Les grand-mères ne se laissent pas faire

Les grand-mères montent aux barricades: elles interviennent dans la discussion sur l’initiative pour les familles de l’UDC qui passera en votation le 24 novembre. Elle exigent des déductions fiscales ou des avoirs pour le travail qu’elles fournissent quand elles gardent leurs petits-enfants ou s’occupent de leurs proches et de leurs maris devenus dépendants avec l’âge.

Pour elles, les choses sont claires: si l’initiative de l’UDC est acceptée et que les parents peuvent faire valoir des allégements fiscaux pour la garde des enfants à domicile, elles ne veulent pas être en reste. Et se demandent à juste titre pourquoi elles n’auraient pas elles aussi droit à des avantages. Ce sont elles qui se chargent très régulièrement de la garde des enfants et ce sont souvent elles qui peuvent offrir une solution de dépannage en cas d’urgence. Beaucoup de grand-mères ont établi un agenda fixe avec leurs enfants pour la garde des petits-enfants, une à plusieurs fois par semaine. Ce qui allège le budget de leurs enfants, mais aussi celui de l’Etat.

Elles font tout cela bénévolement, et elles sont là aussi lorsqu’un problème se présente, par exemple lorsqu’une mère ne peut s’occuper de ses enfants parce qu’elle est malade ou à cause d’un événement imprévu. Elles sont pour ainsi dire l’ultime filet de sécurité. Les grand-mères qui ont formé le groupe de la «Révolution des grand-mères» avec l’ancienne conseillère municipale zurichoise Monika Stocker comme cheffe de file, qui manifestent et qui, comme le prouvent les statistiques publiées par la NZZ am Sonntag «assurent 79 millions d’heures de garde des enfants par an».

Au premier abord, l’initiative de l’UDC élimine une injustice. En réalité, le texte entraîne de nouvelles injustices et continue à peser sur un système fiscal déjà fort complexe.

Une grand-mère  joue avec son petit enfant. (Image: Keystone/Gaëtan Bally)

Une grand-mère joue avec son petit enfant. (Image: Keystone/Gaëtan Bally)

Et c’est un fait: nous irons aux urnes le 24 novembre pour nous prononcer sur une initiative qui, si elle est acceptée, risque de déclencher bien des convoitises. De prime abord, l’initiative semble équitable et tout à fait logique. En effet, pourquoi est-ce que les couples dont la femme reste à la maison pour s’occuper des enfants, comme à l’époque de Jeremias Gotthelf et depuis la nuit des temps, ne seraient pas encouragés? C’est à la fois clair et sage. Mais l’affaire est bien plus complexe qu’elle n’y paraît.

Dans la NZZ am Sonntag, la Directrice des finances du canton de Zurich, Ursula Gut, ainsi que la Professeure saint-galloise d’économie politique, Monika Bütler, mettent en garde: pour tous les habitants du canton et des communes de Zurich, cette nouvelle mesure représenterait un sacrifice fiscal de 250 millions de francs. Ramené au niveau de la Suisse, ce montant équivaudrait à plus d’un milliard de francs par année fiscale et devrait être compensé par des mesures d’économie radicales ou – et c’est là que le bât blesse – par d’autres impôts.

Les personnes concernées seraient surtout les contribuables sans enfants, tandis que tout le profit de l’initiative reviendrait aux personnes aux revenus élevés. Un homme aisé qui peut se permettre que sa femme reste à la maison pour s’occuper des enfants, qui est heureux que tout ce qui pourrait le gêner dans sa carrière soit tenu à distance, pourrait, si l’initiative est acceptée, réduire considérablement sa facture fiscale. Pendant ce temps-là, les familles qui ont besoin d’un double salaire pour vivre, qui paient des impôts sur ces revenus et qui pour cette raison, passent dans la classe fiscale supérieure, verraient leur allègement fiscal diminuer.

Au premier abord, l’initiative de l’UDC élimine une injustice. En réalité, le texte entraîne de nouvelles injustices et continue à peser sur un système fiscal déjà fort complexe. C’est sur ce point que Monika Bütler attire l’attention en demandant une simplification: l’allègement fiscal devrait pouvoir être demandé à l’avenir uniquement si la garde des enfants est effectuée par une personne qui ne fait pas partie de la famille et dont c’est le métier. L’UDC devrait quant à elle s’en tenir à son principe d’imposition fiscale: «Nous nous engageons pour plus d’allègements forfaitaires et des taux d’imposition plus bas plutôt que pour une multitude de déductions motivées par des intérêts individuels.» C’est du moins ce qu’on peut lire sur le site Internet du parti.

Et finalement, il reste un fait incontesté qui est encore bien trop peu reconnu: l’économie suisse, la société dans laquelle nous vivons, peut être reconnaissante aux grand-mères (et de plus en plus aux grand-pères) pour la garde des enfants. Le travail qu’elles fournissent, également pour prendre soin de leurs proches et de leurs amis, doit être désormais pris en compte, non pas comme intérêt individuel, mais comme partie intégrante d’une orientation politique globale et également et surtout de la politique fiscale.

165 commentaires sur «Les grand-mères ne se laissent pas faire»

  • Petra Russo dit :

    Es ist ja den Eltern nicht verboten der Grossmutter einen Teil des Geldes zu geben. Die Aufteilung innerhalb der Familie ist flexibel handhabbar. Zudem zeigt der Staat mit der Entschädigung aller Eltern, dass er nicht nur Eltern belohnt die sich primär um ihre Karriere kümmern und die Erziehung den Krippen überlassen.

    • Hans Müller dit :

      Es werden leider nicht alle Eltern entschädigt werden, sondern im Gegenteil allen Eltern die Abzüge gestrichen. So lässt sich die Initiative auch umsetzen. Lesen Sie mal auf der Internetseite der Initiative unter dem Kapitel « Initiativtext » nach. Dort steht explizit: « Es wird also keine verfassungsmässige Verpflichtung, Betreuungskosten zum Abzug zuzulassen, geschaffen. » Was meinen Sie, wie die Kantone mit ihren leeren Kassen die Initiative umsetzen werden? Eben! Am Ende gewinnen nicht alle, sondern es verlieren alle!

      • adrian dit :

        Wenn alle Abzüge wegfallen, fallen mehr Steuern an. Fallen mehr Steuern an, sinken die Steuern für alle. Das unsägliche Abziehen bei jedem Furz verzerrt nur das Bild und schafft falsche Anreize.

      • Yves Hoehler dit :

        Und Müller was spricht dagegen? Die die jetzt Abzüge machen können, erhalten ja dafür sogar noch Subventionen, die von denen bezahlt wird, die keine Abzüge machen können. Wo ist da also die wahre ungerechtigkeit? Seht es endlich ein, dass die Linke schon seid Jahren am Volk vorbei politisiert mit ihrer Sozi-Politik. Aber auch nach den nächsten Wahlschlappen werdet ihr wieder nur nach Ausreden suchen, statt mal Fehler einzusehen und aufs Volk zu hören.

        • Hans Müller dit :

          Ich gehöre auch zum Volk und ich teile Ihre Meinung ganz und gar nicht. Hört endlich auf vom Volk zu reden, wenn ihr SVP Sympathisanten meint. Und ja, die SVP rekrutiert Arbeitskräfte immer noch lieber im Ausland, statt hinter dem einheimischen Herd.

      • R. Merten dit :

        es verlieren nicht alle, Hr. Müller. Die Asyl-, Sozial- und Hilfsindustrie müsste dann halt Federn lassen z.G. von Eltern und Grosseltern, die die Kinder selber betreuen und erziehen. Aber ich höre schon den riesigen Aufschrei der Sozis, die um ihre grosszügigen Subventionen fürchten !!

        • Cecil Maria dit :

          Äähm hallo?! Klar verlieren alle, r.merten! Vorallem wir junge Frauen, die sicher keine mehrjährige Uni-Ausbildung machen,um von der Bünzli-CH danach wieder an den Herd geschickt zu werden! Oder um uns dann keine Kinder leisten zu können, wegen den horrenden Krippen-Kosten!! Unglaublich, r.merten, unglaublich!! Und ausserdem: grosszügiuge Subventionen?? Kennen sie jemanden der in einer Krippe arbeitet? Genau, die verdienen NICHTS, NADA! Die einzige Industrie, die in der CH grosszügigst subventioniert wird ist die Landwirtschaft. Ach, und dann hätten wir da noch die Armee mit einigen Milliärdli

          • R. Merten dit :

            was haben Sie den für ein Menschenbild, Cecil Maria ? Auch schon etwas von Eigenverantwortung gehört ? Aus- und Weiterbildung ist eine gute Lösung, um auch beruflich vorwärtszukommen. Von nichts kommt nichts, Cecil Maria. Die intakte Familie ist ein sehr wichtiger Punkt. Kinder, die vernachlässigt werden – und das sind immer mehr in diesem sozialistischen Umfeld- machen immer mehr Probleme und kosten den Staat Unsummen. Die verantwortlichen Eltern können die Summen ja meistens nicht selber aufbringen. Aber Hauptsache- man kann sich selber verwirklichen!

          • Susi Meier dit :

            Danke Cecil Maria, Sie sprechen mir aus der Seele!

          • A. Fisch dit :

            Vergesst bitt nicht, dass wir ALLE die Krippen und Tagesstätten mit unseren Steuern ebenso unterstützen, wie die Schulen. Und dafür können wir nichts abziehen. Ist auch gut so!
            Aber wenn schon Eltern unterstützen, dann alle, darum JA stimmen.
            PS. Jetzt ist die Neidkultur bei der SP und den Grünen sehr deutlich zu sehen. Leider.

    • Fred Ruegg dit :

      Petra,
      Kongratulation für Ihren scharfsinnigen und fundamentalen Kommentar.

  • Hagmann dit :

    Das ist doch alles linkes Geschwätz. Das Problem liegt darin, dass die staatlich überregulierte Kinderfremdbetreuung
    Den Staat immer wie mehr kostet und, siehe Deutschland, der Staat seinen Auftrag nicht erfüllt. Es fehlen Krippenplätze.
    Deshalb ist die SVP- Initiative, wie übrigens die ganze SVP -Politik die richtige und nachhaltigste Sozialpolitik, aber eben auf dem Boden der Relaität und deshalb manchmal für die rotgrünen Säusler unangenehm.

    • Arthur Künzler dit :

      Die rotgrünen Säusler können eben auch denken und verstehen sehr wohl, dass es eigentlich darum geht, die staatlich geförderte Krippenbetreuung abzuwürgen. Herr Hagmann, wer hier säuselt, sind Sie, Sie verraten sehr klar, worum es ihres-
      gleichen geht. Sie und ihres gleichen sind Rattenfänger! Leider erfolgreich.

      • maja dit :

        solange die Wirtschaft die Frauen braucht säuselt die SP und die Grünen aber sobald die Frauen wieder vorig sind, dann
        kommen neue linke kinderpsychologische Studien die behaupten die Familie ist das beste für die Kinder.
        Zu viel Familienpolitik ist genau so schädlich wie wenn die Wirtschaft zu stark gegängelt wird.

    • Eli Habegger dit :

      Wie funktioniert ihre RELAITÄT? In Deutschland schafft der Staat nicht genügend Krippenplätze, darum ist die SVP-Sozialpolitik nachhaltig? Dann wäre doch die SVP in Herkunftsland der Familie Blocher besser platziert als bei uns …

      • Sam Lang dit :

        Aber, aber, Eli H. Und das von einer Frau. Dass die Blochers Schweizer Frauen heirateten, zählt natürlich nicht. Und dass Blocher mehr schweizer wie deutsche Gene in sich trägt, zählt auch nicht. Es bestätigt sich wieder einmal, Frauen, die Blochers heiraten und Frauen, die in Blochers Partei sind, sind für linke Frauen minderwertige oder gar keine Frauen….

    • Ratthon dit :

      Und wissen Sie wie teuer es ist, wenn alle, die Kinder haben, einfach weniger Steuern zahlen müssen? Und raten sie mal wer, das dann zahlt? Am besten für niemanden Abzüge, es gibt heute schon für jeden Mist hier und da abzüge.

    • Peter Frick dit :

      Die SVP-Initiative ist ein rein ideologischer Unsinn. Die Gesamtsumme der bisherigen Abzüge wird umverteilt. Jene die die Kinder fremdbetreuen lassen können weniger abziehen und überlegen sich nun zu Hause zu bleiben. Um die Arbeitsplätze zu besetzen holen wir dann Ausländer rein.

      • R. Merten dit :

        Es geht darum, Hr. Künzler und Hr. Frick, dass die Linken auf ihre Fahne geschrieben haben, dass es besser ist, wenn der Staat die Kinder erzieht und nicht mehr die Eltern. Deshalb drücken die Sozis immer mehr Gesetze durch, die solche Familienmodelle unterstützen und subventionieren. Wenn es nach den Linken geht, könnten z.B. vor allem Leute, die keine Steuern zahlen, im Asylstatus verbleiben und in der sozialen Hängematte liegen, Krippen und Horte gratis benützen- natürlich auf Kosten aller Steuerzahler. Diese Leute haben dann auch keinen Anreiz, ihre Lebenssituation zu verbessern!

        • sabine zeltner dit :

          Sagen Sie mal, R. Merten, auf welcher Fahne, in welchem Parteiprogramm der Linken steht denn, dass sie verlangen, dass der Staat die Kinder erzieht? Selbst wenn Sie es nicht wahrhaben wollen: auch der Linke ist ein Mensch und liebt sein Kind! Selbstverständlich tut ein bisschen Kinderhort den Kleinen gut, es fördert die Sozialisation, stärkt das Immunssystem und führt zu selbstständigen, selbstsicheren Kindern, die nicht lebenslang neurotisch an Mamis Rockschössen hängen. Fast alle, die in Krippen waren, haben schöne Erinnerungen und wachsen zu normalen Menschen heran wie Sie und ich.

          • R. Merten dit :

            genau, das ist das linke Menschenbild- geschönt und verzerrt, Frau Zeltner. Es ist aber erwiesen, dass Kinder, vor allem Kleinkinder, am besten bei der Mutter zu Hause aufgehoben sind und in einer vertrauten Umgebung aufwachsen können. Die vielen Schlüsselkinder zeigen ja die sozialen Probleme, die in unserer Gesellschaft bestehen. Oder wollen Sie auch das schönreden oder bestreiten, Frau Zeltner ?

    • Schluchter dit :

      aber eben den Blick nur bis nach Deutschland schweiffen lassen. Sprechen sie doch mal mit einem Dänischen Nationalkonservativen. Dieser will die Familienexterne Betreuung nicht wieder abschaffen, welche die Dänen vor 50 Jahren eingeführt hatten. Aber eben, die Schweiz soll ja so sein wie zu Gotthelfs zeiten. Ja man könnte ja meinen die Moderne sei noch nicht in der Schweiz angekommen und wir leben alle auf stattliche Höfen und haben ja knechte und mägde um das mühsame zu erledigen.
      Hallo kommen sie auch mal in der Moderne an und nehmen die Bedürfnisse wahr.

    • Gunnar Leinemann dit :

      @Hagmann: Genau solche Leute wie Sie sind es, die solchen dummen Initiativen auch noch zum Erfolg verhelfen. Nicht nachdenken (wollen oder können) und alles als Linkes Geschwätz abtun. Verblendete SVP-Jünger gibt es leider viel zu viele in diesem Staat, zum Leidwesen aller.

      • R. Merten dit :

        Die Kinderbetreuung ist aber überreguliert, Hr. Leinemann. Das sagen alle Fachleute. Die linke Bürokratie kennt da keine Gnade. Aber das darf man sicher einmal erwähnen, Hr. Leinemann, ohne dass man von SP-Parteisoldaten mit banalen Sprüchen niedergemacht wird, oder ?

        • iskra dit :

          Parteisoldaten sind eben Soldaten…….gehorsamst……..egal ob SP- oder SVP-Parteisoldaten.

          • R. Merten dit :

            ja, aber SP-Parteisoldaten wollen die Probleme nicht wahrhaben oder schönreden, Iskra. Und dass Sie bestreiten, dass die auswärtige Kinderbetreuung überreguliert ist, zeigt, dass Sie von allem keine Ahnung haben, Iskra. Ich plädiere weiterhin für eine gute Ausbildung !

      • Danielbruengger dit :

        Like!

  • Louis Nef dit :

    a) « Und die Profiteure der Initiative wären bei den Gutverdienenden zu finden ». Im Verhältnis zur Gesamtstuerbelastung wäre die Einsparung wohl gering. Das Argument ist doch reine Schaumschlägerei. Nehmen wir ein Einkommen von 300’000.-, Gesamtsteuerbelastung ca. 65-70’000.- = < 20%. Ein Abzug von sagen wir 5'000.- bringt ca. 1'000. Steuerersparnis. Das fällt doch nicht mehr ins Gewicht.
    b) Das Ganze ist menschenunwürdig, denn wir leben in Gemeinschaften, wo jeder dem anderen helfen sollte, speziell in der Familie. Das ist nicht bezifferbar.

    • tigercat dit :

      Ja, einverstanden (ich habs nicht nachgerechnet aber vom Prinzip her). Aber anderseits: ein Familieneinkommen von CHF 90’000.00 oder weniger (und das dürften mehr sein als >/= CHF 300’000.00) bezahlt heute schon keine Bundessteuer und kann logischerweise von keinem noch so hohen Abzug profitieren. Wenn man diese Zielgruppe fördern will, müsste man die Kinderzulagen erhöhen. Aber um das geht es ja bei der Initiative nicht sondern damit die besser Gestellten noch besser gestellt werden können. Oder eben eine weitere Umverteilung von unten nach oben.

  • Balogh dit :

    Recht haben sie. Das klingt kämpferisch, wie die grauen Panther. Zum Glück gibts noch Leute die denken und die Mogelpackungen der SVP aufdecken

  • Anton Keller dit :

    Sobald es keinen Unterschied zwischen Eigen- und Fremdbetreuung gibt, ist es ein Pauschalabzug, ganz wie es die SVP will. Es deckt den Leistungsfähigkeitsverlust ab, der unabhängig von der Betreuungsform anfällt.

    • Georg Merkl dit :

      Private Entscheidungen auf eine Erwerbstätigkeit zu verzichten und die Kinder selbst zu betreuen sind nicht vom Staat über Steuerabzüge zu finanzieren. Eine steuerliche Ungleichbehandlung findet nicht statt. Wenn kein Lohn für die Kinderbetreuung bezahlt wird fallen keine echten Kosten an. Würde der Lohn für die Krippenbetreuung vom anderen Elternteil als Einkommen versteuert wäre die Auswirkung Null. Geht der andere Elternteil arbeiten und verdient ein Einkommen das zufällig der Höhe der Krippenkosten entspricht, ist die Auswirkung nach Abzug der Krippenkosten auch Null.

      • weshalb geht man dann arbeiten wenn es sich nicht lohnt? Schade, Kinder sollten eine enge Beziehung zu ihren Eltern aufbauen und umgekehrt. So kann man an ihren Freuden und Nöten teilhaben und dies verbindet.Ich war auch zu Hause. Wir leisteten uns keine Ferien im Ausland, ich nähte und strickte. Sparte,wir waren zufrieden. Wenn die Kinder heimkamen erwartete sie jemand der ihnen zu hörte. Mit ihnen sprach und teilnahm .Ich möchte diese Zeit nie missen. Wir hatten nur ein kleines Einkommen und waren zufrieden. Keiner der Beiden Söhne trank oder rauchte. Im Berufsleben sind sie erfolgreich.

        • Jerem dit :

          Ich finde es gut, dass Sie sich ihr Leben so eingerichtet haben. Aber viele Frauen wären so nicht glücklich. Für mich war, als Beispiel, immer klar, dass ich nach meinem Studium auch mit Kindern arbeiten werde. Dank meines Berufes war es möglich, die Kinder selber zu betreuen und gleichzeitig erwerbstätig zu sein – dies dank der Unterstützung meines Mannes und Vater der Kinder.
          Leben und leben lassen, das wäre doch die Devise. Wieso müssen die verschiedenen Lebensmodelle immer gegeneinander ausgespielt werden?

  • Thomas Hartl dit :

    Das Beispiel der Grossmütter zeigt, dass die Initiative zu kurz greift. Vernünftiger als Steuerabzüge für Eigen- oder Fremdbetreuung ,wäre eine deutlich höhere Kinderzulage, mit einem fixen Betrag pro Kind. Die Eltern könnten dann selber entscheiden, ob sie mit diesem Geld eine Krippe bezahlen, es zur Eigenbetreuung nutzen, oder den Grosseltern geben. Es wäre auch gerechter, weil sich die Kosten für das Kind eines Bankdirektors und eines Fabrikarbeiters kaum unterscheiden, die Steuerabzüge aber gewaltig.

    • Bea Habegger dit :

      Wir brauchen keine neuen Giesskannenprinzipe mit falschen Anreizen mehr. JA zur Familieninitiative.

      • Hans Müller dit :

        Klar doch, wir brauchen gezielte Steuererleichterungen für die Reichen.

      • Peter Frick dit :

        Die Fremdbetreuung muss heute nachgewiesen werden. Das ist kein Giesskannenprinzip. Die Initiative ist das Giesskannenprinzip. Daher NEIN.

    • Hans Müller dit :

      So ist es. Aber die SVP will ja nicht wirklich Gerechtigkeit, sondern einmal mehr Steuererleichterungen für die Reichen.

      • Yves Hoehler dit :

        Danke dass ich jetzt mit 70000.- Brutto auch zu den Reichen gehör. Ich profitiere nämlich auch.

        • Eli Habegger dit :

          100’000 ist nicht gerade reich. Aber erklären Sie mir wieso Sie einige hundert Franken Steuererleichterungen brauchen und alle mit weniger Verdienst nichts bekommen sollen? Im Gegenteil – die Steuergeschenke an alle mit ¨ber 100’000 Franken reisst Löcher in die Gemeinde- und Kantonskasse und dann wird gespart. In der Regel wieder auf Kosten der Wenig- und Normalverdienenden.

          • Daniel Caduff dit :

            @ Habegger: Mehr Giesskanne als einfach allen einen Abzug gewähren, geht wohl gar nicht, oder? Schön, dass Sie Ihr Argument gleich selbst entwerten. Die heutige Situation hingegen gewährt nur denjenigen einen Abzug, die auch effektiv Betreuungskosten nachweisen können. Und jetzt kommen Sie mir nicht mit « wir haben dafür kein Einkommen ». Nicht erzieltes Einkommen ist nicht dasselbe wie eine Auslage. Sie bekommen dafür mehr Zeit mit ihren Kindern.

        • Benno Stechlich dit :

          Wenn sie wirklich mit SFr. 70’000.– ein alleinverdiener sind, irren sie sich. Sie profitieren nicht. Klar, sie werden weniger Steuern bezahlen, mir ihrem kleinen Einkommen wird das aber nicht sehr viel sein. Die grossen Einsparungen machen die grossen Einkommen, wo die Progression hineinspielt. Dieses Geld fehlt dann, wird dann durch höhere Gebühren, Einsparungen bei der Bildung (Gutverdienende kompensieren das durch Privatstungen/-schulen) und anderen Leistungen kompensiert. Am Schluss haben sie SFr. 100.– Steuern gespart und SFr. 1000.– mehr ausgaben.

        • T.Sigirst dit :

          @Yves Hoehler
          Wer profitiert mehr? Studieren Sie mal:

          Bei Annahme der Iniative spart eine arme Familie vielleicht 200.– Steuern, eine Reiche Familie vielleicht 2500.–. Ist die Familienarbeit der Reichen soviel mehr wert? Wir machen einen Verlust von 1.4 Milliarden. Profitieren tun aber die Reichen.

        • tigercat dit :

          Können Sie mir bitte mal erklären wie? Herzlichen Dank

          • Yves Hoehler dit :

            Bei euch tönd einfach nur der Neid aus euren Aussagen. Bei den Linken Initiativen wie BGE das uns 200 Milliarden kosten würde oder 1:12 dei ebenfalls Milliarden kosten würde, jammert keiner! Aber hier wo die SVP mal EINE Milliarde verteilen will, werden dann RIESEN LÖCHER in die Staatskasse gerissen.. Zudem viele Familien die ihre Kinder in die Krippe bringen, sind solche Reiche die beide an ihrer Karriere arbeiten und Abzüge machen können. Also hört auf mit diesem von Neid getriebenen Diskussion und Heuchelei! Eine Motion die genau das Selbe schon mal verlangte, gabs 2008 schon mal von Links!

          • tigercat dit :

            Bitte Herr Hoehler – lenken Sie nicht ab. Und übrigens, die Motion, von der Sie sprechen, kam von der BDP und die ist sicher nicht links. Und ich warte immer noch auf Ihre Erklärung, wie Sie mit CHF 70’000 Brutto Einkommen ebenfalls von dieser Initiative profitieren können.

          • Albert Schwarzenbacher dit :

            Diese Motion, Hoehler, kam von Ursula Haller, die ist in der BDP. Und wer die BDP als links bezeichnet, sollte dringend sein Weltbild neu justieren. Lustig ist allerdings, dass die SVP hier von der verhassten BDP abschrieb.

        • Hans Müller dit :

          Nein, eben nicht! DBSt bezahlen Sie mit 70t Brutto eh nicht und der Kanton wird Ihnen keinen Abzug gewähren, sondern denjenigen der anderen Familien streichen. So geht das! Und selbst wenn der Kanton einen Abzug gewähren wird, so profitert der Reiche mehr als Sie, was ja nicht wirklich der Sinn sein kann.

      • R. Merten dit :

        das ist nun wirklich ein Argument, das nicht stimmt und tendenziös ist, Hr. H. Müller. Ein Spruch sollte wenigstens originell und nicht billig daherkommen !!

  • Ernst Dittmar dit :

    Die Familieninitiative ist scheinheilig. Erstens profitieren nur Gutverdienende. Und zweitens würde die SVP ihrem Familienideal einen viel besseren Dienst erweisen, wenn SVP-Unternehmer den Vätern einen genug grossen Lohn zahlen würden, so dass die Mütter zu Hause bei den Kindern bleiben könnten. Das wäre echte Familienförderung. Aber mit der Familieninitiative wird dem Volk wirklich nur Sand in die Augen gestreut.

    • Bea Habegger dit :

      Die Familieninitiative ist die Korrektur einer bestehenden Steuer-Ungerechtigkeit, welche 2011 geschaffen wurde.

      • Peter Frick dit :

        Die SVP schafft eine Ungerechtigkeit. Abzüge für Auslagen die man gar nicht hat.

        • Walter Boshalter dit :

          Man hat zwar keine Ausgaben, dafür hat man auch keine Einnahmen.

          • t.sigrist dit :

            Ja sehen Sie auch wenn beide arbeiten und Krippe bezahlen, haben wir nicht mehr Verdienst. im Jahr 2012 habe ich mehr bezahlt als Eingenommen. schlussendlich sind wir wenig verdienende immer die Verlieren und mit Annahme dieser Iniative verlieren wir gerade nochmals. Denn wer mehr Verdient kann einen hoeheren Betrag sparen und dieser Fehlt dann.

        • Roger Mayer dit :

          Mehrausgaben darf man z.T. abziehen aber mit Mindereinnahmen muss man leben! Es ist ja nicht nur der zweite Lohn der fehlt, es sind auch PK, AHV und 3. Säule.
          Wer dir. Bundessteuern zahlt, profitiert – und das ist auch der Mittelstand. JA!

          • t.sigrist dit :

            ja aber desto mehr man verdient desto mehr spart man. wenig Einkommen, spart man z.b 300.– viel Einkommen zb. 2400.–. ist jetzt die Familienarb. der reichen Mutter soviel mehr wert? Ich bin dafür das alle wenig verdienenden Familien unterstuezt werden, aber da muss man eher lik als recht waehlen.

    • Fredi von Ballmoos dit :

      Ja wiedereinmal die Bösen Bösen SVP Grossunternehmer. Eigentlich müsste man Sie einfach abschaffen, dann währe das
      Übel bei der Wurzel gepackt. Gottseidank gibt es keine SP Grossunternehmer, sonst müssten die Linken und Grünen auch noch über ihre eigenen Brüder und Schwestern schimpfen…..

  • Abdel Thuma dit :

    Jetzt wird hier aber aus vollen Rohren gegen die SVP äh die Familieninitiative geschossen. Sogar der Ex-Präsodent einer längst untergegangenen Partei wird dafür nochmal an die Öffentlichkeit gezerrt.
    P.S. Habe keine Kinder, bin aber trotzdem dafür. Wenn wir uns hierzulande ein aufgeblhtes Sozialwesen leisten können, liegt ein wenig Familienförderung locker drin. Geiz ist hier wirklich nicht geil!

  • Albrecht Kern dit :

    Warum sprechen alle von dem Grossmüttern? Im Zeichen der Eman(n)zipation müssen auch die Grossväter erwähnt werden.

    • maja dit :

      steht ja, dass auch zunehmend mehr Grossväter sich beteiligen. Leider hat die Kinderbetreuungsregelierung viele private Möglichkeiten ausgebremst. Da hat die SP den Frauen ein Ei gelegt.

      • T.Sigirst dit :

        Meine Eltern wollen Ihr leben führen und sind ausgewandert. Ich kann nicht einfach mal die Kinder vorbei bringen, für solche sollte es doch auch andere Möglichkeiten geben.

  • Werner Meier dit :

    Was bisher unter sozialen Beziehungen oder Bindungen lief, wird zunehmend ökonomisiert. Mit Steuerrabatten (jeglicher Art) sollten wir deshalb sehr sehr vorsichtig umgehen.

  • Jana dit :

    Kinderlose Singles werden in der Schweiz nicht nur als Steuerzahler diskriminiert, sondern -falls Frau- auch noch als Egoist betitelt. Daher lebe ich auch in einem Land mit einer 10% Flattax.

  • Bea Habegger dit :

    Herr Schaller, Spitzfindigkeiten bringen keine Lösungen nur um ein Nein bewirken zu können. Es geht in dieser Initiative ganz klar um ELTERN und um die Abschaffung einer Ungleichbehandlung von ELTERN und nicht um Grosseltern oder andere Betreuungsbereiche. Oder fordern Sie letztlich gar noch Steuerabzüge für « nur » Staatskita-Betreuerinnen, da diese ja die Betreuung fremder Kinder übernehmen? Die Gegen-Argumente werden immer diffuser aber kaum glaubwürdiger.

    • Lorenz dit :

      liebe frau habegger
      nur weil sie vehement auf allern herumhacken, die gegen die SVP-initiative sind, wird diese nicht besser. von wegen diffusen argumenten: gerade die befürworter arbeiten mit immer schrägeren argumenten. weil – zum glück – immer mehr leute den schwindel hinter dieser initiative realisieren.

    • T.Sigirst dit :

      Herr Habegger ja was ist den mit den Doppelverdiener bei welcher das Kind bei der Grossmutter ist. Diese Familie darf dann einen Abzug machen, ohne das Sie Ausgaben haben. Informieren Sie sich doch richtig!

      • Bea Habegger dit :

        Herr Lorenz, der einzige Schwindel ist, dass die Gegner versuchen zu vertuschen, dass seit 2011 in diesem Bereich eine Steuerungerechtigkeit besteht, welche mit einem JA korrigiert werden soll.

        • t.sigrist dit :

          ich verdiene 20 000.– pro Jahr, mein Mann 65 000.–. so haben wir zusammen 85 000.– davon bezahlen wir 18 000.– Krippe. So ist der Endbetrag CHF 67 000.–. sie finden es aber Richtig wenn ich Steuern auf 85 000.– bezahle? ich kann ja nur abziehen was ich Ausgebe, zahle ich z.b nur 3 000.– fuer Krippe, kann auch nur diesen Betrag abziehen! Der Alleinverdiener mit 85 000.– kann mit Annahme dieser Iniative aber etwas abziehen, ohne Ausgaben fuer Fremdbetreuung zu haben! Das ist aber in Ihnen Augen fair?

  • Werner Wunderli dit :

    Es ist erstaunlich, was alles an Gedanken und Druckerschwärze « produziert » wird, um diese Initiative zu bodigen. Hätte all den Gegner der Familieninitiative nie soviel Kreativität zugetraut. Leider kommt die Initiative von der falschen Partei, deshalb muss man sie bekämpfen, auch wenn es im Grundsatz eine gute positive Idee ist.

    • W. Studer dit :

      Unglaublich, mit welcher Logik und welchem rationalem Denken gehandelt wird, obwohl von den Politikern dauernd nach Sachpolitik gerufen wird wenn’s kritisch wird, sie aber aus Prinzip ein Nein in die Urne werfen. Viele SVP Vorschläge sind ausgezeichnet und werden abgelehnt, eben weil SVP. Darum haben wir auch so viele ungelöste Probleme, anstatt 4mal im Jahr die Logik einzu- und die Emotionen auszuschalten und mal über den eigenen Schatten springen.

  • Bea Habegger dit :

    Wollen Sie etwas für Grosseltern tun, engagieren Sie sich am besten gegen die Heiratsstrafe und/oder setzen Sie sich ein für Steuerbefreiungen für Rentner ein.

  • Martin dit :

    Wieso möchten die Linken die Frauen (und Männer) unbedingt in die Erwerbsarbeit zwingen? Noch mehr Arbeitnehmer auf dem Arbeitsmarkt bedeutet noch tiefere Löhne und noch schlechtere Arbeitsbedingungen und noch mehr Pendler. Die meisten Frauen und Männer sind nun mal nicht hochqualifiziert. Die Mehrfach subventionierten Kinderhorte rentieren volkswirtschaftlich nicht. Da die Subventionen für Kinderhorte höher sind als die zusätzlichen Gewinn aus Erwerbsarbeit. Und was haben die Grossis damit zu tun, die machen das freiwillig. Eltern aber haben eine Erziehungs- und Aufsichtspflicht

    • Benno Stechlich dit :

      Die Linken wollen ein höhere Kinderzulage, welche für jedes Kind den selben Beitrag gewährt und nicht besserverdienende durch die Progression bevorzugt. Ein Beispiel? Bei einem Einkommen von SFr. 50’000.- sparen sich durch den Steuerabzug so gut wie nichts (der Betrag wird vom steuerbaren Einkommen abgezogen, nicht von den Steuern. Bei einem Einkommen von SFr. 300’000.–, können die Einsparungen hingegen in die Tausende gehen. Bei einer Kinderzulage von z. B. SFr. 1000.– profitiert das hohe Einkommen genau gleich wie der schlecht Verdiende. Aber man muss Rechnen könne, populismus hilft nicht

    • T.Sigirst dit :

      Weil wir Frauen auch studiert haben uns sei es nur eine Lehre ist. Früher hatte man mehrer Kinder oder die Frau eine Aufgabe auf dem Bauerhof, heute gibt es viele Kinder die vereinsamen vor dem Fernseher! Wenn wir genug Personal haben, warum brauchen wir dann immer mehr arbeiter vom Ausland.. Ihr Kommentar ist nicht fertig gedacht!

  • W.Grämer dit :

    Haben unser Enkelkind jetzt 15 jährig von der Geburt bis 14 Jahre alt aufgezogen +betreut da unsere Tochter Alleinerziehend war,bekamen aber vom Vater Staat nie einen Stutz.Auf der andern Seite wir machten es gerne als Grossmutter +Grossvater.Und waren auch in der Lage da wir den Beruf als Abwartsehepaar eines Schulhauses hatten +im gleichen Dorf wohnten nicht auswärts.So musste unser Enkelkind nicht in eine Krippe.

  • Max Bader dit :

    1. Die Grosseltern werden schon über die Eltern « entschädigt » mit einem Steuerabzug. Es gibt einfach für die Kinder einen Steuerabzug und was man mit dem eingesparten Geld macht, ist jedem seine Sache. Bei den Kinderzulagen argumentiert auch niemand, dass man diese an 30 Betreuende Personen auszahlen soll.
    2. Die Initiative sagt nichts über das Modell des Steuerabzuges. Wenn man der Meinung ist, vor allem Reiche profitieren, dann kann man ihn dort auch reduzieren. Er muss einfach gleich sein. Wenn angeblich vor allem Reiche profitieren, dann ist das ja schon jetzt so.

  • Yves Hoehler dit :

    Man kann euch Gegner nicht mehr ernst nehmen was ihr da alles zusammen dichtet. Seht endlich ein, dass ihr am Volk vorbei politisiert!!

  • Paul Müller dit :

    Wie wäre es mit Gleichstellung? Wenn dann bitte Grosseltern und nicht nur Grossmütter… Wie ich es liebe wenn nach Gleichberechtigung geschrienen wird, wenn Frauen nicht zum Zuge kommen, aber den Mann auslassen ist natürlich kein Problem.

  • Hans Gerber dit :

    Das Grossmutter-Argument ist an den Haaren herbeigezogen, da die Eltern ohne weiteres Betreuende entschädigen können mit dem gemachten Steuervorteil. Beim gutverdienenden Mann kann man auch umgekehrt argumentieren, nämlich dass sie in der Regel gut ausgebildete Frauen heiraten, die nicht zu Hause verkümmern wollen. Auf der anderen Seite unterstützt die von rechts kommende Initiative ironischerweise muslimische Familien, die noch viel traditioneller leben als fundamental Christen. Es kann sich also jeder zusammen argumentieren was er will um seine Position zu rechtfertigen.

    • Esther Ulrich dit :

      Die Grossmütter könnten ja eine Sammelklage einreichen und das Betreuungsgeld für das Zuhause bleiben und Kinder gross ziehen nachträglich noch einfordern. Verrückt: Geld, Geld und nochmals Geld auch für das normalste, nämlich seine Kinder selber erziehen! Eine Familie, die sich das leisten kann solll sich dock glücklich schätzen und nicht noch Geld fordern!!

  • Hans Müller dit :

    Dass die SVP sich ständig selber widerspricht ist logisch. Die SVP vertritt die Interessen der Oberschicht. Da diese Oberschicht aber zahlenmässig bei weitem zu klein ist, um Abstimmungen und Wahlen zu gewinnen, muss die Partei die Unter- und Mittelschicht, aus welcher sie ihre Wähler in erster Linie rekrutiert, davon überzeugen, sich selber zu schaden. Und dazu braucht es Mogelpackungen wie eine Familieninitiative, eine Minarettinitiative, Unternehmensteuerreformen, etc.

  • T. Tillmann dit :

    Ich bin arbeitslos und hüte meine Enkelkinder. Ich finde keinen Job und ich will für die Zeit mit meinen Enkeln vom Staat entschädigt werden. Das ist nur fair, denn ich habe ja keine Arbeit. Die Juso sollte mehr für uns Arbeitslose tun, denn die Reichen haben so viel, dass wir nicht mehr arbeiten müssen. Wieso sollen wir arbeiten, wenn andere für uns zahlen?

    • Yves Hoehler dit :

      kann nicht dein Ernst sein oder?! Tu was, geh arbeiten damit du dir dein eigenes Geld verdienen kannst. in der CH gibt es für jeden einen Job! Also mach selber etwas für dein Glück, statt allen ihr eigen erarbeitetes Geld wegnehmen zu wollen! Kinder erziehen ist nicht Aufgabe des Staates, sonder der Eltern!!

      • Peter Pfrunger dit :

        Herr Hoeler, wenn sie nicht so hypern würden hätten sie erkannt, dass Herr Tillmann hier bloss als Agent Provocateur agiert. Das wird sie aber nicht daran hindern zu glauben, dass « Linke » tatsächlich so denken würden. Zu gerne sehen sie sich in ihren Vorurteilen bestätigt.
        Was! Sie wollen medizinische Versorgung? Gehen sie doch selber Medizin studieren, dann können sie selbst für sich sorgen!

      • T.Sigirst dit :

        Ja die Kinder sollen nicht mehr in den Kindergarten oder in die Schule, wir wollen keine Staatskinder!

    • Stefan Gisler dit :

      Die SVP-Initiative nutzt ihnen gar nichts – Steuerabzüge erhalten ja nur die, welche über 100’000 Franken verdienen. Die Juso, die Grünen und andere setzen sich gegen die Initiative ein, weil aufgrund er 1,4 Milliarden, die dann der öffentlichen Hand fehlen werden, wieder Sparpakete geschnürt werden. Dann fehlt Geld für Familien- und Betreuungszulagen und Sie werden garantiert nie etwas erhalten. – ABER: Ihr Beitrag war ja zynisch gemeint. Also Tillmann, ab zur Arbeit 🙂

  • Hans Müller dit :

    « Eltern, die ihre Kinder selber betreuen, muss für die Kinderbetreuung mindestens ein gleich hoher Steuerabzug gewährt werden wie Eltern, die ihre Kinder fremd betreuen lassen. » lautet der Initiativtext. Weiter steht auf der Internetseite der Initiative: « Der obige Formulierungsvorschlag überlässt es der Freiheit des kantonalen Gesetzgebers, ob er Betreuungsabzüge gewähren will oder nicht. Es wird also keine verfassungsmässige Verpflichtung, Betreuungskosten zum Abzug zuzulassen, geschaffen ». Das heisst, dass Kantone auch einfach sämtliche Abzüge streichen können und genau dies werden sie tun!

  • Arthur Künzler dit :

    Für mich völlig logisch, nur, nicht nur Grossmütter, auch Grossväter leisten Beiträge an die Gesellschaft, die diese in keiner Weise entschädigt, z.B. die Betreuung von Alten und Behinderten oder auch Enkeln. Nicht einmal den Benzinbetrag darf man abziehen!
    Wer so denkt und für alles Abzüge fordert, schadet auch dem Gemeinschaftsgefühl, dem sozialen Zusammenhalt. Als es um höhere Familienbeiträge ging, hat die SVP immer nein gestimmt in den Räten.

  • Meinrad Lacher dit :

    Was ist schon Gerechtigkeit? Eine 100%ige Gerechtigkeit gibt es nirgends. In diesem Fall stelle ich einfach die Frage: Familie X betreut ihre 3 Kinder selber, hat demzufolge nur 1 Einkommen und verzichtet z.B. auf Auslandferien . Dafür darf sie aber via Steuern die Hortplätze der Gemeinde mitbezahlen, wird also einmal direkt (via Steuern) und einmal indirekt (Verzicht auf Mehreinnahmen) zur Kasse gebeten. Ist das gerecht?

    • Yves Hoehler dit :

      genau und es geht ja noch weiter. Diese Familie X bezahlt ja mit den Steuern mit an den Krippenplätzen. Familie Y bringt ihre drei Kinder dann in die subventionierte Krippe (welche Familie X schon mitbezahlt) und darf dafür dann noch Abzüge machen. Das ist Gerechtigkeit nach linker Logik!

      • ritva laaksonen dit :

        Richtig. Vergessen wurde, dass es sehr viele doppelverdiener gibt, die sehr gut verdienen.

        • Daniel Caduff dit :

          Dann gibts noch Leute wie mich: Akademiker, unverheiratet, noch keine Kinder. Ich zahl grundsätzlich einfach für all Eure Kinder Steuern. Ist das dann gerecht? Offensichtlich ist Gerechtigkeit nicht so einfach herzustellen. Aber wenn ich schon bezahlen muss (eigentlich das Grundprinzip von Steuern, man bezahlt für andere…) dann ganz klar lieber für Familien, die aus wirtschaftlichen Gründen auf 2 Einkommen angewiesen sind, oder die dank erzielten Mehreinnahmen auch wieder mehr an Steuern zurückzahlen. Freiwillige Alleinverdiener zahlen wenig Steuern und gewinnen dazu Zeit mit ihren Kindern.

          • t.sigrist dit :

            ja die die viel verdienen bekommen auch keine subventionierte Krippe und zahlen sogar ueber dem Preis. Auch gut verdienende duerfen nur die Ausgaben abziehen, die Sie ausgeben. Bei diesen muesste die Frau wohl nicht mehr arbeite. und koennten dann bei Annahme noch einen Betrag abziehen ohne diesen je ausgegeben zu haben.

      • tigercat dit :

        Und ich habe überhaupt keine Kinder und bezahle Krippenplätze, Schulen, Universitäten etc. Ist das etwa gerecht in Ihren Augen? Merken Sie langsam wohin Ihre Argumentation führt, nur für das Steuern bezahlen zu wollen, was einem in den Kram passt?

      • T.Sigirst dit :

        Wir haben ja zwei Löhne, auch nach Abzug des Fremdbetreuungsbetrages, muss ich noch einen Teil von meinem Lohn und den vollen Lohn von meinem Mann versteuern. Die meisten bezahlen den vollen Betrag ab die Krippe. Mein Mann verdient 65 000.– pro Jahr, ich verdiene 20 000.– davon bezahle ich 18 000.– Krippe, Nicht subvensionert, weil wir über 80 000.– sind! Iher Meinung nach muss ich 85 000.– versteuern, obwoehl wir nur 67 000.– habe. Also wenn Sie das fair finden, dann verstehe ich Sie einfach nicht!

    • Peter Meier dit :

      Also bei uns gibt es keine subventionierten Krippen in der Gegend. Die Krippen sind alle privat geführt und wir bezahlen bei 3 Krippentagen die Woche jährlich gut 21.000 Franken. Ich glaube nicht, dass da die besagte Familie X auch nur einen Rappen mit zu tun hat. Ich denke ausserhalb der Städte gibt es kaum staatl. subventionierte Krippen. Ein Scheinargument der SVP, um das Familienmodell des Zweiverdienerhaushalts madig zu machen. Logisch: gibt es zuwenig Argumente bleibt meist nur noch die billige Polemik übrig. Schade, fallen zu viele Leute drauf rein, weil sie zu einfach gestrickt sind.

      • Peter Meier dit :

        Ich höre auch immer wieder das Argument, dass die Zweiverdiener so oft Auslandsferien machen würden. Was ist das nur für ein blödes Neid-Argument? In einem freien Land darf man wohl nach Steuern mit seinem Geld noch anstellen was man will, oder etwa nicht? Ausserdem sind Auslandsferien vermutlich günstiger als Ferien in der teuern CH. Aufgrund der Frankenstärke ist eine Woche Italien oder Deutschland für CHer viel günstiger als eine Woche in einem CH Ferienort. Aber es ist irgendwie typisch für die CH Mentalität: man gönnt dem anderen einfach nichts und ist zerfressen vor Neid!

  • Bettina Ramseier dit :

    Sozialgesülze! Wir Schweizer sind alle für Gleichstellung und Gleichbehandlung; das ist gerecht und solidarisch. Und wenn der Staat Kinderbetreuungsgelder verteilt in Form von Subventionen oder Steuerabzügen, so sind die Mütter, respektive die Eltern die Messgrösse, und nicht Verwandte und Fremdbetreuer. Daher ist die SVP-Initiative gerecht: sie behandelt die Unterstützung aller Kinder und Eltern gleich. Ob die Eltern das Kind Fremdbetreuen oder von der Tante oder Grossmutter beaufsichtigen lassen, ist deren Entscheid. Es darf keine staatlich vorgeschriebene Form geben! Darum: Jaja!

    • Thomas Hartl dit :

      @Bettina Ramseier: Die SVP-Initiative wäre gerecht, wenn sie allen Eltern einen fixen Betrag pro Kind zusprechen würde. Bei Steuererleichterungen profitieren Reiche mehr, obwohl die Betreuung ihrer Kinder nicht wirklich teurer ist.

      • Daniel Caduff dit :

        Gerechtigkeit, wenn genau die, die es am meisten nötig hätten, nichts davon profitieren? Nochmals für Sie zum mitschreiben: Abzugsberechtigt ist nur, wer direkte Bundessteuer bezahlt. Die vielen Familien mit schmalem Budget profitieren genau nichts. – Dafür kann sich die gutsituierte Familie mit sechsstelligem Haushaltseinkommen noch einen schönen Bonus gönnen, bezahlt von der Allgemeinheit. Möglicherweise reden wir aneinader vorbei, aber ich hab ehrlich gesagt eine andere Vorstellung von Gerechtigkeit. Gerecht ist, dass ich als kinderloser

  • Nick Schott dit :

    Wer die Steuerbelastung um 1 Mia. reduziert, soll sagen welche neue Steuer hinzukommt oder wo gespart werden muss, alles andere ist Bauernfängerei.

    • Yves Hoehler dit :

      Dann sollen die Linken aber zuest sagen, wie sie die 200 Milliarden fürs BGE und die angeblich nicht eintretenden milliarden hohen Steuerverluste bei der 1:12 Initiative finanzieren wollen. Wenn das gemacht ist, diskutieren wir wieder über diese eine lächerliche Milliarde die die SVP verschenken will.

    • Stefan Gisler dit :

      Familienfängerei …

  • Beobachter dit :

    Ganz einfach:
    1.) Den heutigen Abzug für Fremdbetreuung streichen
    2.) Die Kinderzulagen so anpassen dass Fremdbetreuung mitgetragen ist.
    Dadurch bleibt die frei Entscheidung bei der Familie ob sie sich am (starken!) Wirtschaftsinteressen in der CH beugen und Mami wie gewünscht auch arbeiten geht; ob die Eltern die Betreuung ihrer Kinder selber wahrnehmen wollen (kaum zu glauben dass diese zu Reden gibt!); oder ob jemand anders entschädigt wird (Grosi oder Grosätti). Dadurch wird auch das jetzige Steuersystem nicht komplizierter sonder einfacher

    • U. Knecht dit :

      +1

    • EBU dit :

      Das ist eine Superidee, da hat jeder die Möglichkeit, sein Familienleben so zu gestalten wie es zu ihm passt. Die ganze Diskussion über Geld ist einfach traurig, wir « alten » Müttern und heutigen Grossmüttern wäre es nie in den Sinn gekommen für’s zuhause bleiben noch Geld zu verlangen, aber eben, das waren noch Zeiten wo nicht nur das Geld regierte!

  • simon dit :

    Und wieso kann ich als alleinstehender kinderloser Mann keinen Kinderbetreuung abziehen? Meine Familien wollen einen Abzug für nicht anfallende kosten, dann müsste ich doch ebenfalls einen kriegen, ich bringe ja auch keine Kinder in eine Tagesstätte…

  • Ernst Rietmann dit :

    Als Bruder, Schwester, Gotte oder Götti hätte ich auch gerne einen Steuerabzug, wenn ich mich regelmässig um mir nahe Kinder kümmere. Ich sehe nicht ein, warum ich benachteiligt werde. Die Welt hört nicht nur bei den Grossmüttern auf. Ach ja, wenn ich mich als Nachbar oder Bekannter regelmässig um Kinder kümmere, sei es wegen Krankheit oder Teil-Berufstätigkeit der Mutter, dann will ich auch gerne einen Steuerabzug. Wenn ich dann Freiwilligenarbeit z.B. in einem Altersheim leiste, gilt natürlich das gleiche, genauso wenn ich regelmässig einen Hund einer anderen Person ausführe.

  • Walter Bossert dit :

    Über die Kommentatoren wurde gerade in dieser Zeitung hergezogen, weil sie oft vom eigentlichen Thema abweichen! Dieser Beitrag macht genau das selbe! In der Initiative ist von Eltern die Rede, welche ihre Kinder ganz natürlich selber erziehen wollen. Wenn es Grosseltern gibt, welche für Ihre Hilfe bei den Kindern auch noch einen Lohn erwarten würden, dann wundert mich die Flegelhafte Jugend ganz und gar nicht! Und das von einem ehemaligen Radiomitarbeiter!

  • Wave Dancer dit :

    Individualsteuern sind nur ein Machtinstrument der Politiker das sie gegen die Bevölkerung einsetzen. Einkommenssteuern für Einzelpersonen od. Paare sind vollständig zu eliminieren. Anstelle sollte der Güter-Konsum höher besteuert werden.

  • Walter Bossert dit :

    Wo ist da nun die so oft von linker Seite beschworene Toleranz? Mir ist diese Initiative auch nicht ganz geheuer, aber in den meisten Kommentaren wird gegen die Initianten geschossen, nicht gegen die Initiative!

    • T.Sigirst dit :

      Ja es ist schon tragisch, wenn man sieht in welches Dilemma diese Initiate führt und es die Leute nicht merken, ein Gefühl der Ohnmacht!

  • Micze dit :

    Warum muss man überhaupt Kinder auf die Welt stellen wenn man es sich gar nicht leisten kann ohne dass beide Eltern arbeiten gehen müssen?

    • Peter Meier dit :

      Ganz früher mussten alle arbeiten, sogar die Kinder ab einem bestimmten Alter. Dank Wirtschaftswunder konnten die Frauen nach dem WK2 für ein paar Jahrzehnte zuhause bleiben. Ein Menschenrecht ist das sicher nicht!

  • erik bauer dit :

    Das ist ein Witz, oder? Sollen sies halt sein lassen mim Kinderbetreuen, wenn’s ihnen nicht passt.

  • Angelo dit :

    Ich betreue meine Mutter und erspare damit Kosten für die Spitex und Krankenkasse. Wann gibt es dafür Abzüge?
    Da ich keine Kinder habe und somit keine Kosten für Schulen, Schulpsychologen, Polizeieinsätze, Anwälte, Gerichte etc. etc. verursache, müsste ich doch auch dafür einen Steuerabzug machen können. Ich fahre deshalb auch ein kleineres, sparsameres Auto, da ich ja nicht 5 Personen transportieren muss. Auch dafür gibt es keine Abzüge.

  • Leon Huber dit :

    Sollen virtuelle Betreuungskosten in der Steuererklärung abgezogen werden können, so ist der Hausfrau konsequenterweise auch ein virtuelles Einkommen anzurechnen, z.B. das BVG Minimum von 28’000.-

    Es würde mich freuen, wenn der Beitrag meiner gut ausgebildeteten Frau zum Bruttoinlandprodukt unseres Landes mehr geschätzt würde, statt ideologisch verunglimpft zu werden.

  • Thomas Suark dit :

    Ich habe 3 Kids, meine Frau Arbeitet nicht. Somit bin ich Alleinverdiener mit einem Einkommen von netto ca. CHF 100’000..Soeben habe ich meine Steuerrechnung 2012 erhalten. Der zu bezahlende Betrag Bundessteuer (definitiv): CHF 0.00.
    Sollte der von der SVP proklamierte Steuerabzug nur in der Spalte Bundessteuer in Abzug gebracht werden dürfen, sehe ich keinen Nutzen für mittlere Einkommen (Ich hab die Abstimmungunterlagen noch nicht genau studiert). Bei einen Abzug bei den Staatssteuern wäre die Sache wieder interessant..

    • Marcel Zufferey dit :

      Der Abzug wird auch bei ‘reichen’ Steuerzahlern nicht üppig ausfallen! Jeder, der ernsthaft daran glaubt, dass ein paar tausend Fränkli Abzug für die Heimbetreuung bei einem steuerbaren Einkommen von 500’000+ Franken (und einem Vermögen von ein paar Millionen) eine gewaltige Steuerminderung bewirkt, lebt auf dem Mond. Oder ist Mitglied bei der SP.

  • Peter Aufdermaur dit :

    Noch vor kurzem wollte die Krippenfraktion den Grosseltern gleich ganz verbieten, Hütedienste zu übernehmen.
    Steuerabzüge für Hütedienste können nur die Erziehungsberechtigten vornehmen. Wenn diese es vorziehen, ihre Pflichtarbeiten interfamiliär zu verteilen, dann müssen sie sich halt auch über die entsprechende Entschädigung untereinander einigen.
    Es steht den Eltern frei, ihr gespartes Steuergeld an die Verwandtschaft zu verteilen.
    Für Mitbenutzung abzugsfähiger Mittel kann nun einmal generell kein Abzug gewährt werden.

    • T.Sigirst dit :

      Ja dann müssen die aber viel verdienen, denn sonst gibt es nichts zu verteilen… Das einzige positive an der Annahme der Iniative ist, dass die beführworter, ausser die Reichen an der Nase herumgeführt wurden.

      • Marco Bless dit :

        Wenn es anscheinend nichts zu verteilen gibt, so wurde offenbar nicht viel verdient. Dann fällt aber auch das Argument der Gegner dahin, die immer behaupten, der Steuerabzug ermögliche das Doppelverdienen, was zu mehr Steuersubstrat führe.
        Die Gegner verstricken sich mit ihren Behauptungen laufend in mehr Widersprüche.

        Das positive an der Vorlage ist, dass unter den Reichen nicht mehr nur die Doppelverdiener ein Zückerchen erhalten, sondern entweder alle oder keiner. Für die armen ändert sich gar nichts.
        Ich lasse mir von Ihnen keinen Nasenring anhängen, keine Sorge.

  • Atillo Subito dit :

    Die ’Argumente’ gegen die SVP-Initiative werden immer absurder. Von Herdprämie über Pendlerabzug für Nichtpendler nun zu den Grossmüttern. Lasst doch einfach das Volk entscheiden. Belehrungen haben wir nicht nötig.

  • Peter Pfrunger dit :

    Nicht nur die Grossmütter! Ich als Onkel betreue meinen Neffen regelmässig, damit seine Eltern ihre Berufstätigkeit ausführen können. Auch mein Göttikind und dessen Geschwister sind regelmässig bei mir zwecks Entlastung der Eltern. Solche Onkel gibt es noch viele mehr und Tanten, Gotten, Freunde auch …

  • Erwin dit :

    … und was ist mit Steuerabzügen für d.Pflege von kranken Familienmitgliedern?
    … und was ist mit Steuerabzügen für die Betreuung von alten Eltern?
    … und was ist mit Steuerabzügen für die Betreuung von alten Schwiegereltern?
    Die Reichen LASSEN betreuen und ziehen das von d.Steuern ab. Die Normalos u.Armen machen das gratis…
    Die SVP ist schon eine ECHTE Volchspartei…

  • Peter Meier dit :

    Die Initiative ist einfach nicht gerecht. Man muss nur mal verschiedenen Szenarien durchspielen und am Ende stellt man eben fest, dass es viele Verlierer und nur wenige Gewinner geben wird. Das ist Fakt! Selbst wenn es tatsächlich einen Abzug für alle geben wird, dann muss das auch kompensiert werden. Soll heissen Steuererhöhung für alle! Die SVP hat die Hand am Deckel der Büchse der Pandora…

  • Peter Meier dit :

    Interessant, dass ausgerechnet die SVP eine Initiative lanciert, die zu Faulheit und dem Ausstrecken der hohlen Hand animieren wird. Steuergeschenke ohne Gegenleistung? Willkommen in der sozialen Hängematte! Ist es nicht das, was die SVPLer stets den bösen Linken vorwerfen? Für einmal möchte die SVP grosszügig Steuermilliarden mit der grossen Kelle verteilen. Das schenkt richtig ein!

    • Peter Aufdermaur dit :

      Hören Sie doch auf mit diesen Plattitüden!
      « Steuergeschenke ohne Gegenleistung » Geschenke sind IMMER ohne Gegenleistung, Sie Neunmalkluger;-)

      Wenn Eltern ihre Kinder extern betreuen lassen, um mehr zu verdienen und dann erst noch einen Steuerabzug geltend machen können, dann nenne ICH das Steuergeschenke.

      Es wäre nur ehrlich, endlich einzugestehen, dass diese Steuergeschenke ganz gezielt eingeführt wurden, um die Auswärtsbetreuung von Kindern und damit ein ganz bestimmtes Familienmodell zu fördern.

      Damit ist jetzt bald Schluss. Finden Sie sich damit ab. Das Gesülze ist ja unerträglich.

      • Martina Siegenthaler dit :

        Bin mit Ihnen einverstanden, was aber nicht heissen soll, dass nun noch mehr Geschenke verteilt werden sollen. Das richtige Vorgehen der SVP wäre gewesen, gegen das bestehende Modell vorzugehen, was heissen würde, niemand erhält Geschenke, ausgenommen diejenigen, die nachweisbar wirklich auf einen Krippenplatz angewiesen sind und den gar nicht selber berappen können. Also staatlich subventioniert bis gratis.

      • Cecil Maria dit :

        Herr Aufdermaur,sie tun ja gerade so, als ob externe Betreuung so 5 Fränklis am Tag kosten würde. Tatsache ist: Krippen sind teuer! Und abziehen von den Steuern kann man von diesen Auslagen nur die Hälfte… Es ist also nicht die win-win Steuergeschenk-Situation, als die sie sie darzustellen suchen. Wenn man aus ökonomische Gründen gezwungen ist, auch als Frau/Mutter arbeiten zu gehen, dann sollte es Infrastruktur geben, die das auch ermöglicht. Und hey, eventuell gibts ja auch noch die Frauen, die Mutter UND Arbeitsnehmerin sein will… gaaanz wild und verrucht, ich weiss!

      • Peter Meier dit :

        Herr Aufdermaur, unerträglich ist hier nur Ihr Gesülze! Ihnen ist hoffentlich bewusst, dass denFremdbetreuungsabzügen ein tatsächlich erwirtschaftetes Einkommen gegenüber steht. Die Steuer-MEHR-Einnahmen erhalten lediglich eine Abzugsmöglichkeit, weil die Krippengebühren sog. Entstehungskosten sind. Man kommt um die Krippe nicht herum, wenn man sonst keine Familienangehörigen hat, die sich in der Arbeitszeit um die Kinder kümmern können oder wollen. Der Staat hat mehr Einnahmen, wenn die Frau auch arbeiten geht. Also ehrlich, wie kann man denn nur so stur sein?

  • Pascal Ruoff dit :

    Ich und meine Frau arbeitetenTeilzeit, und liessen die beiden Kinder 1.5 Tage pro Woche fremdbetreuen. Die Kosten dafür waren so hoch, dass nach allen Abzügen und Steuern ein knappes Sackgeld übrig blieb. Die SVP-Initiative wird die möglichen Abzüge streichen, wir würden also rückwärts machen. Als Folge geht meine Frau nicht mehr Arbeiten. Wir bezahlen als Familie massiv weniger Steuern, auch wegen der Heimbetreuung, so dass unter dem Strich für uns mehr übrig bleibt. Dafür ersetzt die Gemeinde die freigewordene Lehrerstelle meiner Frau mit einer Ausländerin. Also Ja zur Initiative!

  • R. Merten dit :

    Es stimmt, dass Grosseltern eine wichtige Funktion in der Familie haben und deshalb auch in den Genuss von Entschädigungen kommen sollten. Nicht nur die Sozial- und Kulturindustrie verdient es, unterstützt zu werden. Im Gegenteil, dort könnte man massiv sparen.

    • Albert Schwarzenbacher dit :

      Die « Kulturindustrie », Merten, trägt über sechsmal mehr zum BIP bei als die Landwirtschaft. Und wird Kultur nicht gefördert, ist sie nur noch für Reiche zugänglich und kulturelle Innovation ist nicht mehr möglich.

  • Martina Siegenthaler dit :

    Das Ganze wird immer skuriller und hier die nächste Variante: Wir geben unsere Kinder 3 Tage in die KITAG, einen Tag sind wir Eltern selber zuständig und für den fünften sorgen Grosi und Grosspapi.
    Wer kann wieviel abziehen und was verdienen die Grosseltern?

  • Da fehlen dann noch die Abzüge für die Lehrer und die Verkehrspolizisten und die Tramchauffeure, die ja vielleicht die Kinder auch noch mitbetreuen – mit anderen Worten, die Steuern sollen gleich ganz abgeschafft werden, das ist ja auch das Parteiprogramm der SVP …, wie dann aber Schulen, Strassen, Bahn, Kanalisation, Polizei, Sozialleistungen, Justiz, Militär usw. finanziert werden sollen, darauf fehlt der SVP die Antwort …

    • Marco Bless dit :

      Na, dafür hätte die SP schon die passende Lösung: der Lohn gehört zunächst dem Staat und der entscheidet, wer wieviel davon per Giesskanne erhält.

      Ihr Kommentar zeigt schön auf, wo die intellektuelle Fehlleistung dieser Überlegung liegt: Die aufgezählten Mitbetreuer erhalten keine Entlöhnung, darum keinen Abzug.
      Im Gegensatz dazu bezieht die erziehende Ehefrau einen Lohnanteil ihres Ehemannes. Darum ist der Abzug dort gerechtfertigt.

      Der Steuerabzug ausschliesslich für Doppelverdiener ist ein Lenkungsinstrument zur Förderung eines bestimmten Familienmodells. Abzüge für alle oder niemanden.

  • Marcel Zufferey dit :

    Ausgerechnet um Monika Stocker haben sich diese Grossmütter gruppiert? Echt? Ein Schelm, der da böses denkt! Soll ich ehrlich sein? Das ist ein politisches Störmanöver, nichts weiter. Die SP setzt buchstäblich alle Hebel in Bewegung, um die Familieninitiative zu bodigen! Wie peinlich: Die Politik ist doch keine Zirkusveranstaltung! Scheinheilig ist die SVP-Initiative allerdings schon, und zwar weil sowohl Gut- als auch Schlechtverdiener-Eltern nur marginale Abzüge machen können. Aber sie setzt ein Symbol- für die Heimbetreuung. Und genauso symbolisch wird auch das Abstimmungsergebnis ausfallen

    • Marco Bless dit :

      Die Initiative setzt nicht nur ein Symbol; sie zeigt den Sozis auch, wo ihre Basis steht: meilenweit von der abgehobenen Genderpolitik der Partei entfernt.

  • Thomet dit :

    Endlich hätten wir die Möglichkeit fiktive Einnahmen, Eigenmietwert (schuldenfreie Liegenschaft), mit fiktiven Kosten zu verrechnen.

  • Paul Guhl dit :

    Ich verstehe ja, dass der TA der Initiative nicht nur Gutes abgewinnen kann und jetzt mit spitzfindigen Zusatzargumenten die Niederlage an der Urne zu verhindern sucht. Aber warum kommen derartige plausible Argumente nicht auch bei eher linksgerichteten, frauenfreundlichen Themen wie Sorgerecht, EO-Abgabepflicht für ein einzelnes Geschlecht, Usw. Ps: männer verdienen nicht immer mehr (zum Beispiel Lehrer), die steuerliche Pflicht oder Dienst ist aber für jeden Mann pflicht! Warum ist der TA hier nicht spitzfindig?

  • t.sigrist dit :

    ja aber schlussendlich wir diese 1.4 Milliarden kosten!

  • Erwin Mehli dit :

    Grossmütter begehren auf und wollen Geld für die Betreuung ihrer Enkelkinder? Woher hat das Hr. Schaller? Quelle? Wird da wieder etwas erfunden, um Stimmung gegen die Initiative zu machen? Ich habe noch nie davon gehört, dass Grosseltern gelt verlangen würden für die Betreuung der Kinder ihrer Kinder. Also: woher ist diese Behauptung, Hr. Schaller

  • Emil Schneider dit :

    es ist schon eigenartig. von noch niemandem habe ich eine Alternative gehört zur SVP-Initiative. Das ist also jetzt das mediale Sperrfeuer gegen die SVP, es ist nicht die Idee an sich. Das ist doch sehr bedenklich. Sorry. Mir grauts, wenn ich die Hype lese gegen ECOPOP und Kroatien, Masseinwanderung, etc. Ich möchte endlich Alternativen, politische Alternativen und nichts anderes.

    • Peter Meier dit :

      Alternativen wurden genannt: Erhöung der Kinderzulagen z.B. bis zu einer Gehaltsobergrenze. Das wäre doch wesentlich gerechter, weil so die niedrigeren Einkommensschichten profitieren würden.

    • tigercat dit :

      Wie schon mehrfach erwähnt: eine glaubwürdige Unterstützung für Familien wären (einkommensabhängige) Kinderzulagen, die es ihnen ermöglichen würden, das Familienmodell zu leben, das sie wünschen. Aber weil auf diese Weise höhere Einkommen nicht profitieren würden, bei Steuerabzügen aber sehr wohl, hat ein solcher Vorstoss natürlich keine Chance im bürgerlich dominierten Parlament.

    • Thomas Hartl dit :

      @Emil Schneider: Mit einer Alternative zur SVP-Initiative kann ich ihnen dienen: Wir schaffen die Steuerabzüge für Fremdbetreuung ab und ersetzen sie durch einen fixen Betrag pro Kind, den alle Eltern erhalten. Damit ist die Eigen- und die Fremdbetreuung gleich gestellt. Zudem profitieren so reiche Eltern nicht mehr stärker als arme Eltern, schliesslich sind die Kosten pro Kind ja ähnlich. Für den Staat wäre diese Lösung sogar kostenneutral, wenn die Steuerabzüge in eine Kinderzulage umgewandelt wird.

  • alfredo borlotti dit :

    Ich esse (meist) zuhause und bin Selbstkocher. Dadurch kann ich in der Steuererklärung bei den Berufsauslagen keine Abzüge für das Auswärtsessen geltend machen. Das ist ungerecht und ich möchte, wie die Kinderselbstbetreuer, für meine Mehrarbeit eine Entschädigung vom Staat erhalten.

  • Amélie Müller dit :

    Ja,ja, die Grossmütter. Es bleibt sowieso zu definieren, was Fremdbetreuung ist und was nicht. Ist die Grossmutter jetzt Fremdbetreuung? Nur wenn sie Geld dafür nimmt? Oder ist Blutsverwandtschaft der springende Punkt?
    Ebenfalls ungelöst ist die Frage nach den Rabeneltern, die ihre Kinder nicht zum Mittagstisch schicken, sondern einen Pack Chips und die Fernbedienung bereitstellen. Ist billiger. Wäre Fremdbetreuung da nicht wünschenswert?
    Ab wann sind Babysitter Fremdbetreuung? Wie sieht es mit illegalen Aupairs aus?
    Ein klares NEIN, denn eine vernünftige Lösung ist so nicht in Sicht.

  • Manfred Stierli dit :

    Die Betreuung der Kinder durch die Grosseltern ist Fremdbetreuung. Könnt ihr heute schon angeben…

  • lia dit :

    gute Idee – und da ich meine Kinder nur zu 40% fremd betreuen lasse, hätte ich für die restlichen 60% dann auch noch 60% des Selbstbetreuungs »geschenks ». Ist schon unglaublich, dass man den Selbstbetreuern mit einem Abzug ein Geldgeschenk machen will, während der Fremdbetreuungsabzug bei uns Arbeitenden lediglich einen kleinen Teil der Mehrkosten deckt, die wir dank Krippenkosten und Steuerprogression haben.. ein Abzug für etwas, das man nicht beansprucht, ist doch schön.

  • Ike Conix dit :

    Wenn die SVP wirklich sagt: «Wir setzen uns ein für mehr Pauschalabzüge und tiefere Steuersätzen statt für eine Vielzahl von abzugsberechtigten Einzelinteressen.», dann muss sie sich sagen lassen, dass sie mangels genügender Sprachkenntnisse nicht eingebürgert werden könnte.

  • Jürg Leemann dit :

    Herr Schaller, wenn Ihnen der Steuerabzug für Grossmütter ein echtes Anliegen ist, dann starten Sie doch eine Initiative.

  • Peter Keller dit :

    Was ist das für ein Unsinn – ein Steuerabzug, weil man zu Hause bleibt!?! Müsste somi die Hausfrau nicht auch ein Pendlerabzug oder ein Berufsauslagenabzug erhalten? Vielleicht. Auf der Gegenseite könnte sie ja ein hypothetisches Einkommen (analog dem Eigenmietwert) versteuern, das wäre doch fair!

  • Babette Sigg, Präsidentin CVP-Frauen Schweiz dit :

    Lieber Herr Schaller – Sie bringen einen wichtigen Punkt in die Diskussion ein. Die Initiative weckt mit Recht Begehrlichkeiten: bei all jenen, welche sich mit viel Engagement ehrenamtlich für unsere Gesellschaft engagieren. Dieses Engagement ist, wie auch die Kinderbetreuung daheim, wertvoll, aber vor allem unbezahlbar! Alleinstehende, kinderlose Paare, Rentner und Rentnerinnen bezahlen heute schon mit ihren Steuern gemäss unserem Solidaritätsprinzip sehr viel für Familien, ohne selber davon zu profitieren. Das ist richtig und wichtig und geht in der emotionsgeladenen Diskussion gern unter.

  • Marlise Schumacher dit :

    hört endlich auf mit dem ewigen gejammer ! setzt einfache keine, oder weniger kinder in die welt, wenn es finanziell nicht tragbar ist ! der schweizer war eigentlich meistens so, vorher « über die bücher » und dann kinder. aber heute muss alles drinnliegen, mindestens zwei autos und drei mal ferien im jahr ! wer seine kinder finanziell nicht durchbringen kann, soll es sich vorher überlegen…so, wie es früher auch war ! da hat man nicht ständig nach « Unterstützungen » geschrien. aber das gejammer von allen seiten ist ja zu einem richtigen Volkssport geworden !

  • meierhofer dit :

    Wir reden immer nur von abzügen,wir haben die Kinder auch selber erzogen,arbeiten war kein Thema vor 50 jahren,obwohl mein mann nur ein einkommen hatte 2.900 fr.man musste ja nicht immer alles haben.Vielleicht sollte man von der AHV reden die seit 1974 nie mehr erhöt wurde.Die alten von heute hatten ja auch die Prämien bezahlt,so wie die jungen meinen nur sie müssten die alten unterhalten falsch.

  • Zwahlen R. dit :

    Wenn alle arbeitenden Eltern für die Kinder Krippenplätze beanspruchen würden,müssten neue Plätze geschaffen werden.Wenn dann die Steuereinnahmen aus den Doppel-Verdiensten nicht ausreichen würden,um diese Krippenplätze zu finanzieren,müssten die Steuern für alle angehoben werden.Diese Subvention geniessen jetzt ja die auch schon,welche sich Krippenplätze leisten können.

  • Grossmutter dit :

    Mein Enkel ist jetzt 11 Jahre alt. Seit seinem 6. Lebensmonat habe ich ihn ein Mal der Woche betreut und habe damals sogar meine Arbeitszeit von 100% auf 80% reduziert um meine Tochter zu helfen. Heute arbeite ich nicht mehr, aber ich hüte ihn immer noch an einem Nachmittag der Woche. Mein Bahnbillet kostet CHF 12.60 und wenn Man dies über einem Jahr verrechnet, habe ich Unkosten von rund CHF 500.00. Ich hätte nichts dagegen wenn ich dieser Betrag von der Steuer abziehen könnte.

    • Babette Sigg, Präsidentin CVP-Frauen Schweiz dit :

      Genau, das ist richtig. Die Initiative hilft Ihnen nicht, im Gegenteil: wenn sie angenommen wird, müssen zwangsläufig die Steuern erhöht werden (andernfalls werden die Betreuungsabzüge für alle einfach auf fast Null gekürzt). Diese Steuererhöhung zahlen Sie mit, ebenso wie alle anderen Rentner, Alleinstehende, kinderlose Paare. Sagen Sie daher NEIN zur Initiative. Familienförderung sieht anders aus!

    • h. walser dit :

      Ganz einfach: Lassen Sie sich diesen Betrag und einen anständigen Lohn von Ihrer Tochter bezahlen, denn schliesslich bezahlen alle anderen Eltern, die ihre Konder betreuen lassen, auch einen hohen Beitrag an diese Betreuung, und dann geben Sie bitte diesen Lohn bei der Steuererklärung an. Dann wäre ein Abzug für Ihre Tochter gerechtfertigt, aber erst dann.

  • h. walser dit :

    Nicht der Staat, sondern die Eltern müssen in die Pflicht genommen werden, den Grossmüttern einen fairen Lohn zu bezahlen für ihre Arbeit, und zwar in der Höhe der Löhne der Fremdbetreuer, weil die Initianten ja auch eine Entschädigung in gleicher Höhe fordern. Die Grossmütter müssten dann diesen Lohn als zusätzliches Einkommen versteuern. Natürlich ist der status quo viel einfacher! Also nein zu der Initiative.

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