Une stratégie risquée
Un détail, bien que faisant seulement l’objet d’une note de bas de page le dimanche des votations, mérite d’être relevé: les circonscriptions 4 et 5 de la ville de Zurich ont été les seules dans le canton à voter contre la proposition de réforme de la loi sur l’asile. S’il faut noter que cette population est certes traditionnellement plutôt à gauche, d’autres quartiers à majorité de gauche ou Verts ont approuvé ce durcissement.
Cette curieuse exception a donc un autre motif: le oui à cette proposition permet la construction d’un grand centre pour les requérants d’asile dans ce quartier – ce qui éveille des peurs. Une partie de la population se méfie des communications des autorités et des politiques qui estiment, à l’instar du conseiller municipal Martin Waser (PS), qu’il s’agirait-là d’une bonne chose pour la Suisse et pour Zurich. C’est pourquoi les opposants ont manifesté leur résistance même après le résultat des urnes. De nombreux riverains ont ainsi eu recours à la voie juridique pour lutter contre l’implantation prévue de ce centre d’accueil sur le site Duttweiler-Areal (Tages-Anzeiger de mardi). Si les rouages de la justice tournent aussi lentement que d’habitude et que les demandeurs impressionnent – comme les habitants du quartier Hardturm à l’époque – par leur ténacité, l’ouverture du centre risque d’être considérablement retardée.
En effet, même ainsi, le risque de recours demeure: un seul riverain récalcitrant suffirait à différer voire à faire échouer le projet.
Malgré cela, la Ministre de la Justice Simonetta Sommaruga est convaincue que le centre entrera en service comme prévu, début 2014. Optimisme de circonstance ou naïveté? La conseillère fédérale semble en tout cas avoir sous-estimé le risque de recours. Peut-être s’est-elle laissé éblouir par l’esprit progressiste qui fait de «Zürich West» un quartier tendance, et a-t-elle interprété la culture accueillante dont font preuve les conseillers municipaux Verts et de gauche à l’égard des requérants d’asile comme le signe d’une tolérance sans limite de la population. Mais le fait est que, même dans cette ville qui est d’ordinaire plutôt à gauche, une partie de la population adhère à la politique de l’UDC qui dénonce le danger que représente un «import» de la criminalité vers Zurich.

Martin Waser, conseiller municipal de Zurich ( à gauche) et Mario Gattiker, directeur de l'Office fédéral des migrations (ODM) doivent trouver une solution pour la construction d’un grand centre pour les requérants d’asile (KEYSTONE / Steffen Schmidt)
Une telle erreur d’évaluation pourrait se révéler fatale. Le centre-test est la pièce maîtresse de la réforme sur le droit d’asile. La Confédération veut ainsi prouver que la procédure d’asile peut être considérablement accélérée. Un échec résultant du refus des habitants constituerait donc un dur revers pour les plans de réforme. Opter pour une stratégie présentant le moins de risque possible serait ainsi un impératif de la raison. La question n’est donc pas de savoir si la Confédération doit construire un centre d’hébergement pour 500 requérants d’asile dans une contrée isolée, comme le demandent certains politiciens bourgeois. En effet, même ainsi, le risque de recours demeure: un seul riverain récalcitrant suffirait à différer voire à faire échouer le projet.
L’aspect déterminant est ailleurs: la Confédération doit mieux exploiter ses propres possibilités. Celles-ci se situent principalement du côté du département de la Défense, dirigé par Ueli Maurer (UDC). Comme la volonté politique est de réduire le contingent militaire, de plus en plus de bâtiments de l’armée sont vides, comme la vieille caserne de Losone, dans le Tessin. Pourquoi ne pas convertir ce genre de site en centre-test? Certes, chaque choix de site entraîne des oppositions locales, mais depuis dimanche, la Confédération peut utiliser les centres d’hébergement de requérants d’asile pendant trois ans sans avoir besoin de l’accord des communes ni des cantons. A l’opposé du cas zurichois, elle pourrait en outre recourir à ses propres infrastructures existantes. Autre avantage: pas de nouveau projet de construction, donc personne à convaincre.
Mais Monsieur Maurer n’a pas fait grand chose jusqu’ici. Au contraire, il a dû admettre avoir manqué aux instructions du Conseil fédéral. Au lieu des 2000 nouveaux lits demandés pour les requérants d’asile, son département n’a réussi à en trouver que 530 à la fin de l’année dernière. Monsieur Maurer justifie cette lacune par des restrictions du droit des constructions, des oppositions politiques et des coûts de transformation. La vérité est ailleurs: un politicien UDC freine ici une sociale-démocrate dans sa tentative de résolution du problème de l’asile. Madame Sommaruga a donc préféré faire cause commune avec son collègue de parti, Martin Waser. C’est certes plus facile que de rejoindre Ueli Maurer – mais aussi plus risqué.
102 commentaires sur «Une stratégie risquée»
Man muss gar nicht soweit suchen. Das Asylzentrum auf teurem stadtzürcher Boden soll einzig ermöglichen, dass die Angestellten der Asylindustrie kurze Arbeitswege haben, die sie mit dem velo zurücklegen können.
@Anton Keller, das Gemeine ist ja, dass sich all die SVP-Gemeinden auf dem Land um diese Asylanten reissen, aber am Ende doch nur einen oder zwei erhalten. Wieder einmal zockt die Stadt Züri alle anderen ab.
Genau. Und dass die Insassen keinen langen Weg zur Arbeit als Kleinkriminelle und Drogendealer in der City haben
@turi – Wie sollen die SVP-Gemeinden zu ihren Drogen kommen, so ganz ohne Asylanten? Und wohin mit all den arbeitslos gewordenen Mitarbeiter der Asylindustrie / Polizei? Ein Wirtschaftszweig geht in vielen gemeinden vor die Hunde, nur wegen der blöden Zentralisierung in Zürich.
äh. herr keller – finden sie das lustig?
Natürlich!
Ist es auch!
Doch – Argument des Jahrhunderts.
@Anna Müller Ohne Stau keine Grünen, ohne Asylanten keine SVP, ohne Banken keine FDP und ohne Steuern keine SP. Da müssten wir mit der BDP und CVP vorlieb nehmen, bei denen man gar nicht so genau weiss, wofür sie einstehen.
was macht der bund. der bund macht symptomjbekämpfung für die ganzen schein-asylanten hier. es ist auch ein witz, diese zentren in den städten zu bauen; da sitzen die leute ja gleich an der quelle – man sieht die auswirkungen u.a. im stadtkreis 4 von zürich. übergangszentren gehören dort hin, wo die asylanten möglichst keinen kontakt zur bevölkerung haben – es ist ja auch nur vorübergehend.
Jedes Asylprogramm ist bloss Symptombekämpfung. Selbst wenn man jeden Meter der Grenze bewacht oder die Asylanten auf dem Grimsel in einen Kriegsbunker sperrt. Also hören Sie auf mit so absurden Floskeln. Wenn, dann müsste man in den Ländern vor Ort (versuchen zu) schauen, dass es gar nicht zu Flüchtlingsbewegungen kommt. Mit Geld, mit Politik, Einfluss, Hilfsprogrammen usw. Aber davon will nicht 1 bürgerlicher Politiker etwas wissen. Also: Im Symptonbekämpfungsboot sitzen wir alle – auch Sie, Herr Rittermann.
herr hofmann. ich würde ihren vorschlägen sofort zustimmen. das hauptproblem liegt darin, dass der mehrheitlich links orientiere bundesrat, aus mannigfaltigen gründen, gar nicht an effizienten lösungen interessiert ist und die leute vorbehaltlos rein lässt. würden massnahmen wie sie es beispielsweise vorschlagen, zur debatte gestellt, bin ich der festen überzeugung, dass sie im bürgerlichen lager anklang finden würden, falls transparent, zielgerichtet und nachhaltig investiert. sie wissen selber, dass das kaum der fall ist – siehe kohäsionszahlungen an die eu….
@ Philipp Hofmann
Das Hauptproblem der Migrationsbewegungen liegt doch an der Bevölkerungsexplosion
in den Entwicklungsländern,
da sind von linker Seite auch keine Aktivitäten sichtbar.
Immer das eindreschen auf die pösen Multi’s, die Hauptbeschäftigung der Linken,
lenkt höchsten vom Hauptproblem Überbevölkerung ab.
« Wenn, dann müsste man in den Ländern vor Ort (versuchen zu) schauen, dass es gar nicht zu Flüchtlingsbewegungen kommt ». Wenn wir schon bei Floskeln sind, dies ist die ulitmative Floskel, da können Sie 1000 Jahre warten. Die meisten der Tausenden, die in die Schweiz strömen, sind nicht politisch verfolgt, sondern wollen vom Schweizer Schlaraffenland profitieren. Das muss gestoppt werden. Zudem werden jährlich schon ca. CHF 4 Mrd in der Entwicklungshilfe verpulfert, ohne dass dies einen positiven Effekt hätte.
Herr Bourque, jeden Tag verhungern 40’000 Menschen, Milliarden haben keinen Zugang zu sauberem Trinkwasser, Schulbildung etc. Unser Wohlstand aber beruht auf der jahrhundertelangen Ausbeutung der sog. Dritten Welt – und die hier ansässigen Rohstofffirmen treiben diese Entwicklung fröhlich weiter auf die Spitze.
Dass es da zu Migrationsbewegungen kommt, ist unvermeidlich. Da können Sie zu stoppen versuchen, wie Sie wollen – erst wenn wir unseren Umgang mit den Herkunftsländern ändern, kann der Prozess gemindert werden.
Auch der Herr Schwarzenbacher negiert die Geburtenexplosion in den Entwicklungsländer
und dreht lieber weiterhin politische Parolen. Die pösen Multi’s usw. ….
Sie lenken vom Hauptproblem ab, Herr Schwarzenbacher.
Unverantwortlich!
Genosse Schwarzenbacher:das sind pro Jahr 14.6 Mio.in 10 Jahren 146 Mio.Seit wann geht es so?Sagen Sie mir mal,in welchem land sterben diese Menschen,welches Land stirbt dadurch aus?Aus den Fingern gesogene linke Demagogie,nachplappern linkes Bla-Bla!
Peter Richter: Die Überbevölkerung in Drittweltländer ist auch nur ein Symtom der Armut! Wer verursacht diesen Armut? Diejenige die Drittweltländer an der Entwicklung hindern, damit sie einfacher auszubeuten sind. Dass unser Reichtum grossenteils der Ausbeutung zu verdanken ist und diese Flüchtlinge verursacht, wollen einige einfach nicht wahrhaben. Obwohl es nur logisch ist (siehe beispielsweise: « Bericht: Glencore-Projekt vertreibt 5000 Ureinwohner ». Die Welt braucht eine faire Resourcenverteilung. Geiz und Gier sind in unserer Zeit völlig fehl am Platz!
Wir müssen gar nicht vor Ort schauen.
Wer nicht repatriiert werden will, wird in Einzelhaft eingelocht, bei gesunder, vegetarischer und kalorienreduzierter Ernährung. Natürlich ohne Kontakt zur Aussenwelt.
Ach, da schau her! In der links-grün dominierten Stadt, welche sich ja sooo fortschrittlich und fremdenfreundlich gibt, werden auf einmal Zweifel laut? Ist halt schon etwas anderes, wenn man das ganze vor der eigenen Haustüre hat, nicht wahr? Aber Ihr habt ja mit eurem links- und neu noch mehr linken Wahlverhalten A gesagt, nun solltet Ihr aber auch so konsequent sein, und auch B sagen!
In der Schweiz hat es kein Platz mehr. Asyl in der Schweiz ist für die Asylanten nach wie vor eine Luxusvariante. Warum
suchen wir nicht einen Asylplatz im Ausland und würden dort etwas gegen die Arbeitslosigkeit tun.
Jetzt haben die linken Journis den Schuldigen für die Asylmisere gefunden, BR Maurer. Jetzt ist alles wieder gut in den sozialistischen Kreisen. Dass diesselben Kreise jegliche Verschärfung bis jetzt torpediert haben,will man nicht erwähnen. Hauptsache, man kann auf der SVP herumhacken. Ich befürworte auch ein Asylzentrum- aber nicht im Ausgehviertel von Zürich. Dass sich die Sozis für viel mehr Annehmlichkeiten der Asylbewerber, wie noch längere Ausgangszeiten etc, einsetzen zeigt doch Bekämpfung jeglicher Verschärfung. Bei solchem Luxus wollen die Asylbewerber natürlich nicht mehr nach Hause
Torpediert? So nennen Sie es also, wenn man seine demokratischen Rechte der eigenen Überzeugung gemäss wahrnimmt? Aha.
Im Übrigen: Seit wann haben wir in den Legislativen linke Mehrheiten? Alle von den Bürgerlichen gewünschten Verschärfungen kommen durch – und was haben sie bislang gebracht?
Nein, die Verantwortung liegt tatsächlich bei den von Ihnen Gewählten. Seien Sie für einmal ehrlich, Herr Merten. Oder zumindest: Informieren Sie sich endlich – das nämlich ist Ihre demokratische Pflicht.
herr schwarzer. auf den ersten blick scheinen sie recht zu haben. sieht man sich die ganze sache etwas genauer an muss man feststellen, dass sogenannte bürgerliche parteien wie die cvp, bdp u in gewissen fragen auch die fdp alles andere als bürgerliche postionen einnehmen u auch schon allianzen mit den linken schmiedeten. schlicht windfahnenparteien, die sich nach der wahrscheinlichen meinungsmehrheit richten. die linke beruft sich gerne mal auf die EMRK und behindert somit bewusst die umsetzung von verschärfungen (siehe verwahrungs- und ausschaffungsinitiative).
Nun, der EMRK sind wir beigetreten, also haben wir uns auch daran zu halten. Punkt.
im Übrigen begehen Sie den üblichen rechten Denkfehler: Sie verwechseln bürgerliche Positionen mit rechten Positionen. Die SVP ist nicht bürgerlich, sie ist nationalkonservativ. So ist es natürlich kein Wunder, dass Ihnen alles als links vorkommen muss.
Da zeigen die netten Linken und Grünen in den so progressiven Kreisen 4 und 5 (wieder mal) ihr wahres Gesicht. Kein Mensch ist zwar illegal, aber lieber nicht bei uns. Früher sprach man In derlei Fällen von St. Florians Politik. Das Abstimmungsresultat ist auf alle Fälle entlarvend und zum Totlachen.
Die Kreise 4 und 5 waren gegen die Verschärfungen. Und bislang wissen wir von genau zwei (2) Rekurrenten gegen das Zentrum. Was wollen Sie uns also sagen? Ihr Posting ist etwas wirr. Vielleicht erklären Sie, was Sie genau gemeint haben?
Wenn Sie den Blog gelesen hätten Herr Schwarzenbacher dann wüssten Sie auch genau weshalb die Kreise 4 und 5 gegen die Revision waren. Die waren nicht per se gegen die Verschärfung, sondern die wussten um die Pläne eines Zentrums in ihrer Nähe und wollten den Passus nicht nachdem die Gemeinden für 3 Jahre nichts gegen solche Zentren agieren kann.
Die Städter sind mehrheitlich Befürworter der gegenwärtigen Asylpolitik und sollen deshalb auch ihre Folgen tragen.
Asylzentren gehören zu denen, die die Asylanten hier haben wollen, nämlich die Linken. Sie sind die, die die Städte regieren, also sollen Asylbewerber auch in den Städten untergebracht werden. In Bern würde sich das Kasernenarel bestens eignen!
Die Asylsuchenden sind hier, ob Sie das nun wollen oder nicht. Und solange das Wohlstandsgefälle derart gross ist, wird die Migration auch nicht aufhören – da können Sie den Kopf in den Sand stecken, wie Sie wollen. Also geht es nun darum, wie wir mit der Situation umgehen – dumme Sprüche wie der Ihre dienen da in keiner Weise. Die Asylfrage muss auf nationaler Ebene angegangen werden.
Im Übrigen: Sollen nun die AKW-Befürworter den Atommüll im eigenen Garten lagern müssen? Sollen alle Autobesitzer gezwungen werden, an Autobahnen zu wohnen? Darauf läuft Ihr Sprüchlein heraus.
Es ist eben schon sehr amüsant wie über die Bettwiler (welche notabene um ein x-faches mehr Asylbewerber pro Kopf aufnehmen sollten) gelästert wurde. Und nun, sobald es die eher links-grünen Städter betrifft wird das ganze plötzlich zum « nationalen Problem » welches möglichst in kleinen ländlichen Gemeinden gelöst werden sollte.
Wo sage ich das, Herr Schmid? Lesen Sie meinen Kommentar einfach noch mal. Ich antworte direkt auf Wälchlis Votum.
Sie sagen es nicht, Sie deuten es einfach an. Weshalb sollte denn die « nationale » Ebene nicht auch in der Stadt Zürich sein?
Schwarzenbacher, Atomkraftwerke, Autobahnen und was es sonst noch so braucht, werden wir genau deswegen noch erweitern müssen, statt abzubauen, weil Viele wie Sie noch mehr Leute in die Schweiz holen möchten! Bevölkerungswachstum erfordert zwangsläufig die Vergrösserung der Infrastrukturen, ob wir das nun wollen oder nicht!
Schwache Aussage. Es sollen also keine Asylanten in die Schweiz kommen? Okay, dann liefern Sie endlich 1 probates Argument, wie man Flüchtlingsströme in Luft auflösen kann und Asylanten auf Fingerschnipp hin nicht mehr kommen. Solange SIE das nicht liefern, ist Ihre Position und Meinung politisch völlig irrelevant und soll, ja gar muss gnadenlos übergangen werden. Zum Glück ist das in der Realität der Fall und die rechts-nationalen Realitätsverweigerer können aktuell der Schweizer Politik nur noch verdutzt hinterher schauen und verzweifelt und Fäuste schwingend hinterher schreien.
« Die ganze Wahrheit ist: Hier bremst ein SVP-Politiker eine Sozialdemokratin beim Versuch, das Asylproblem zu lösen. » – Das bringt es auf den Punkt. Und zeigt auch, was – abgesehen von ihrem blauäugigen Gefolge – alle wissen: Die SVP hat gar kein Interesse daran, dass die Schweiz in der Asylfrage weiterkommt. Sie will lieber das Problem bewirtschaften – zu sehr richtet sie ihren konstanten Wahlkampf einseitig auf die Hetze gegen Asylsuchende aus, zu viel Geld investiert sie in die entsprechende Propaganda. Deshalb auch die fünf Jahre (!) Umsetzungsfrist bei der Ausschaffungsinitiative.
das ist nicht ganz korrekt, herr schwarzenbacher. die linke politik hat es erst ermöglicht, dass wir nun die ganzen leute hier haben. die rechte politik muss nun das dilemma ausbaden, schadensbegrenzung betreiben und schauen, dass die abgewisenen asylbewerber schnellstmöglich unser land wieder verlassen.
Ich bin der Meinung, dass alle (!) wieder ausreisen, nicht nur die abgewiesenen.
Gilt auch für die Flüchtlinge. Und der Krieg auf dem Balkan ist seit 10 Jahren zu Ende, also müssen alle Flüchtlinge des Jugoslawien-Kriegs repatriiert werden.
Was für eine Verschwörungs-Theorie !!! Ziehen sie bitte ihre rote Brille ab und hören sie auf immer das Parteiprogramm der Kommunisten zu lesen! Willkommen in der Realität!
lieber herr schwarzenbacher. aber ihr linken seid erpicht, das asylproblem zu lösen, nicht wahr. stellen sie sich vor, wir hätten nur noch echte asylanten (max. 10 %). was würden all die sozis tun, ohne die lukrativen arbeitsplätze im asylbereich. nee,die linken sind und waren noch nie an einer problemlösung interessiert. linke ideologie hat bislang sämtliche massnahmen in der asyl- und ausländerpolitik behindert. schliesslich ist alles fremde grundsätzlich gut. am heutigen asylschlamassel sind primär die linken schuld. sie sind es, die den flüchtligen die wege in die schweiz geebnet haben.
Vorweg, ich lese keine kommunistischen Programme, Herr Ott – bitte begründen Sie diesen Anwurf, und zwar detailliert. Bis dahin betrachte ich ihn als das, was er ist: Gewäsch. Meine These bezüglich SVP habe ich begründet – kein halbwegs intelligenter Mensch wird sie ernsthaft infrage stellen, die sog. Volkspartei erbringt den Tatbeweis immer aufs Neue. Widerlegen Sie mich auf der Sachebene – oder lassen Sie das Diskutieren sein.
Riitermann/Lee: Seit wann haben wir in den Legislativen linke Mehrheiten? Was genau hat die Linke also verhindern können? Seit Jahrzehnten wird die Asylgesetzgebung verschärft – die Bürgerlichen und Rechten sind massgebend. Alles andere ist Lüge oder Realitätsverweigerung. Die Linke macht in der Asylfrage das, was sie immer tut: Sie verweigert sich – korrekt! – einer simplen Schwarz-Weiss-Optik und betrachtet das Problem differenziert. Dass dies den Rechten nicht passt, erstaunt nicht: Rechte Propaganda baut darauf, dass sich das Gefolge mit simplen Slogans begnügt – wie Figura zeigt.
ach herr schwarzenbbacher. ich unternehme jetzt noch einen letzten versuch mit ihnen. die rechte sagt klar, was sie denkt und zeigt misstände auf. schon mal die freie meinungsäusserung offensichtlich vorhandener probleme, stösst der linken sauer auf. bezüglich sachpolitischen vorstössen generell, empfehle ich ihnen mal die svp homepage zu kontaktieren, dort sind forderungen und ziele ganz klar und sachlich definiert-; im gegensatz zu der wischiwaschiichwechsleglaubmalkurz-politik der sp.
Herr Rittermann, habe ich die Wahl zwischen den realitätsfernen Schwarz-Weiss-Ansichten der SVP – die ja in ihrem konstanten Wahlkampf dauernd den Spagat machen muss zwischen den Begehren der aufgehetzten Anhängerschaft und den realpolitischen Erfordernissen (eine selbst geschaffene Falle) – und den differenzierten Positionen der Linksparteien, fällt mir die Entscheidung leicht. Und das sollte sie eigentlich jedem Normalbegabten. Ich verstehe nicht, wie man auf die rechte Propaganda und Hetze reinfallen kann – und das noch freiwillig.
Herr Schwarzenbacher Sie treffen den Nagel auf den Kopf. 2011 nahmen Private über Weihnachten, Asylbewerber auf. Das Zentrum war überfüllt. Der Skandal: Es hätte freie Armeeunterkünfte gehabt. Der Beweis, die Tagesschau vom 1.12.11. Herr Müller FDP-Präsident rügte das VBS öffentlich. Herrn Häne danke ich für diesen Blog, von Herzen. Kleine Korrektur, Maurer versprach dem BFM im März11, 6000 Betten.
http://www.srf.ch/player/video?id=4d898843-bbda-41a4-bd9b-c604c5e64dd7
das ist richtig. aber nur weil die liebe frau br. sommaruga, den schwarzen peter seinem departement abgeschoben hat – so im stile « lueg du bitte mal ueli, ich bin grad churz am aschlag…. ».
Herr Rittermann, Nein, weil unter Blocher, Asylunterkünfte abgebaut wurden. Stellen und Gelder,gestrichen. Frau Sommaruga, trifft überhaupt keine Schuld. Das VBS verzögert gezielt, die Abläufe seit 2011. Ich verweise auf den Artikel
von Simon Schmid BAZ.
« Von einer Flutwelle kann keine Rede sein »
http://bazonline.ch/schweiz/standard/Von-einer-Flutwelle-kann-keine-Rede-sein/story/18971652
Es braucht gar keine Unterkünfte für Asylanten. Dann kommen auch keine mehr.
Maurer hat vor zwei Jahren 6000 Betten angeboten, nicht? Sommaruga macht vorwärts, Maurer blockt – im Dienste seiner Partei, die in keiner Weise bereit ist, für Lösungen Hand zu bieten. Wie auch: Sie verlöre ja das Hauptthema für ihren konstanten Wahlkampf.
Im Übrigen muss Sommaruga immer noch die Folgen von Blochers katastrophaler Amtsführung aufräumen: Er hatte seinerzeit die europaweite Asyl-Baisse missgedeutet und die Infrastruktur « zerhackt » (Arbenz).
Und ist es nicht so, dass der grösste Teil des infrage kommenden Bundes-Grundbesitzes in Armee-Hand ist, also Maurer untersteht?
Angst vor was? Ich lebe in einem Asylzentrum namens Zürich Stadt….
was sie da schreiben ist leider richtig.
Treffend Herr Sann :-))
Ich auch. Mit all diesen Asylanten aus dem Wallis, der Innerschweiz und Graubünden.
Vielen Dank auch für diese fantastische Bemerkung, Herr Schwarzenbach.
Ich glaube kaum, dass die Walliser in Zürich dem Staat denselben Aufwand verursachen wie die Asylanten.
Zumindest, wenn ich meine Steuerrechnung bedenke, trage ich doch einiges zum Budget der Stadt bei, welches sie dann wiederum Ihren geschäten Asylfreunden und deren Betreuer weiterleiten kann.
Es besteht keinen Zweifel, dass dieses Zentrum dort hinkommen muss. Jetzt müssen die Verfechter einer liberalen Asylpolitik endlich Farbe bekennen und nicht mit solchen fadenscheinigen Ausreden kommen. Dank dieser Abstimmung hat der Bund nun endlich die Asylanten-freundlichsten Gemeinden ausgemacht und dort kommen auch die Standorte hin auch wenn es noch ein bisschen Hartnäckigkeit braucht.
@Bader: Vielleicht wissen Sie’s nicht. Die Stadt Zürich muss sowieso Asylanten aufnehmen, egal ob das neue Zentrum kommt oder nicht. Die Asylanten werden dem Kontingent der Stadtzürcher Asylanten angerechtet. Mit einfachen Worten: Es gibt nicht mehr Asylanten in Zürich, ist das so schwer zu verstehen? Der Unterschied ist, dass die Stadt bei einem Bundeszentrum weniger Eigenkosten hat. Warum ist das so schwer zu verstehen, oder wollen Sie es nicht verstehen? Widerstand gibt es überall, das ist wie bei Atomendlagern.
Gibt es irgendwo eine Statistik. wo man sieht, welche Gemeinden Nein gestimmt haben?
@Schwarzenbacher: Sie gehen wie der Autor von der falschen Annahme aus, dass BR Sommaruga daran sei “… das Asylproblem zu lösen.” Tatsächlich wird aber nur die Flut von Asylbewerbern besser organisiert und die Fallbearbeitung beschleunigt. Solange der Zustrom neuer Asylbewerber nicht wirklich sinkt, sehe ich keine Lösung des Asylproblems.
Ich sehe die Lösung des Asylproblems in einem Gesamtrahmen, d.h. dass wir im Sinne der ECOPOP-Volksinitiative das Wachstum der gesamten Schweizer Bevölkerung begrenzen. Dann wird besser überlegt, wen und warum wir einwandern lassen wollen.
Und wie genau wollen Sie den Zustrom verhindern? Eine zehn Meter hohe Mauer um die Schweiz ziehen? Auch Ecopop betreibt die übliche rechte Realitätsverweigerung – wie kann man sich nur freiwillig auf so simple Weltbetrachtung beschränken? Es gibt keine einfachen Lösungen. Solang das Wohlstandsgefälle so gross ist, wird die Migration zunehmen.
doch, herr hofmann hat ersteres vorgeschlagen – gezielte hilfe vor ort, wo sinnvoll und angebracht; – länderspezifische kontingente für asylanten einführen, welche auch faktisch « an leib und leben » gefährdet sind. und ansonsten – so banal wie es klingt – grenzen dicht machen. und nochmals – ja – es ist richtig dass wohlstandsländer wie die schweiz begehrlichkeiten wecken. es kann aber nicht sein, dass die schweiz für das gesamte elend der welt aufkommen muss und unbeschränkt leute aufnimmt mit den bekannten folgen – das sollte doch wohl sogar ihnen einleuchten?
Bitte informieren sie sich, bevor Sie irgendwelche zusammengereimten Unwahrheiten über Ecopop verbreiten. Ecopop ist politisch unabhängig und möchte sich gerade eben vom links/rechts Schema lösen, und eine Sachdiskussion führen. Und klar, gibt es keine einfachen Lösungen. Die Initiative der Ecopop ist nur ein kleines Rädchen. Es braucht einen fairen Welthandel, bessere Bildung für Frauen etc.
Aber wenn ihrer Meinung nach natürlich alle, die für eine gesteuerte (nicht keine) Einwanderung sind, rechts oder sogar nationalistisch sind, dann ist wahrscheinlich eine weitere Diskussion überflüssig.
Bevölkerungswachstum von max. 0.2% heisst nicht, dass niemand mehr zuwandern kann. Wenn z.B. 20’000 Personen pro Jahr die Schweiz verlassen denn können 30’000 Personen in die Schweiz kommen. Netto-Aufnahme bei den Asylbewerbern ist etwa 2000 Personen pro Jahr, wenn man will kann man das so lassen wie bisher. Aber die Wirtschaft kann dann entsprechend weniger Arbeitskräfte im Ausland rekrutieren. Da muss politisch abgewogen werden war Priorität hat. Nach einem Ja zu ECOPOP wird es aber keine Einwanderungswellen von 50’000, 70’000 oder gar 90’000 pro Jahr mehr geben.
Schwarz., geben Sie doch von Ihrem Wohlstand etwas ab, dann nivelliert es sich auch nach unten, das Gefälle.
Aber da haben Sie recht, wenn es uns hier auch schlecht gehen wird, dann hört die Migration auf.
Erinnert mich an diese Homepage, wo man seinen öko-Fussabdruck berechnen kann und wo Kambodscha als Musterland dargestellt wird, weil sie kaum Emissionen haben (wovon auch…).
Linke Logik, immer wieder ein Vergnügen.
@Jost: Wie wollen Sie das Asylproblem mit einer Wachstusbegrenzung lösen? Könnte es sein dass Sie von der Asylproblematik nichts verstehen? Die Asylanten kommen nicht nach irgendwelchen Quoten sondern nach Anzahl Konflikten und nach der einfachsten Route. Kommen sie via Italien kommen am Meisten, kommen sie via Spanien sind es weniger.
Als Erstes sollte man keine Asylanträge aus dem Balkan mehr akzeptieren und dann die Anträge aus dem Maghreb mit dem 48 Stunden Verfahren bearbeiten
Wie , Herr Schwarzenbacher, verhindern Sie, dass Kreti und Pleti in Ihr Haus einläuft und sich an Ihrem Kühlschrank bedient?
Und sagen Sie jetzt bitte nicht, dass Sie die Haustüre schliessen.
@Wetter: Die Schweiz braucht eine konsequent angewandte Drittstaaten-Regelung im Asylbereich. D.h. Asylbewerber, welche durch einen sicheren Drittstaat wie Italien an die Schweizer Grenze gelangen, müssen ihr Asylgesuch in Italien stellen. Es ist ein unhaltbarer Zustand, dass Italien Flüchtlinge einfach durchwinkt bis Chiasso, damit das Asylgesuch erst in der Schweiz gestellt wird.
Haben Sie den Ecopop-Initiativtext überhaupt gelesen? Da steht « ständige Wohnbevölkerung ». Dazu gehören Asylbewerber nicht. Ausserdem kann die Menge an Asylbewerbern nicht beeinflusst werden, da diese allein von den Konflikten im Ausland beeinflusst wird. Die Verkürzung der Verfahren ist durchaus sinnvoll, weil so die Gesamtanzahl an Asyltagen sinkt. Um die Verfahren möglichst kurz zu halten, sind grosse und zentral gelegene Zentren sicher von Vorteil. Die hohen Bodenpreise in den urbanen Zentren können durch massiv geringeren Administrationsaufwand sicher kompensiert werden.
Da haben Sie sich (wie ich) genau informiert. Es sind nur einige Tausend Personen pro Jahr, welche in der Schweiz über den Asylweg zu einer dauerhaften Aufenthaltsbewilligung gelangen. Jedoch geht diese Zuwanderung dann neu zu Lasten der Fachkräfte-Zuwanderung. Der politische Druck wird dann zunehmen, dass man im Asylwesen wieder dem eigentlichen Grundgedanken mehr Gewicht gibt, dass Asyl temporär ist bis die Situation im Heimatland besser geworden ist. Mit Rückgang der definitiven Aufnahmen in der Schweiz werden dann auch die gestellten Asylgesuche zurück gehen.
Ich finde, man sollte alle Asylsuchenden nach Zürich schicken. (ganze Schweiz) So wären alle zusammen und die Verfahren wären dann schneller. Die Abgewiesenen kann man dann direkt zum Flughafen bringen und heimschicken. Schliesslich ist Zürich ja in rot/grüner Hand. DANKE Züri !!!
es ist zweifellos richtig, wenn die asylanten in zukunft dort untergebracht werden, wo die einwohner in abstimmungen bereits mehrfach ihren politischen willen zu einer umfangreichen aufnahme von flüchtlingen in der schweiz ausgedrückt haben. eine haltung à la « ich bin dafür, aber nicht hier » wäre auch gar nicht seriös.
Niemand drückt den Willen zu « einer umfangreichen aufnahme von flüchtlingen in der schweiz » aus – aber den Willen zu einer differenzierten Betrachtung sehr wohl. Sie jedoch, Frau Furrer, scheinen dazu nicht in der Lage zu sein. Die Frage stellt sich bei Ihnen wie bei den meisten Rechten: Beschränkt man sich freiwillig – oder reicht die Denkkapazität tatsächlich nicht?
Es beweist sich, die Linken sind nur solange die Gutmenschen, werden andere von den Problemen betroffen. Ich wünsche ihnen viele erbauende Momente mit den Asylanten, die soviel Menschlichkeit, Farbe und Zusammengehörigkeitsgefühl ins Quartier bringen werden.
Ich wohne in einem Quartier mit über 60 Prozent Ausländern. Da geht es tatsächlich vornehmlich tolerant, bunt und warm zu und her. Und ehrlich gesagt: Ich verbringe meine Zeit wirklich lieber mit meinen fremdländischen Nachbarn bei fröhlichen Grillfesten als mit kaltherzigen Egoisten wie Ihnen.
Ferner: Falls Sie in einer Diskussion unter Erwachsenen ernst genommen werden wollen, streichen Sie das Unwort « Gutmensch » schleunigst aus Ihrem Vokabular.
Ich bin nun mal kein Gutmensch, mich interessieren Grillabende mit Asylanten, Muslimen keineswegs. Ausserdem fühle ich mich als kaltherziger Egoist sehr gut, dadurch verfalle ich nicht in den Traumzustand, dass die Schweiz alle Gestrandeten dieser Welt durchfüttern sollte. Mit Blick auf die Zukunft unserer schönen Schweiz, sind die Egoisten hilfreicher als die Träumer.
Naja, Renner und Schwarzenbacher – irgendwo zwischen Ihren beiden Pol-Ideen liegt die Vernunft.
Aber das interessiert ja heute keinen mehr.
Ich will -um Gottes Willen- keine 100% CH-Umgebung, das wäre ja furchtbar. Aber ich will auch nicht, dass mein Fleisch geschächtet wird, dass ich mehr Kopftücher als offenes Haar sehe, dass ich mich als Schwuler fürchten muss, wenn ich abends durchs Quartier (Kreis 9) laufe, weil ich zwischen afrikanischen und arabischen Homophoben auslesen kann.
Multikulti ist das Salz in der Suppe, aber zuviel Salz macht die beste Suppe kaputt….
Natürlich fühlen Sie sich als kaltherziger Egoist wohl, Rechte zeichnen sich durch diese Einstellung nachgerade aus – wie diverse Studien zeigen. Und auch die Kommentare in den entsprechenden Foren, in denen auch Schweizer Sozialhilfebezüger unter Generalverdacht gestellt werden. Die SVP basiert dementsprechend auch ihre ganze Politik auf Ausgrenzung und Diffamierung ganzer Gruppen.
Nur: Ausser sehr kurzfristigem persönlichem Nutzen bringt diese Einstellung genau nix – im Gegenteil, die Ursachen der globalen Migration werden verschärft. Sie schneiden sich ins eigene Fleisch.
Ach wie schön giits no d‘ SVP,
wo immer de grind mues häre ha för sp und bdp.
Umgekehrt ischs ou niid viil besser mit dene Puure,
s, händ alli gern ä luuti und grossi Schn . . . .e.
Im Innland chunnt me be Nüütem chum vom Fläck,
d‘ Meinig vom Stimmbürger schärt sie überhaupt en Dräck.
Vo de EU und de Amis lot me sech lo Erprässe,
Me weiss jo, dass es immer s‘dummi Volk isch wo die Suppe mues uslöffle und de suure Öpfel (**)ässe.
D’SP hät jetz ihres Ziel erreicht –
Me mached us em Staat Gurkesalaat.
Und die Bürgerleche so als Replik,
Mutiere öise Staat zu Bananerepublik.
Auch bei Fragen um das Asylrecht folgt der Souverän von Kreis 4 und 5 der Stadt Zürich oft den Parolen links – grüner Kreise . Dieses Beispiel zeigt und Beweist wieder einmal das keine angebliche Nächstenliebe zu den oft falschen Asylbewerbern besteht , sondern reiner Eigennutz ! Hauptsache , dass man sich gegen Aussen Grosszügig ausgibt , jedoch selber nicht bereit ist gewisse Nachteile in Kauf zu nehmen !
Da hat man doch wieder die Schuldigen gefunden, die Linken könnens auf BR Maurer abschieben, überhaupt ist an der ganzen
Asylmisere nur die SVP schuld….Sommaruga ist ja nur die Ausführende!
Sommaruga macht tatsächlich vorwärts in der Asylfrage, und zwar auf eine Weise, die mir als Stammwähler nicht passt. Und dass maurer sich weigert, seine Hausaufgaben zu machen, gibt er ja selbst zu. Was also wollen Sie uns sagen?
Warum Asyzentren überhaupt innerhalb der Städte bauen wo einerseits der Boden sehr teuer ist und anderseits dann eine Masse von 500+ Asylbewerbern frei herumläuft, und in nicht wenigen Fällen in einen gewissen lukrativen Handel involviert werden – eine generelle Lage die hohes Konflikt Potenzial mit der lokalen Bevölkerung in Aussicht stellt? Es gibt in den Schweizer Bergen schön abgelegene Gebiete und jegliche Gebäude die gut als geschlossene und bewachte Asylzentren fungieren könnten, ohne das die Kosten ins Masslose gehen müssen. Zudem muss die Schweizer Asylpolitik deutlich abweisend sein.
Gettobildung ist schlecht für die Integration. Die Asylzentren müssen dort eingerichtet werden, wo die politischen Befürworter und ihre Wähler und wo die Profiteure dieser Einrichtungen wohnen. Das Gleiche gilt für Migranten-Quartiere. Wer von unseren Links-Grünen schickt seine Kinder auf Schulen mit grossem Migrantenanteil? Diese Heuchler predigen Wasser und trinken selbst Wein.
Ganz genau so muss es sein!!!!!
Ich wohne zwar auf dem Land, bin mir aber nicht so sicher, ob so ein Asylzentrum in der Stadt optimal ist. Ich vermute mal die Kosten wären relativ hoch. Mein Rezept: Unterkunft und Sicherheitsdispositiv so billig wie möglich, mit ÖV und Autobahn erschlossen. Standard muss für die kurze Dauer nicht luxuriös sein. Danach werden die wenigen echten Asylanten dann Schweizweit nach Sprachregionen verteilt, der Rest wird in ein noch grösseres Ausschaffungszentrum (Direkt nebenann) verschoben. Der Kanton und die Gemeinde erhalten Bundessubventionen = Steuergeschenk für die Bewohner als Ausgleich.
Könnte man in den Städten nicht Zentren für Demenz-Patienten errichten, und die Asylbewerber nach Thailand verfrachten?
Wäre eine gute Idee, aber nicht durchführbar, denn Thailand will nicht Glücksritter ohne Geld, Bildung usw durchfüttern. Kriminellen begegnen sie auch realitätsbezogener. Zuerst Knast, dann Abschiebung und auf Nimmerwiedersehen.
Uiii Frau Tschudin..der war aber echt böse :-))
Frau Tschudin, es gibt da leider einen kleinen Unterschied, für die einten erhält man Geld und wird sie in absehbarer Zeit wieder los, die anderen wird man dort nur über Massengefängnisse…..los.
Der Grund für zu wenig Betten von Maurer ist allerdings bekannt. Unterkünfte, die für Armeeangehörige ausreichen, sind für Asylanten nicht gut genug. Ich bezweifle, dass Maurer dieser Meinung ist. Aber wer sieht dies wohl so…?
Aha, jetzt ist der Maurer schuld? Lachkrampf!
Ihr Schurnis seid nur noch peinlich.
Ob Angst oder nicht, die Asylindustrie gehört nun einfach zur Schweiz, etwa so wie Kühe, Uhren, Schokolade sowie die durch die Regierung veräppelte Bevölkerung.
Irgend eine Armeeunterkunft am Gotthard duerfte wohl auch reichen – bis zur Ausschaffung in 30 Tagen
Immer wieder köstlich zu lesen,
wie versucht wird das Asylchaos bürgerlichen Politiker
in die Schuhe zu schieben.
Zur Erinnerung:
Rot/Grün hat bis heute jede Verschärfung im Asylwesen bekämpft.
Rot-Grün hat keine Mehrheit, Herr Richter.
@ A. Schwarzenbacher
Sorry! Rot / Grün / CVP bodigten bis heute jede Verschärfung im Asylwesen.
Mit Verlaub Herr Häne, ihre Interpretation des Wahlergebnisses ist an den Haaren herbeigezogen. In Wahrheit ist es einfach so, dass die Kreise 4+5 noch ein bisschen weiter links stehen als andere, darum haben wir die Verschärfung abgelehnt. Nur weil sich ein paar (Bürgerliche) jetzt wehren, notabene juristisch und nicht politisch, heisst das noch lange nicht, dass die Flüchtlinge hier nicht willkommen sind. Sie sind willkommen und die Rekurrenten repräsentieren nicht « Die Bevölkerung ».
Wie man seit heute Mittag weiss, wird das Projekt Duttweilerplatz vorerst zweitrangig, weil Sommaruge mit Stadtrat Waser nun vereinbart hat, ein effektives Bundeszenter auf dem bereits bestehenden Areal mit Asylzentrum für bisher 300 Asylanten neu ebenfalls dort, also in Altstetten anzusiedeln. Dort gibt es nicht mehr viel zu husten und Einsprachen erfolglos. Womit das Duttweiler-Projekt zwar nicht gestorben, doch auf die lange Bank geschoben wird. Bleibt zu hoffen, dass sich die Bevölkerung nun mancherorts – nach der von ihr anbegehrten Verschärfungen des Asylrechts – etwas zugänglicher wird.
Die mittlerweile in die Mittelschicht aufgestiegenen Grünen wollen selbstverständlich ihre Kinder nicht mit denen aus bildungsfreien und abgelegenen Wüstengegenden stammenden Neubürgern in die selbe Schule schicken. Darum wird wohl mit dem Verzögern der Einrichtung von Sexboxen -etwas weiter westlich im Quartier- zugewartet. Man braucht dann den Platz für eine Privatschule für den eigenen Nachwuchs.
Blödere Argumente gibt`s nicht mehr !
« hätten 406 Personen an den zuständigen Dublin-Staat überstellt werden können »
Ohnehin eine Frechheit ohnegleichen, dass verheirateten ausländischen Ehefrauen die Ausstellung der B-Bewilligung verweigert wird, nur weil den Behörden nachweisliche Dokumentenfälschung nachgewiesen werden kann. Dass deswegen noch Drohungen gegen das Opfer erfolgen, ist an Dreistigkeit schlicht nicht zu überbieten.
Es ist immer noch gleich: Das Asyl- und Flüchtlingswesen gehört sofort, vollständig, dauerhaft und rückwirkend auf 1.1.1980 abgeschafft.
Und damit, glaubt zumindest die Regierung wohl noch, sei auch den Einheimischen Bürgern,bestens gedient.?