait maintenant son profil Facebook pour mobiliser la base rapidement et facilement, en quelque sorte comme un instrument de gestion; il peut aussi se vanter d’avoir 5000 sympathisants.

La campagne électorale de 2011 va-t-elle devenir la première campagne de médias sociaux en Suisse? Les politiciens qui se posent cette question devraient aussi réfléchir aux erreurs que l’on peut commettre sur les réseaux. Daniel Heller, libéral-radical argovien, a fourni la semaine dernière un exemple concret. Il a d’abord critiqué la Conseillère fédérale Doris Leuthard sur son profil Facebook («n’est pas à la hauteur», «comme Sarah Palin»). Il a ensuite essayé d’effacer ses propos calomnieux, puis il a menti, accusant un hacker d’être responsable de ces lignes. Finalement, il a tout avoué lorsque l’Aargauer Zeitung l’a démasqué. Daniel Heller aura maudit la semaine dernière la révolution des médias sociaux – et peut-être demandé à ses enfants de lui expliquer le fonctionnement exact de Facebook.

Le soutien aux partis grâce au bouton «like» de Facebook, des déclarations politiques sur les messageries instantanées: en vue de la conjoncture des médias sociaux dans la politique locale, on s’étonne presque qu’il existe encore des profils Facebook comme celui de Verena Diener. La conseillère aux Etats (Verts/ZH) ne compte que 19 amis – et apparemment cela ne la dérange pas. Plutôt cool, je trouve.

Mais qu’en dites-vous, Chers Lecteurs? Un politicien doit-il être présent sur les réseaux sociaux afin d’attirer les voix des électeurs? Un politicien a-t-il besoin d’avoir des amis sur Facebook? Ou ne serait-il pas mieux d’avoir une politique bien réelle qui s’occupe des électeurs?

86 commentaires sur «De combien d’amis un politicien a-t-il besoin?»

  • Ric Daniel dit :

    Verena Diener hat keine eigene Facebookseite. Das ist die Spiegelung des Wikipedia Artikels auf Facebook. Die Frau hat gar nix gemacht. Vielleicht sollte sich der Redaktor auch mal von seinen Kindern Facebook erklären lassen. Ric

    • Michael Marti dit :

      Lieber Daniel, «die Frau hat gar nix gemacht» – ja, aber was sage ich denn anderes?

      • Sehr geehrter Herr Marti, diese Seite von Verena Diener wurde automatisch von Facebook erstellt, und wurde mit den Informationen von Wikipedia ergänzt. Dies ist keine offizielle Seite oder Profil von Verena Diener!
        Vergleiche auch diese beiden Seiten: die offizielle TA-Fanseite http://www.facebook.com/pages/Tages-Anzeiger/177194474660 , und die Wikipedia-Seite auf Facebook (automatisch erstellt): http://www.facebook.com/pages/Tages-Anzeiger/108096045877242

        • Philipp Meier dit :

          Genau. Und bei den 19 Freunden handelt es sich nicht um Freunde, sondern um « Gefällt mir / Like » Klickern.

      • Urban Zuercher dit :

        Zudem: « …Verena Diener. Die Zürcher Grüne… » Seit wann ist Verena Diener wieder bei den Grünen? Ein bisschen mehr Journalismus, bitte.

        • Michael Marti dit :

          das war in der tat ein sehr dummer fehler von mir, sorry.

          • Fabian Weber dit :

            Hinzu kommt, dass man auf Facebook letztlich nicht mehr als 5000 Freunde haben kann. Alles darüber hinaus sind « Fans ». Die hat Roger Federer (8,3 Mio.) wie Christoph Blocher (9,500) oder Sepp Trütsch (169). So what? In Zeiten der Probleme, die das Friends-Zählen anderer zu verursachen scheint und man als Stellvertretender Chefredaktor erst noch darüber bloggt, erwischt man sich bei der Frage, wo da noch genug Zeit für guten journalismus bleibt. Irgendwie uncool, finde ich.

    • Elaola dit :

      Hab genau daselbe gedacht als ich auf diesen Link geklickt habe… Finde eigentlich schon, dass man sich erst über andere auslassen sollte, wenn man selbst einigermassen durchblickt, worum es geht. Und irgendwie ist es auch scheinheilig, das Freunde fischen der Parlamentarier zu verurteilen. Ich denke, eine öffentliche Person muss sich entscheiden, ob sie wie Otto Normalo nur seine Freunde akzeptiert ODER ob sie mit allen, die Interesse zeigen, in Dialog treten will (und so die Social Media, wie auch Unternehmen es tun, zu den eigenen Gusten nutzen). Ich finde beides total ok. Why not?

  • Noch nie waren die Möglichkeiten der Kommunikation so vielfältig, wie heute. Ob es sich da um bereits um eine Revolution in der Kommunikation handelt – wer weiss. Aber Politiker müssen sich wie Unternehmen auch ihren Kunden/Wählern stellen. Und da gehören die verschiedenen Kanäle dazu. Aber durch die schonungslose Kommentierbarkeit von Aussagen durch die User ist gut beraten, wer sich zuerst überlegt, was er sagt und schreibt. Und erst dann auf PUBLISH drückt. An sich eine Forderung, die schon lange Gültigkeit haben sollte… Dies gilt übrigens auch für Kommentare: erst denken, dann schreiben.

  • Daniel dit :

    Also wenn ich ein Fan bin von einer bestimmten Partei,dann schaue ich gerne wer da so auf Facebook ist und/oder eine eigene HP vorhanden ist!

  • Stephan Meier dit :

    die kritik an der homepage von n. rikli kann ich nun wirklich nicht verstehen (hab kurz reingeschaut). Süddeutscher Schlagerstar?? wie will der autor denn diese aussage begründen? bei betrachtung seines fotos könnte man (wenn man schon dieses niveau anwendet) sagen: ah ein schwuler coiffeur …

  • Lea dit :

    Gut geschrieben Herr Wehrli!
    Einen grossen Vorteil der Kommunikation auf social media Plattformen ist aber, dass damit ohne grosses Budget betrieben werden kann. So haben auch Jungpolitiker die noch nicht in Verwaltungsräten sitzen eine Chance gewählt zu werden.

  • Saxer dit :

    Politikerinnen und Politiker sind dann glaubwürdig, wenn sie konsequent und konsistent für ihre Themen einstehen. Wenn sie das tun, dann gerne auch auf allen modernen Kanälen. Und wenn nicht – dann bitte nirgends.

  • Rolf Eberli dit :

    Barbara Schmid-Federer ist eine Frau unserer Zeit und sie arbeitet mit den Medien unserer Zeit. Damit ist sie viel näher an den Anliegen der Basis als viele andere ihrer Politiker-Kollegen und Kolleginnen. Sie kennt die Anliegen ihrer Wählerinnen und Wähler und ist glaubwürdig. Die Internet Medien ermöglichen vielen Personen, die sonst nicht Kontakt hatten mit den Personen, die sie gewählt haben, mit diesen in Kontakt zu treten und ihre Anliegen direkt vorzutragen und dank der Direktheit dieser Medien haben sie eine gute Chance eine Antwort zu erhalten. Moderne Politiker nutzen diese Medien!

    • Fredi Moser dit :

      Das Arbeiten mit modernen Medien für die Wahlwerbung erlaubt m. E. keinen Rückschluss, ob jemand nahe an den Anliegen der Basis ist.
      BSF fällt mir persönlich nur darin auf, dass sie unzeitig früh bereits von den Plakatwänden strahlt und – Achtung eine böswillige Unterstellung – nur darum einen Doppelnamen trägt, weil ‘Federer’ zieht. Bei ‘Schmid-Müller’ oder ‘Schmid-Hugentobler’ wäre kaum ein Effekt zu erwarten.
      Da sind mir Häni und Rickli schon näher, die wenigstens durch Vorstösse, Statements und auf Podien auffallen. Von Frau Schmid habe ich keine entsprechenden Erinnerungen.

    • Philipp Schneider dit :

      Das Problem ist, dass eben gerade Leute wie Schmid-Federer – eine absolute Hinterbänklerin, die kaum etwas zu sagen hat (ausser Moralin), null Gewicht hat im Parlament, es durch Verpackung und Marketing und viel Geld schafft, in den NR gewählt zu werden – und, notabene, andern, die unserem Land echt etwas bringen würden, den Platz wegnehmen. Da diese Dame, die sich vor allem durch Werbung für sich selbst hervortut und deshalb immer wieder Medienthema wird, grosse Chancen hat, abgewählt zu werden (weil die CVP Zürich massiv verlieren wird wie im KR), ist eine Genugtuung

      • Guten Morgen Herr Schneider
        Sie können gerne einmal auf meiner Website nachschauen, was ich im Rat so tue ; -) und falls Sie sich ein Bild über den Politbetrieb in Bern machen wollen (das was nicht in den Medien steht): Dann kommen Sie mich doch einmal besuchen.
        Beste Grüsse
        Barbara Schmid

        • Michael Marti dit :

          Liebe Frau Schmid-Federer, das finde ich toll, wie sich sich in die Diskussion einschalten. Besten Dank. Ich glaube übrigens nicht, dass sich unsre Blog-Community der Meinung von Herrn Schneider anschliessen würde.

        • Philipp Schneider dit :

          Danke für den Hinweis – beim Googlen Ihres Namens statt auf Ihre Website auf die der Sonntagszeitung zum Parlamentarier-Rating gestossen. Da sind Sie bzw. Ihr Einfluss im Parlament im Bereich « unter ferner liefen… » weit hinten platziert. Diese neutrale Beurteilung von Fachleuten (im Vergleich zu Ihrer Selbsteinschätzung) genügt mir.

          • Das Parlamentarierrating basiert in erster Linie auf die Zugehörikeit von Kommissionen. Wer in mehr als einer Kommission ist (und dazu noch in so genannt wichtigen), ist vorne auf der Liste. Als Neue haben beispielsweise Daniel Jositsch und ich nur einen Kommissionssitz erhalten, und zwar die Rechtskommission, welche keinen hohen Stellenwert hat. Das erklärt unser Abschneiden…..
            Hingegen gibt es solche, welche ich im Rat noch nie gehört habe, die aber weit vorne sind, weil sie in der WAK Kommission sind. So ist das Leben ; -)
            Ihnen alles Gute!

      • Jürg Schwaller dit :

        @Ph.Schneider // mit Ihrem -mit Verlaub- schnoddrigen und überflüssigen Kommentar haben Sie sich genau als das geoutet, als was Sie BSF unqualifizierterweise bezeichnen; einen absoluten Hinterbänkler, und wie unschwer heraus zu spüren ist, einen Neider und enttäuschten Frauenhasser.Ödipus lässt grüssen.

        • Gene Amdahl dit :

          @Schwaller: Warum soll nun Ph.Schneider ein Frauenhasser sein? Können Sie uns diese Schlussfolgerung/Logik erklären? Ist man ein Frauenhasser per se, wenn man eine solche als unwählbar etc. taxiert? Man merke sich folgendes Zitat: Politik ist ein Geschäft für kaltschnäuzige, unsentimentale, knochenharte
          und listige Menschen – das liegt in der Natur des Systems. Nur Kraftnaturen
          kommen ganz nach oben, nicht die Schlausten.

      • Pascal Bucheli dit :

        Lieber Herr Schneider

        Ich bin mir nicht ganz sicher, ob Sie die Funktionsweise einer Demokratie genau verstehen. Oder dann erklären Sie mir bitte, was Sie damit meinen, wenn eine Politikerin oder ein Politiker im Parlament nichts zu sagen hat. So viel ich weiss, kann sich jede und jeder Gewählte vorne ans Rednerpult stellen und seine Meinung kundtun.
        In Ihren Zeilen steckt aus meiner Sicht eine gehörige Portion Eifersucht. Frau Schmid-Federer weiss die neuen Medien zu nutzen. So bleibt sie bei den Wählern in aller Munde, oder besser gesagt im Gedächtnis. Die Wahlen können kommen…

  • Michael Marti dit :

    lieber herr meier, zugegeben, mein vergleich mag nicht ultraoriginell sein. aber der «schwule coiffeur» ist jetzt wirklich aus der discountabteilung der sprache.

    • Hans Müller dit :

      Ich musste ob dem « schwulen Coiffeur » schmunzeln. Wer austeilt, sollte auch einstecken können, Herr Marti.

      • Michael Marti dit :

        kein problem, herr müller, da bin ich ganz ihrer meinung.

      • adrian dit :

        … um ehrlich zu sein, das war auch des Erste das mir eingefallen ist bei dem Bild. Also neues Foto machen, metrosexuelle Frauenversteherblicke sind von Gestern.

        • alaya dit :

          ach komm soll doch jeder aussehen wie er wil,
          den kommentar fand ich trotzdem witzig. 🙂

    • Kaspar Tanner dit :

      Jesses Gott – sind Sie homophob? Oder verachten Sie kreative Haarkünstler? Vielleicht war das ja als Kompliment gemeint…. Das lässt aber tief blicken…

  • Wie viele « Empfehlungen » auf Facebook braucht ein Artikel einer Tageszeitung?

  • Roland dit :

    Wie viele Friends braucht ein Politiker? Gar keine denn Politiker sind wie Fahnen im Wind und benehmen sich dementsprechend, dass alle Freunde davon laufen. Wirklich ganz selten treffe ich auf einen PolitikerIn, der/die genug Persönlichkeit hat und nicht seine Ansichten je nach Windverhältnissen anpasst und vor allem die Wahrheit sagt.

    • adrian dit :

      Das liegt an den Wählern. Ganz selten treffe ich einen Wähler der nicht: Keine Ahnung hat, nur auf seine eigenen Vorteile aus ist, und seine Meinung alle paar Tage mal ändert. Also, wir kriegen immer was wir verdient haben.

      • Andi dit :

        Wieviele Politiker kennt den der Roland persönlich???

      • Roland dit :

        Ich kenne 43 persönlich, mit 51 anderen hatte ich zu tun und du, Adrian? @ Andi: Schafe müssen halt ein lügendes Alpha-Tier haben, um ihre Minderwertigkeitskomplexen zu kompensieren.

  • Stephan Meier dit :

    lieber herr marti, sie haben recht, der « coiffeur » war primitiv. aber ernsthaft: die homepage von n.rickli macht doch einen absolut seriösen eindruck. ich bin kein fan von rickli oder der svp, aber ich finde hier müssen sie auch fair bleiben. sonst sind sie nicht sehr glaubwürdig. freundliche grüsse s. meier

  • Peter Steiner dit :

    Wer sich auf Facebook, Twitter o.ä herumtummelt, ist für mich sowieso schon unterste Schublade. Solche Leute kann ich nicht erst nehmen. Leben die nicht in der Realität ? Wer braucht den angeblich 5000 Freunde ? Gemäss einer bekannten Suchmaschine kann man sich ja 1000 Facebook Freunde für 100 Euro kaufen. Auch ein Geschäftsmodell 🙂

  • Thomas K dit :

    Es kommt nicht auf die Anzahl virtueller Freunde drauf an, sondern auf die Qualität der realen politischen Arbeit. Schliesslich gewann Verena Diener, die übrigens grünliberal ist (nicht grün, Herr Marti) mit ihren heutigen wikipedia-gespiegelten 19 Freunden anno 2007 die Ständeratsausmarchung in Zürich gegen Ueli Maurer. Ich selbst verlasse mich lieber auf reale Freunde, anstelle von virtuellen – auch in der politischen Arbeit. Die social media haben sicher einen Multiplikatoreneffekt, aber ob das die Qualität des Politikers ausmacht bezweifle ich…

    • Mirjam Arnold dit :

      Meiner Meinung nach geht es nicht um die Anzahl « Freunde », vielmehr sollen diese Platformen einem doch die Möglichkeit bieten Fragen an Politiker zu stellen, die einem sonst kaum beantwortet werden könnten. Gerade Blogs bieten die Chance Meinungen zu verstehen und dazu Stellung zu nehmen.

  • karl dit :

    ein klares NEIN …mein grossvater sagte immer « politiker sind wie huren  » . punktum

    • Berta Meierhans dit :

      Ziemlich niveaulos dieser Kommentar…. Wieso muss man im Blog immer in die unterste Schublade greifen?

      • karl dit :

        wer bestimmt was niveau hat . mein grossvater wusste was er sagte – er hatte zwei weltkriege als deutscher erlebt !

    • Gene Amdahl dit :

      Dein Grossvater hat(te) recht;)

  • Massimo dit :

    Bevor man einen Artikel über Facebook schreibt, sollte man sich erst mal ein halbes Jahr selber darin Tummeln. Ansonsten man sich selber entblösst bis auf die Knochen. Und dann noch so viele Inhaltliche Fehler Herr Marti, da sage ich nur; Zurück auf Feld eins…

    • Massimo dit :

      …und dann sollte man noch Wissen, dass mehr als 5000 Freunde nicht möglich sind bei Facebook. Daher ist diese Zahl nicht relevant.

  • Rolf Schumacher dit :

    Die Frage ob Politiker einen Facebookauftritt wagen sollen ober ist völlig unwichtig. Dafür sind Wahl(marketing)berater zuständig. Wir wollen hier doch nicht über sowas Leeres wie Werbungn disskutieren? A propos Facebook. Früher wurden Bücher verbrannt, dann die freien Priatsender (Radio-TV) verteufelt, nun geht es dem Internet/Facebook an den Kragen. Wer sich übers Facebook nervt, sollte sich fragen weshalb er es denn überhaupt öffnet. Freier und schneller Informationsaustausch hingegen ist ein hohes Gut, den Kanal/Quelle wählt man aber immer selber, auch den von Verena Diener.

  • Reto Froelich dit :

    Die Frau soll doch ins Fernsehen gehen, wenn sie so Mediengeil ist. Vielleicht zu 10vor10? Ich finde es lächerlich, wenn Politiker nun auch auf die Facebookschiene springen. Offensichtlich gehört solches Selbstdarstellertum heute zum täglich Brot. Motzen wenn irgendwelche Daten des Handys gespeichert werden, aber auf Facebook und Twitter jegliche privaten Details verraten! Einfach nur schizophren, diese Gesellschaft.

    • Berta Meierhans dit :

      Hätten Sie den Artikel sorgfältig gelesen, dann wüssten Sie, dass Frau Schmid-Federer nicht auf die Facbookschiene aufgesprungen ist, sonder bereits seit 2007 das Internet und die Sozialen-Netzwerke nutzt, notabene mit Erfolg. Persönlich finde es toll,l wie sie sich mit dem Thema Internet auseinandersetzt und sich auch für mehr Sicherheit im Netz engagiert. Es muss noch viel auf diesem Gebiet getan werden – Frau Schmid-Federer packt es an! :):)

    • Saxer dit :

      Lieber Herr Fröhlich – ich mag Mediengeilheit auch nicht. Aber sie ist nicht dasselbe wie das Ausnutzen moderner Kommunikationskanäle. Dass Frau Schmid-Federer das im Griff hat demonstriert sie zB gerade HIER, indem sie sich in den echten Dialog einlässt. So verschwinden Distanzen und Barrieren – wahrlich ein Fortschritt!

  • Letztlich geht es in der Werbung (und darum geht es in diesem Zusammenhang) um Kontaktpreise und um das Produkt. Je besser das Produkt, desto effizienter ist der Kontaktpreis eingesetzt. Eine Facebook Seite ist eine gute Möglichkeit sich darzustellen (Produkt). Wenn man dann noch über Facebook Werbung betreibt, ist das eine gut eingesetztes Budget. Nirgends ist der Kontaktpreis so gut, insbesondere wenn es um KR Wahlen geht.

  • Martin Fröhlich dit :

    Jederman verlangt von PolitikerInnen zu Recht nahe an der Basis zu politisieren. Die neuen Medien ermöglichen genau das. Mit Facebook, Youtube, Twitter etc. kann zu jeder Zeit zwischen Basis und Politik ein Austausch statt finden. Im Übrigen einer, der für jeder man zugänglich ist und der ohne Einschränkungen (wie bsp. bei Leserbriefen etc.) statt findet. Ich kann meine Meinung jederzeit mitteilen und kann sogar noch andere motivieren meine Meinung zu teilen. Wenn Frau Schmid-Federer und andere sich daran beteiligen und diese Mittel gekonnt nutzen ist das nur lobenswert und zeitgemäss.

  • DV dit :

    Dass Nationalrätin Barbara Schmid-Federer auf Facebook anzutreffen ist, twitter, bloggt… ist wunderbar. Dies erlaubt ihr auch jüngere Schweizerinnen und Schweizer anzusprechen und sich mit ihnen auszutauschen. Denn genau dieser Austausch ist – meiner Meinung nach – unglaublich wichtig. So ist ersichtlich, für welche Themen sich eine Politikerin oder ein Politiker einsetzt und umgekehrt können sie sehen, welche Themen uns wichtig sind. Aus diesen Gründen finde ich es wichtig, dass eine Politikerin (wie zum Beispiel Nationalrätin Schmid-Federer) oder ein Politiker moderne Medien verwendet.

  • Ramon Paxus dit :

    Facebook hat spätestens seit letzter Woche, aber vermutlich schon deutlich länger, doch ziemlich den Anstrich des Veralteten. Wirkt irgendwie angestaubt, nicht bloss weil unterdessen die Schweigermutter und der Chef auch dort sind, sondern weil alle die mit der Zeit gehen unterdessen sich um eine Einladung zu Google+ prügeln.

  • Ueli Giesler dit :

    Wollte mich bei den vergangenen Kantonsratswahlen ZH über Kandidaten informieren. Viele « Volksvertreter » haben aber nur eine Facebook- und keine Homepage. Die habe ich dann halt nicht gewählt, weil ich mich weigere, bei einem Kommerz-Gugus wie Facebook mitzumachen.

    • Albert Seiler dit :

      Tja, Herr Giesler, es ist wohl kein Zufall, dass sich unwichtige Leute gerne auf, meiner Meinung nach, asozialen Netzwerken tummeln.

      • Herr Gisler: Dies ist meine Homepage: http://www.schmid-federer.ch
        Beste Grüsse Barbara Schmid

        • Ueli Giesler dit :

          Danke für den Hinweis. Eine gute homepage. Geradeaus und ehrlich. Trotzdem kann ich (reformierter Single-Mann) Sie nicht wählen, weil Sie für mich in der falschen Partei sind. Nichts für ungut.

          • ? Meine Wählerschaft vor 4 Jahren bestand zu 55% aus Katholiken. C heisst bekanntlich nicht katholisch.
            Als Sinlge-Mann wird es sie vielleicht auch interessieren, wer Sie einmal pflegt, wenn Sie alt und eben pflegebedürftig sind. Zudem bin ich in der Rechtskommission. Dort haben wir herzlich wenig mit Nicht-Singles zu tun : -)

      • Fabian Schnell dit :

        Tja, da tummeln sich nebst Barack Obama, Roger Federer, Christoph Mörgeli, Andi Gross, …. alles nur unwichtige Leute herum… !?

        • Albert Seiler dit :

          Wollen Sie damit sagen, Sie zählen Roger Federer, Christoph Mörgeli und Andi Gross zu den « wichtigen Leuten » ?

  • Bula Heinrich dit :

    Nun ja, wenn die Mehrheit des Volkes, vor allem wohl der jüngeren Generation, sich im und am Facebook orientiert und informiert, ja dann sollen sie sich doch im Facebook anpreisen/empfehlen…!

  • Lucius Dürr dit :

    Fact ist, dass heute alle Kreise (Politik,Wirtschaft, Verbände, Wissenschaft etc.) mit Erfolg Social Media nutzen. Barbara Schmid-Federer war vielen weit voraus. Das erweckt natürlich Neid und erzeugt böse Kommentare. Anstatt Verunglimpfungen auszusprechen, würde Philipp Schneider besser einmal Ferien machen, um seinen Polit-Frust los zu werden. Jeden Tag eine Stunde Jogging oder Biking – und die bad feelings wären weg.

  • Jens Gloor dit :

    FB wird von Politikern hauptsächlich als PR-Instrument missbraucht. Von ‘Communitiy’ resp. Teilnahme am FB-Sozialleben ist nichts zu spüren. Man bestätigt nur hilfreiche Freunde, resp. ignoriert Zuschriften aus dem Volk – wie z.B. Levrat oder die ganze SP-Sippe. Statt einem ‘tiefgefrorenen’ FACEBOOK-Profil sollten es die Politiker, die nur ‘Networking’ betreiben wollen, einfach nur löschen – damit wäre allen gedient und es wäre sozial ehrlicher.

    • Saxer dit :

      Stimmt, solche Fälle gibt es einige. Aber gerade Barbara Schmid-Federer gehört nicht dazu. Sie diskutiert ja auch hier mit.

  • karl dit :

    intressant wie leute über FACEBOOK urteilen . ich selber habe 30 freunde und kenne alle selber . und dank FACEBOOK habe ich meine Frau gefunden aus frankreich und jetzt bei mir lebt . man muss nicht alles schlecht reden . nur die politiker selber versprechen viel in alle formen von infos . FACEBOOK ist freiwillig und keiner wird dazu gezwungen !!!

  • Thomas Läubli dit :

    Politiker, die sich auf Facebook herumtreiben, haben offensichtlich zu viel Zeit und sind deshalb nicht wählbar…

  • Ueli Merz dit :

    Ich finde die Anzahl FB-Freunde nicht relevant. Ich bin viel eher an den Inhalten interessiert, bzw. der Art und Weise, wie Politikerinnen und Politiker ihre FB-Seite bewirtscaften. Am Schluss möchte ich mir als Wähler ein Bild machen können, wie glaubwürdig sie ihre Meinungen und Überzeugungen auch im realen Politalltag vertreten. Letztendlich ist alles eine Frage vom Schein und Sein unabhängig davon, welche Plattformen für den Wahlkampf genutzt werden.

    • Für mich ist FB eines von vielen Instrumenten, um das nach aussen zu tragen, was ich denke und tue. Und: Früher sassen die Journalisten noch auf der Tribüne, wenn im Nationalrat gesprochen wurde. Heute nur noch selten. Wer nicht live dabei ist, spürt und merkt vieles nicht, was abgeht. Bsp. wenn jemand überraschenderweise durch eine super Rede eine Mehrheit erhalten hat. Das ist vor der Fernsehkamera nicht immer ersichtlich. Social Medias bieten dann die Möglichkeit, darüber zu erzählen.

  • Didier Jaccottet dit :

    Cet article participe à la mode des réseaux sociaux, mode qu’il prétend, peut-être, mettre en question en ce qui concerne la politique; en ce sens, il diffère peu de la désespérante médiocrité médiatique actuelle .Il a cependant deux mérites: 1) mettre en évidence combien le monde politique est en train de sombrer en Suisse, comme d’ailleurs presque partout; 2) montrer la très grave erreur que nous ferions d’élire le Conseil fédéral au suffrage universel, ce qui accélérerait encore ce naufrage!

  • Rüdiger Kraus dit :

    « Du da gibt es was neues. Alle Jungen machen es. Mach es doch auch. Es bringt den meisten Leuten zwar nichts, aber als Politiker kann man dann wieder einen vom Volk mimen damit. Und ja der Obama hatte dies auch und ist wegen dem gewählt worden. Und die Revolution im Maghreb ist auch nur dank dem zustandegekommen. » So oder ähnlich stelle ich mir die Gedankengänge gewisser Politiker vor, wenn sie wieder mal auf den nächtstbesten Bandwagon jumpen…

  • Fabian Schnell dit :

    Auch die ganz grossen Zeitungen wirken in Social Medias mit. SIe haben die Zeichen der Zeit erkannt. Für Politiker eine wunderbare Möglichkeit, um mit dem Volk zu kommunizieren.

  • für menschen welche sich wirklich für das thema interessen:
    ich erlaube mir den hinweis auf unseren blog Banana Politics welcher sich ausschliesslich mit dem Thema Wahlkampf und Internet befasst.
    Zum Beitrag hier:
    Würde eine PolitikerIn ihren job nicht gut machen wenn sie jede woche 3-8h für treffen mit Bürgerinnen um deren sorgen aufzunehmen verwenden würde?
    es wird einfach nicht realisiert das social networks nicht ein spiegelbild oder abbild unserer realität sind, sondern einfach ein teil davon. vergessen sie die virtualität – wilkommen im internet – willkommen im 21 jahrhundert!

  • Chappuis Jean-François dit :

    Je présume que cela n’est pas le nombre d’amis qui fait la qualité d’un homme politique, mais cela contribue à sa popularité.
    Ce qui n’est pas négligeable, lors d’une campagne électorale qui s’avère de plus en plus médiatisée.
    Le résultat des courses n’est pas toujours celui que l’on souhaiterait! Très souvent les plus malins accèdent au gouvernement.
    C’est pas certain que cela soit les plus capables, mais il faut composer avec…

  • Laura17 dit :

    ja ist so gemacht wie facebook auch gratis mit chat unter http://www.supondo.com also ein Freundesnetzwerk

  • axel dit :

    also…spannend, wie man hier so damit umgeht 😉

  • Wobei mir das gefällt, keine Frage! Sauber!

  • Mareike dit :

    Die Frage ist doch viel eher, wieviele Freunde *hat* ein Politiker überhaupt? Bei der Leistung, die die aktuellen « Regierungen » abliefern, muss man sich doch fragen, wer mit denen überhaupt Kontakt haben will? Also aus freundschaftlicher Sicht – wenn man sich so « entgegen » allen Leuten und Menschen verhält muss man sich ja nicht wundern, wenn man keine Freunde hat? :-))
    Grüße,
    Mareike
    http://www.upondo.at

  • Gola dit :

    Servus zusammen, ich bin ja der Meinung da ich vorort selbst politisch aktiv bin und auch einen Facebook, Xing, Kwick, Lokalisten, … Account habe, das Soziele Netzwerke eine so immense Rolle, gerade wie mehrfach angesprochen bei der jüngeren Generation einnehmen das ich denke jeder Poltitiker der was von sich hält sollte aufjedenfall einen Account bei Facebook et. haben, aber um diesen Nutzen zu maximieren reicht nicht diesen Account zu erstellen, man muss ihn Pflegen, auf Fragen eingehen und online über Pinnwandeinträge oder per Nachricht Diskutieren, Stellung beziehen und Debattieren. Gruß

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