C’est notre opulence qui affame les autres
Faites-vous partie des consommateurs qui veillent à acheter de la viande de production suisse? J’ai une mauvaise nouvelle: aujourd’hui, même le bœuf suisse est de la viande brésilienne. En effet, nous importons chaque jour du Brésil 700 tonnes de soja à usage de fourrage. Le taux officiel d’auto-approvisionnement de 60 % masque le fait que la production de fourrage à l’étranger nécessite à elle seule plus de 200’000 hectares de terres, soit presque la surface totale des terres agricoles suisses.
Le fait que les États externalisent leurs terres n’a rien d’inusité. Mais récemment, on ne se limite plus à importer du fourrage, on achète ou on afferme directement les terres arables. C’est ce modèle que poursuit la Chine en Afrique, avec un succès grandissant. Les entreprises suisses ne sont pas en reste dans cet accaparement de terres. Prenons deux exemples pour preuve: Glencore exploite au total 300’000 hectares de terres achetées ou affermées dans des pays tels que le Paraguay, l’Ukraine ou encore le Kazakhstan. Et en 2010, le groupe agro-alimentaire suisse Addax Bioenergy a conclu avec la Sierra Leone un accord d’une valeur de 275 millions de dollars portant sur plus de 10’000 hectares, sur lesquels il produira, pendant des dizaines d’années, de l’éthanol à partir de canne à sucre. Le but ? Étancher la soif dévorante de nos réservoirs à carburant européens. Le financement? Les banques de développement. Et tout cela, comme le signale l’ONG Pain pour le prochain, dans un pays où règne la malnutrition.
Le Conseil national a inscrit dans la loi la souveraineté alimentaire comme objectif de la politique agricole suisse, mais dans une forme tronquée, qui réduit le concept solidaire à un point de vue de radin suisse.
L’accaparement de terres est le dernier excès en date d’une mondialisation néfaste. Pendant des années, on a surtout soutenu le libre-échange agricole. Les pays qui avaient besoin de fonds étaient incités par leurs créanciers à ouvrir leur marché agricole aux importations et, de même, à produire eux-mêmes des produits pour le marché mondial. Ces deux facettes ont eu des effets dévastateurs.
Examinons tout d’abord un exemple concret des conséquences de l’ouverture forcée des marchés agricoles dans les pays d’Afrique subsaharienne. Entre 1985 et 2005, les exportations bon marché des pays du Nord ont provoqué une perte de revenu de 272 milliards de dollars pour les fermiers locaux. Ce même chiffre se retrouve dans un tout autre domaine. L’ONG d’aide au développement Christian Aid a calculé le montant de l’aide au développement dans ces mêmes pays sur la même période: 272 milliards de dollars. Autrement dit: l’exportation de surplus subventionnés de l’agriculture industrielle à des prix cassés a détruit des structures matures d’auto-approvisionnement, ce que les responsables de ce gâchis ont ensuite cherché à compenser par l’aide au développement.
Mais c’est aussi l’orientation forcée de la production sur le marché mondial qui a eu des effets déplorables. Pendant des années, de nombreux pays ont été incités à ne produire que du café. Cela a mené à des surcapacités, qui ont entraîné un effondrement des prix, qui eux-mêmes ont causé d’énormes pertes financières pour les pays concernés.
La Via Campesina, mouvement international de petits exploitants et de travailleurs agricoles, a ainsi critiqué avec insistance, lors du Sommet mondial de l’alimentation en 1996, le libre-échange en matière agricole: par sa faute, de plus en plus de petits exploitants dans les pays en développement perdent leurs moyens de subsistance. Cette organisation a développé le concept de « souveraineté alimentaire », qui est le « droit des populations, de leurs États ou Unions à définir eux-mêmes leur politique agricole et alimentaire en fonction des besoins de leur population, sans nuire aux pays tiers.»
En Suisse romande, ce concept global est très répandu, notamment grâce au syndicat agricole uniterre. En revanche, en Suisse alémanique, la souveraineté alimentaire est souvent réduite à la sécurité de l’approvisionnement. C’est ainsi que, lors de débats de cet automne sur l’agriculture, le Conseil national a, pour la première fois, inscrit dans la loi la souveraineté alimentaire comme objectif de la politique agricole suisse, mais dans une forme tronquée, qui réduit le concept solidaire à un point de vue de radin suisse.
C’est exactement ce dont nous n’avons pas besoin. Nous n’avons pas besoin de nouvelle bataille des champs ou d’un nouveau plan Wahlen. Ce qu’il nous faut, c’est une transformation durable de la production alimentaire et de la consommation.
Si aujourd’hui nous importons du fourrage pour produire des surplus qui non seulement font dégringoler le prix du lait, mais sont également exportés à des prix cassés sous forme de lait en poudre et de montagnes de beurre, ce qui, à son tour, détruit les structures matures d’auto-approvisionnement d’autres pays… il y a un très gros problème quelque part.
Ce n’est pas seulement au monde politique que je m’adresse. Vous aussi, consommatrices et consommateurs, avez votre mot à dire. Comment? C’est très simple: achetez des produits locaux et de saison. Au moins une fois par semaine, passez-vous de viande. Et achetez des produits frais. L’expérience a montré que cela permet de diminuer la proportion d’aliments qui partent directement à la poubelle.
204 commentaires sur «C’est notre opulence qui affame les autres»
Besser nicht das Work « Verzicht » mit Fleisch verbnden. Ich esse seid 25 Jahren kein Fleisch mehr, aus den oben aufgeführten Gründen. Ich musste nie auf Fleisch verzichten. Mit dem Wort verbinden sich negative Gefühle. Im Gegenteil, meine Ernährung wurde viel interessanter und abwechslungsreicher seid ich mich vom Fleisch befreit habe. Ich kann jedem diesen Schritt empfehlen. Jedes Land hat viele vegetarische Gerichte, man denke nur an die Küche von Italien. Nur schon diese alle durchzukochen bringt viel Abwechslung. Das multipliziert mit Anzahl Ländern gibt jeden Tag ein anderes Gericht.
Danke Herr Reiser für ihren Kommentar. Das Wort Verzicht kommt von der Redaktion, die den Link gesetzt hat. Ich selbsthabe extra einen anderen Titel gewählt, der, den Sie oben an der Seite finden. Es geht nicht um « Verzicht » im negativen Sinne. Und am Schluss des Artikels steht deshalb ebenfalls ganz bewusst: « Geniessen sie mindestens einmal in der Woche fleischlose Rezepte. » – Geniessen. Nicht verzichten.
Liebe Grüsse Balthasar Glättli
Hallo Herr Glättli
Ich bin ja eigentlich kein Grüner aber ich finde es grossartig, dass mal ein Politiker sagt: “Geniessen sie mindestens einmal in der Woche fleischlose Rezepte.” Und nicht: « hört auf, Fleisch zu essen ».
Es sind die Extreme, die einer Gesellschaft schaden.
Auch meine Wenigkeit isst kaum Fleisch, manchmal werde ich schwach, wenn es irgendwo « Suure Mogge » mit Härdöpfelstock gibt. Selber kaufe ich kein Fleisch, es gibt so viele sehr gute Veg-Gerichte, koche mich da durch,seit Jahren schon. Wenn ich etwas hasse, dann ist es der Gestank von verbranntem Fleisch/Würste im Sommer, wenn die Grillierer in unseren Parks wüten. Oder noch schlimmer, wenn meine Nachbarn auf dem Balkon oder im Hof Fleisch-Fressorgien feiern.
Man das Essen von Fleisch ja auch nicht gleich komplett aufgeben. Wenn man nur schon weniger davon isst, hilft das auch. Einmal pro Woche fleischlos wie Hr. Glättli vorschlägt, dürfte allerdings ein Tropfen auf den heissen Stein sein, denn das dürften die meisten Leute schon erfüllen, ohne irgendwas zu ändern.
Ich esse ein bis zweimal die Woche Fisch daher esse ich bei diesen Mahlzeiten kein Fleisch.
Desweiteren gibt es auch Gerichte ohne Fleisch die sehr gut schmecken aber ich lasse mir von niemandem der Fleischkonsum verbieten!
seine sie kein spielverderber,herr mueller.bei einem schönen bbq brauchts halt einfach etwas fleisch,aber sicher keine hassenden nachbarn.sie geben sie demütig, »meine wenigkeit »,intonieren dann aber ihren groll über in parks wütende fleischesser.
Während der Sommermonate grilliere ich auch gelegentlich ein Stück Fleisch bei mir auf dem Balkon und es geht sicher keine 10 Minuten und mein Nachbar ein Fleischhasser klingelt bei mir um sich gegen mein Grillieren zu beschweren.
Glücklicherweise steht im Mietvertrag und in der Hausordnung, dass ich den Gasgrill verwenden kann.
Habe auch kürzlich einen Brief der Verwaltung erhalten in dem mir die Verwaltung Mut zugesprochen habe, denn mein Nachbar sei ein Querulant.
Warum muss ich jemand der kein Fleisch isst wie ein Terrorist aufführen?
Ich lasse mir sicherlich nicht von Politikern vorschreiben was ich zu essen haben. Auch bestimmt ihr Politiker sicherlich nicht wie den mein politisch korrektes auszusehen und zu schmecken hat. Auch werdet ihr nie die Hoheit über meinen Teller haben und mir befehlen können was auf meinen Teller. Schönen Tag von einem dummen Ignoranten, der die Genialität unserer Politiker weiterhin ignoriert.
Sehen Sie Herr Koller, genau wegen Leuten wie Ihnen, sind wir in dieser Situation. Morgens Salami und Aufschnitt, Mittags das Cordon-Bleu und Abends 2 Schnitzel. Genau darum wird es irgendwann zu einer sinnvollen Kontingentierung münden.
Es ist eben wie beim Autofahren. Wenn man den Leuten freie Hand gibt, dann flippen diese komplett aus und wissen nicht wann genug ist. Wir mussten Katalysatoren, Bleifrei, ,Sitzgurte und und und einführen, weil ohne Zwang geht es offenbar nicht.
Guten Tag.
Sehe ich nicht so. Es gibt ja immer mehr Idealisten die aufs Fleisch verzichten wollen. Ich gehöre nicht dazu. Mein Steak hat immer seine 350 Gramm und wenns noch mehr von Euch gibt, werden meine Swissprime Produkte noch günstiger. Besten Dank auch.
Und dann erst die Raucher. Und die Dicken. Und die Alkoholiker. Und die Kampfhunde. Und die Immigranten. Und die Sportler. Die sind alle komplett am ausflippen, verursachen Kosten in Millliardenhöhe und machen die Welt schlechter. Gehört alles verboten!
Wenn Sie Fleisch essen mit Sitzgurten, Katalysatoren etc. vergleichen, dann disqualifizieren Sie sich selbst Herr Gretener. Und wer meint, dass eine Gesellschaft funktionieren kann, wenn man den Leuten alles verbietet ob aus moralischen Gründen (Ersatzreligion), Umweltschutzgründen, Gesundheitsgründen oder was auch immer, lebt in einer Fantasiewelt. Wenn das Ziel ist, Europa zu « leeren » noch bevor die Domographie das macht, ist man auf dem besten Weg.
Aus moralischen Gründen (Ersatzreligion) – und sie vielen aufgeklärten Menschen merken es nicht, dass sie trotz allem eine « Religion » haben wo sie sich unterordnen. Die Gesundheitsreligion zum Beispiel, die Religion der Wissenschaft (ich glaube nur was ich sehe und nur die Wissenschaft hat recht), etc.
Eigentlich eine arme Gesellschaft, die nicht sieht, dass sie sich wenn Gott tod ist, selber wieder Götter schafft und sich diesen unterordet. Nur sind die neuen Götter viel schlimmer als die alten! Willkürlich!
In der Diskussion geht’s keinesfalls um « Moral », sondern um Ökologie, bzw. vernünftige Nutzung der zur Verfügung stehenden Ressourcen. Es resultiert in maximal kleinsten Veränderungen des eigenen Verhaltens (wie bei Hrn. Glättli, der weiterhin Fleisch isst und kaum konkret wurde, wie denn nun genau gehandelt werden soll; umso interessanter, speien die Kommentaren trotzdem Gift und Galle). Was Sie meinen (aus moralischen bzw. ethischen Gründen die Ausbeutung nicht zu unterstützen und vegan zu leben), ist gleich religiös wie prinzipiell keine Menschen auszubeuten. Fundamentalistisch halt, nicht?
Herr Gretener, Sie haben leider Recht. Viele der heutigen Massnahmen oder Aufrufe müssen erfolgen, weil ein mehr oder weniger grosser Teil der Menschheit kein Mass kennt. Es ist überall so: wegen 1% von Schlunggibueben lebt eine ganze Sicherheits- und Schlossindustrie. Wegen ein paar Rasern werden bald auf jedem Strassenkilometer Geschwindigkeitskontrollen nötig. Und wegen denen, die im Übermass Fleisch essen, müssen Menschen andernorts hungern und wir haben ein Gülle- und Methanproblem, von den Herz-Kreislauferkrankungen ganz zu schweigen… aber nur ja nichts vorschreiben lassen wollen!
Herr Gretner, ich kann mich noch sehr gut daran erinnern, dass die längst bekannten Katalisatoren in der Schweiz verboten waren und bei importierten Autos sogar ausgebaut werden müssten. Bitte tun Sie jetzt nicht so scheinheilig!
Dann friss doch dein Fleisch und mach dir mal keine Sorgen um die Konsequenzen deines Tuns ! En guete . . .
Herr Koller hat etwas deftig geschrieben, einverstanden. Sollte es aber in nächster Zeit zu einer schweizweiten « Abstimmung » kommen, hätte ein wie auch immer geartetes Fleischverbot keine Chance, das weiss ich aus Diskussionen in der Bekannt- und Verwandtschaft (ebensowenig ein verordneter Benzinpreis von z.B. 5 Fr., von wegen Zwang). Nebenbei: Ich bin Nichtraucher unt Asthmatiker, stimmte für ein Rauchverbot, aber gegen die kürzliche Verschärfung.
Adam man kann natürlich auch Äpfel essen und trotzdem nicht im Paradies leben dürfen.
Und genau solche Linke wie Sie, der allen Anderen Regeln aufbedingen will, nimmt sich heraus, sobald SVP irgendwo steht, Amok zu laufen. Und wozu solche Ideologie-Anfälle führen, sehen Sie an Ihrem Mitkommentator der in typischem links/Gutmenschen Stil- und Anstandvoll lösungsorientiert austeilt.
Was faseln Sie schon wieder von der SVP. Kommen Sie zum Thema zurück und setzen Sie sich mit dem Thema auseinander. Oder schweigen Sie.
Bin auch ein Fleischesser, aber dabei kann man ruhig ein wenig sein Hirn einschalten Herr Koller. Essen sie bewusst, essen sie gute Qualität, essen sie nachhaltig (so gut es beim Fleisch geht) und hören sie auf so kindisch zu trötzeln. Mfg
Treffender kann man es kaum sagen…
Hr. Koller; Ich denke Sie machen sich keine Vorstellung davon wie stark uns vorgeschrieben wird was wir auf den Tellern haben. Das fängt nur schon bei der Deklaration der Produkte an. Brot, Fleisch, Gemüse, Früchte heissen immer noch gleich wie vor Jahren, die Inhalte aber können beinahe beliebig redefiniert werden und dürfen völlig legal den Bedürfnissen der Industrie angepasst werden. Gesundheit, Geschmack, Wohlbefinden, Genuss ist da völlig irrelevant, Profite scheffeln steht hingegen ganz oben. Resultat sind immer gruusigere Lebensmittel mit massenhaft Aromen und Farbstoffen…
Herr Koller, es lässt sich nicht anders sagen: Sie sind ein Einfaltspinsel.
Niemand will Ihnen etwas verbieten. Man möchte uns sensiblisieren, bewusst zu konsumieren. Es ist ganz einfach: um ein Kilo Fleisch zu produzieren, braucht es viele Kilos Futter. Dies ist ein Problem jenseits von links/rechts-Schemen. Dass wir in einer Welt leben, in der die einen fressen können was, wann und wieviel sie wollen während andere an Hunger leiden oder gar daran sterben. Darüber nachzudenken lohnt sich. Auch für Sie. Selten soviel geballte Ladung Ignoranz und Aggressivität gelesen.
@Chrigu Scheidegger
Worum geht es? Sie möchten Gerechtigkeit walten lassen über das Essen, sie sagen ja selber was richtig und falsch ist, ich ernähre mich falsch in ihren Augen. Nur ich lasse mir nicht vorschreiben was, wie, wo, warum, etc. ich esse, ich esse das wonach ich lust habe und niemals werde ich essen was in ihren Augen politisch korrekt ist. Ich bin erstaunt welches Echo mein Beitrag auslöste, alleine die Botschaft ich bestimme selber über meinen Teller. Wahnsinn dieser Ökotalibanismus.
Eine Auswirkung der Globalisierung ist, dass wir nicht mehr nur Verantwortung innerhalb unserer kleinen, engen Schweiz, unserem kanton, der Gemeinde übernehmen können, müssen, dürfen. Unser Handeln wirkt sich oft am anderen Ende der Welt aus. Und darum geht es: Verantwortung übernehmen wir freiwillig und lässt sich nicht per Gesetze vorschreiben. Ihre Angst davor, dass die Polizei Ihre Schlachtplatte konfiszieren könnte, ist völlig unbegründet. Allerdings ändert es nichts an der Tatsache, dass es heute keinen Grund zum Feischverzehr mehr gibt, weil sämtliche Argumente dagegen sprechen.
gut, ich gebe ihnen insofern recht, dass bei der verteilung der nahrungsmittel, (welche eigentlich in genügendem masse vorhanden sind), ein ungleichgewicht besteht. dies wird sich aber auch nicht ändern, solange die multis die kontingente bestimmen. hinsichtlich des weltweiten, stetigen bevölkerungswachstums, sowie der prosperität der schwellenländer, wird sich die situation bezüglich konsumwut weiter verschärfen. auch ich pflege, (im kleinen), einen bewussten umgang mit nahrungsmitteln und kaufe inländische produkte; aber – seien wir ehrlich – das ist ein tropfen auf den heissen stein.
Solange die Wirtschaft tut was sie will, wird es immer Ungerechtigkeit geben und wird immer alles ungleich verteilt sein. Solange man Wohlstand, Luxus und 100% Lebensqualität möchte und immer fauler wird (nicht mehr selber fortbewegen), dann klappt das niemals mit dem Verbessern der Welt.
Be the change you want to see in the world – Du selbst musst die Veränderung sein, die Du in der Welt sehen willst. Gandhi.
Mache ich ja schon lange so aber trotzdem verbessert sich nichts.
Sorry Hr. Glättli … seit Sie gewählt wurden, wird man das Gefühl nicht los, dass die Grünen nur noch ein einziges Mtiglied haben. Was wir nicht brauchen ist ein Fleischverzicht, das ist gegen die Ernährungskultur und die Biologie des Menschen. Wir sind Fleischfresser, alles andere ist konstruiert! Wenn die Politik etwas mehr Mut und Charakter besitzt, dann legt sich sich mit der Lebensmittelindustrie an, dort liegt der wahre Hund begraben!
Wir sind keine Fleisch- sondern « Allesfresser ». Das ist schon mal ein wichtiger Unterschied. Man muss auch nicht völlig auf Fleisch verzichten (mache ich auch nicht), aber etwas massvoller sein. Es reicht völlig 1-2 Mal pro Woche Fleisch zu essen um selbst als Carnivor, der ich bin, glücklich zu sein. Dazu esse ich keine Tierkinder (Kalb, Lamm und Ferkel), denn es ist ein Unsinn, diese Lebewesen zu töten, die noch kein Leben gehabt haben. Weniger Fleisch ist auch gut für die Gesundheit. Es hat also nur Vorteile, hier etwas den Konsum zu dämpfen. Ausser natürlich man will Trötzli sein.
Lieber Herr Hollenstein: Lesen Sie doch den Text nochmals. Nirgendwo steht « Fleischverzicht ». Einzig eine Reduktion des Konsums wurde empfohlen. Sich mit der Nahrungsmittelindustrie anzulegen, ist übrigens genau das, was einige politische Akteure auch tun – siehe z.B. die Initiative für Spekulationsstopp auf Nahrungsmittel. Es ist allerdings jetzt schon klar, dass die Bürgerlichen Parteien Gründe finden werden, um die Initiative nicht zu unterstützen – und von sich aus tun sie garantiert nichts gegen die Industrie.
Wir sind genau so « Fleischesser » wie Bären, die sich zu 80% pflanzlich ernähren…
Gemäss neusten Forschungen haben sich die Menschen in früheren Epochen sowohl 100% aus Fleisch, 100% aus pflanzlicher Nahrung und natürlich in Mischform ernährt. Unser Körper ist darum äusserst Anpassungsfähig – Alles andere ist konstruiert!
@Peter Hollenstein :
Sie treffen den Nagel auf den Kopf. Die Lebensmittelindustrie will uns Produkte schmackhaft machen, welche wir gar nicht benötigen. Natürliche Produkte, Wasser und Brot genügen vollständig. Je mehr das ursprüngliche Produkt verarbeitet wurde, umso ungesünder ist es normalerweise. Beispiel Kartoffel, welche gesund ist und Pommes Frites und Chips sehr ungesund. Die Menü’s müssten auch viel abwechslungsreicher sein. Fast überall wo ich hingehe bekomme ich pommes frites, weil sie einfach sind zu erwärmen. Hallo? Wie wäre es mit etwas Keativität? Die Mühe wird sich auszahlen.
Ich esse seit Jahren längst nicht jeden Tag Fleisch und ich bevorzuge Produkte aus der Nähe, wenn ich die Wahl habe. Dies nicht aufgrund irgendwelcher Ideologien sondern schlicht aufgrund persönlicher Präferenzen.
Ich sehe allerdings den Zusammenhang mit meinem Gewissen nicht ganz. Sollte ich ein schlechtes Gewissen haben, weil etliche Länder des Südens und Südostens ihre Bevölkerungsentwicklung bzw. die dortige Bevölkerung ihren Fortpflanzungstrieb nicht im Griff haben und es dadurch zu Nahrungsmangel kommt? Ganz bestimmt nicht.
Indien hat mehr Einwohner wie der gesamte Kontinent Afrika. Und Afrika hat viel mehr fruchtbares Land als Indien. Die Inder können sich selbst versorgen und exportieren sogar Nahrungsmittel. Es gibt also durchaus Entwicklungsländer die für sich selbst sorgen können. Aber wenn unfähige und korrupte Clans auf gierige Multis treffen ist alles verloren. Und ob jetzt die Landwirtschaftlichen Produkte als Futter oder als Biosprit enden spielt auch keine Rolle. Die ganze Ex UdSSR ist unterbevölkert, dort gibt es riesige Flächen an fruchtbarem Land die unbewirtschaftet bleiben diese Länder
lieber Hans, der Zusammenhang mit unserem Gewissen ist sehr wohl vorhanden. Es kommt nicht zu Nahrungsmittelknappheit weil « etliche Länder des Südens und Südostens ihren Fortpflanzungstrieb nicht im Griff haben » (hat Übrigens nichts mit Trieb zu tun sondern mit der Hoffnung dass eines der Kinder die Familie ernähren kann). Die Nahrungsmittelknappheit rührt daher dass wir die Nahrungsmittel verknappen indem wir sie in riesigen Mengen den Tieren verfüttern um diese dann zu essen, Benzin aus Nahrungsmitteln herstellen und nicht zuletzt mit Essen spekulieren um damit Kohle zu machen….
Lieber Hans
der Linktext « Fleischverzicht ist Gewissensfrage » wurde von der Redaktion getitelt. Die Debatte « stürzt » sich jetzt auf die Begriffe « Verzicht » und « Gewissen », die ich nie schrieb. Ich wollte nur sagen: auch wer Schweizer Fleisch konsumiert braucht Ackerfläche in andern Ländern mit. Dennoch esse ich weiter Schweizer Fleisch: z.B. wegen der Tierschutz-Bestimmungen! Aber gleichzeitig ist es auch spannend, mal ein paar gute vegetarische Rezepte kennenzulernen.
Hunger und Überbevölkerung dagegen haben wenig miteinander zu tun. Ich zeige im Text andere Ursachen von Hunger auf!
Lieber Herr Glätti, würden Sie mir bitte einmal schreiben was die Grünen denn wirklich wollen? Möchten sie möglichst viele Menschen in dieses Land pumpen, welche dann mit uns zusammen auf der grünen Wiese stehen ohne irgendwelche Ressourcen zu verbrauchen, verzückt in die Weite blicken und warten bis wir tot umfallen?Alle, die zusätzlich in die Schweiz kommen, haben ein Ziel, sie wollen auch im Ueberfluss leben und das möglichst billig! Mit dem Verhalten der » Grünen » und der SP in Ausländerfragen, wird genau das verschärft was sie kritisieren.
Sie scheinen in Ihrer parteipolitischen Verblendung diesen Artikel nicht richtig gelesen zu haben, denn dieser hat mit unserem eigenen Leben und nicht mit Ausländerfragen zu tun!
Lieber Herr Schwegler,wenn man etwas nicht wahrhaben will, schreibt man » was hat das eine mit dem anderen zu tun ».Wenn man aber geneigt ist alle Zusammenhänge zu betrachten, merkt man plötzlich, das es auf dieser Erde kaum etwas gibt, was nicht Einfluss auf andere Dinge hat.Warum nennt wohl A Moser vom SF seine Sendung » Netz Natur »?Parteipolitische Verblendung… Dazu kann ich nur sagen, so ein Blödsinn, das sollten Sie sich schon eher fragen!
Bossert, wenn sie schon von Zusammenhängen sprechen, würde man die Entwicklungs- und Schwellenländer nicht so ausbeuten, gäbe es auch so eine grosse Völkerwanderung. Sie brechen alles auf die Ausländer runter, doch ist auch dies nur eine Folge von etwas Anderem.
Zum Thema: Über Fleischkonsum kann man in einem anonymen Forum eigentlich nicht richtig diskutieren. Viel zu schnell kommen die Trözeler, aber auch die « Fleischessen ist Mord »-Leute aus ihren Löchern hervor. Kein Wunder dreht sich hier fast alle nur noch um Verzicht und Verbot.
Herr Bossert, ich gratuliere Ihnen, denn Sie haben nun wohl auch (also genau wie Herr Glättli) erkannt, dass wirklich alles miteinander zusammenhängt!
Was Balthasar Glättli schreibt, ist nicht völlig falsch, aber auch nicht im Massstab 1:1 umsetzbar. Man ist versucht zu sagen: Zum Glück! Um seine Thesen (theoretisch) realisieren zu können, müsste eine Weltregierung mit totalitärem Approach « inthronisiert » werden. Ansonsten könnte sie die gesteckten Ziele nicht erreichen. Aber das alles ist Theorie, die auf einer gehörigen Portion Naivität basiert. Fakt ist, dass der Mensch als egoistisches Wesen immer das tut, was ihm selbst erkennbar am meisten nützt. Weshalb tragen z.B. die Schweizer aktuell 8 Mia zum Einkauf (auch) von Fleisch nach DE?
Um Himmelswillen, ja keine Weltregierung, etwas mehr gesunder Menschenverstand würde völlig reichen. Dass der Mensch egoistisch ist, stimmt so nicht ganz, er kennt auch altruistische Verhaltensweisen. Diese entstehen aus mancherlei Gründen, einer davon ist die Erkenntnis, dass man nicht alleine auf der Welt ist und es also nicht nur um einen selber geht. Aber man kann auch manchmal verzweifeln an den Exemplaren, die genau Ihrer Beschreibung entsprechen…
Herr Monaro, das stimmt leider nur zu einem kleinen Teil, denn der Mensch ist, wenn es ihm nicht gut geht, ein bedingungsloser Egoist. Das hat sogar der urlinke Brecht geschrieben (der Satz mit Moral und Fressen). Wirklich helfen würde wohl, wenn die entwickelten Staaten nicht ihre Landwirtschaft massiv subventionieren würden um dann den Überschuss in die 3. Welt zu exportieren. Wenn wir den Bauern dort nicht ermöglichen, ihre Produkte bei uns zu fairen Preisen zu verkaufen, wird sich nie etwas ändern. Und Biosprit ist wohl das Dümmste, das man zur Zeit macht beim derzeitigen Nahrungsangebot.
Herr Meier, ich bin da ganz bei Ihnen. Eben genau WEIL es uns gut geht, könnten wir uns Moral erlauben und sollten es auch tun. Und es ist lustig, dass Sie Brecht zitieren, der mit seiner Feststellung einen gewissen Fatalismus hat durchblicken lassen, während es auf der anderen Seite wohlhabende Konservative gab (und gibt), die sich für die Menschen engagieren und andere an ihren Reichtum teilhaben lassen.
Herr Monaro, da stimme ich Ihnen zu, aber Moral ist auch immer eine persönliche Frage. Und die Vorstellungen davon ändern sich allethalben wieder. Ich lehne halt einfach diese Verbieterei ab. Gegen Philantropie ist auch gar nichts einzuwenden, sie soll aber ein klares Ziel haben und der zu Beschenkende hat dann auch in meinen Augen die eigentliche Pflicht, eine gewisse Dankbarkeit zu zeigen und mit dieser Hilfe auch pfleglich umzugehen, sie nicht als etwas selbstverständliches anzusehen.
Daniel Meier: Völlig Ihrer Meinung! Auch Ihr Einwand bezüglich Agrar-Subventionen ist stichhaltig. Da steht uns noch einiges bevor! Allerdings ist am Elend der Dritten Welt nicht nur die erste schuld. Der Mensch ist wirklich legitimerweise in Egoist. Interessen und Interessenkonflikte bestimmen das Geschehen auf diese Planeten. Dadurch sind immer kriege entstanden und werden auch weiterhin entstehen. Der Hinweis auf Bert Brecht ist goldrichtig! « Zuerst kommt das Frsssen und dann die Moral », legt er Macki Messer in der Dreigroschenoper in den Mund. Der Marxist Brecht hatte das Leben durchschaut
Nur weil ein Dramatiker seinen Figuren irgendwelche Sätze in den Mund legt ist das noch kein Naturgesetz. Dieses ewige « da kann man nichts machen, der Mensch ist Egoist » blendet aus, dass wir eben keine Tiere sind, sondern Wesen mit Moral und Mitgefühl. Nicht alle, nicht genug, nicht perfekt – richtig. Aber ich weigere mich jetzt einfach in Fatalismus, oder noch schlimmer, Zynismus zu verfallen und alles mit vermeintlichen Naturgesetzen zu erklären. Der Mensch kann, wenn er will und – möchte man hinzufügen – die Umstände es erlauben. Und sie tun es, zumindest bei uns. No more excuses!
Rudolf Mühlemann Da bin ich absolut Ihrer Meinung mit 1. und 3. Welt. Die Kolonialmächte haben weiss Gott genügend Mist angestellt in ihren Kolonien, aber an Mugabe/Amin usw. und wie die Schwachköpfen alle heissen, sind diese Völker zum grossen Teil schon selber schuld. Wie kann zB ein eigentlich reiches Land wie Simbabwe zu einem Nahrungsmittelimporteur degenerieren, wenn man doch die Möglichkeiten allesamt hätte, wie früher, ein grosser Exporteur zu sein. Und keine Hungernden im eigenen Land zu finden wären. Darum bei uns Subventionen herunter, damit auch solche Länder eine Chance haben.
Nein, auf keinen Fall eine Weltregierung! Das mit dem gesunden Menschenverstand ist schon richtig, aber eine Utopie. Altruistische Verhaltensweisen existieren, sind aber eher selten. Der Mensch ist egoistisch. Das gebietet ihm der Selbsterhaltuungstrieb. Dieser ist nicht weniger stark als der Sexualtrieb. Altriusmus kann im Einzelfall auch eine besonders raffinierte Art von Egoismus sein. Wenn ich die Selbstlosigkeit geschickt instrumentalisiere, hilft sie mir, meine egostischen Interessen geräuschloser durchzusetzen.
Und dann senden wir alle Moralapostel und selbsternannte Weltretter in Urlaub. Klar sie müssen nicht ins Flugzeug, der Urlaub ist für uns.
Die Grünen sind eine Verbotsverbot. Wollen Fleisch, Fisch, Kaffee verbieten (wegen Co2 und dass wir den anderen das Futter wegfressen). Besonders in den Städten wollen sie den motorisierten Verkehr verhindern und bekämpfen aber jede Umfahrungsstrasse. Im Kanton Uri haben sich die Grünen gegen Windkraft eingesetzt, auch gegen die Staumauer-Erhöhung am Grimsel sind sie dagegen, gegen KKW/AKW sind sie sowieso, der Strom fliesst bei ihnen ja aus der Steckdose. Herr Glättli ist aber ständig am Strom (Mobile und Labtop) Diese Partei ist nicht wählbar.
Liebe Sabrina
ich will ihnen ja ihre Vorurteile nicht nehmen. Meist lebt sich bequem damit. Aber wo sehen Sie in meinem Artikel die Idee, ein Verbot einzuführen? Ich plädiere nicht mal für eine Marktlenkung à la « Fleisch-Steuer ». Sondern ich versuche, an den gesunden Menschenverstand zu appellieren mit dem Hinweis, lokal und aktuell einzukaufen. Und vielleicht einmal (darf auch zweimal sein) in der Woche fleischlos zu geniessen.
Genau das sollte eigentlich in Eigenverantwortung möglich sein. Oder?
Herr Glättli, aber genau auf das läuft es ja bei den Grün/Roten hierzulande hinaus, alles will man von diesen Parteien her irgendwie besteuern/verbieten/erziehen. Und wozu? Um Bürokratien, Bettelorganisationen, Verbände etc. zu bewirtschaften. Kaum ist das komplette Rauchverbot « versenkt » vom Volk, kommt jemand mit 50% der Schweizer seien zu dick/Fleischkonsum einschränken! Manchmal kommt es einem vor als seien bereits viele Politiker von der Pharmalobby/Nahrungsmittelindustrie geimpft und deren hörig. Lasst die Menschen endlich wieder leben, statt dauernd neue Probleme zu suchen. Danke
Herr oder Frau Habegger, haben Sie den Aritkel überhaupt gelesen bevor Sie hier über die Verbotswut loszetern? Es will niemand Fleischessen verbieten und schon gar nicht aus dem Grund dass die Schweizer zu dick sind! Es geht um Vernunft bei der Auswahl der Lebensmittel weil z.B. Fleisch eine enorme Ressourcenverschwendung darstellt. Ausserdem können die Menschen sehr gut leben wenn sie nicht täglich Fleisch essen… in einem Punkt haben Sie allerdings recht: viele Politiker sind von der Pharmalobby/Nahrungsmittelindustrie geimpft, allerdings eher andere als die Grün/Roten die Sie ansprechen.
Aber, Herr Glättli:
Meinen Sie wirklich, dass in Indien (es herrscht ein Mengenüberangebot an Lebensmittel in Indien! Nur niemand kann es sich leisten und Getreide verfault wegen fehlender Infrastruktur) weniger Menschen hungern, wenn wir kein Fleisch mehr essen?
Hilfswerke schaffen ja selber Hungersnöte, weil sie die lokale Landwirtschaft runinieren, Lebensmittel können nicht innerhalb desselben Landes transportiert werden, weil die Strassen zu schlecht sind (Bahnen gibts eh keine) und schlieslich können sich die Leute die Lebensmittel nicht leisten.
wie genau ruinieren hilfswerke die lokale landwirtschaft? viele projekte konzentrieren sich genau darauf, die lokale infrastruktur nachhaltig aufzubauen und die selbstversorgung zu fördern, das landgrabbing zu bekämpfen.
Vor einigen Jahren war es noch üblich den Tieren in der Schweiz Tiermehl zu verfüttern. So konnten Fleischreste die nicht verzehrt worden sind dem Kreislauf wieder zugeführt werden und wurden nicht vergeudet. Mit BSE wurde die Verfütterung von Tiermehl verboten und es musste anderes Eiweiss her so stellte man auf Soja um.
Nun auch das Soja zu verteufeln hilft nicht weiter. Was soll die Alternative sein nur noch Gemüse essen?
JA! und soja aus schweizer/französischer produktion.
Unglaublich wie leute teils ignorant durchs leben gehn.
Agrarsubventionen und abgeschottete Agrarmärkte verursachen Armut und Hunger! Entwicklung hat SEHR VIEL mit Chancen zur Wahrnehmung komparativer Vorteile durch die Entwicklungsländer zu tun, aber GAR NICHTS mit dem Konsum von Fleisch von überteuerten hochsubventionierten CH-Milchkühen, welche mit überteuertem hochsubventioniertem CH-Soja gefüttert wurden. Wie schon Oscar Wilde sagte: « There is no sin except for stupidity ». Soviel zum Thema « ignorant durchs Leben gehn »…..
@Nico Meier: die Fütterung mit Tiermehl war ja das allerletzte und zeigt die geringe bis gar nicht vorhandene Wertschätzung gegenüber den Tieren: Müll verfüttern um möglichst billig zu produzieren. Soja wird nicht verteufelt, ein etwas massvollerer Verzehr von Fleisch (wie z.B. ein fleischfreier Tag pro Woche wie Glättli vorschlägt) kann aber durchaus ein Ansatz sein etwas an Ressourcen zu sparen…
Ich bin auf dem Land aufgewachsen und das was wir heute als Grünabfuhr in einen Container werfen wird auf dem Land den Schweinen oder Hühnern verfüttert.
Wieso auch nicht? Rüstabfälle von Gemüse sowie Essensreste eignen sich gut als Futter für Tiere. Diese einfach zu kompostieren ist doch Verschwendung!
@ Nico Meier:
Leider dürfen Essensreste nicht an Tiere verfüttert werden. Weder Bell, Micarna noch Fenaco akzeptieren das. Die schreiben das Futter vor.
Die Lösung ist weniger Fleisch. Es braucht die Tiere in de Landwirtschaft um Reste zu verwerten und Dünger zu produzieren. Zudem gibt es Land das sich nur als Viehweide eignet. China ist die älteste Kultur auf der Erde und die Chinesen betreiben Landwirtschaft seit tausenden von Jahren. Die Böden dort sind trotz intensiver Nutzung nicht ausgelaugt. Genau weil der Nährstoffkreislauf geschlossen ist.
Für die Menschliche Ernährung ist es besser direkt Soja bzw. Tofu zu essen. In der Chinesischen Küche gibt es viele Gerichte bei denen Fleisch und Tofu gemischt wird.
Die Fakten geben Herrn Glättli recht, das hat nichts mit Ideologie oder grüner Partepolitik zu tun. Es geht um gesunden Menschenverstand. Wir sägen an dem Ast, auf dem wir sitzen. Inzwischen sollte sich auch herumgesprochen haben, dass ein reduzierter Fleischkonsum nicht nur aus gesellschaftlichen Gründen zu empfehlen ist, sondern auch ganz einfach aus gesundheitlichen. Weniger Fleisch, weniger Zucker, weniger Zusatzstoffe, dafür mehr Lebensfreude, Solidarität und Bewusstsein.
So ein « Schmarren »! Die meisten von Glättli angesprochenen Probleme haben damit zu tun, dass auf der Nordhalbkugel die Agrarmärkte geschützt sind. DAS verursacht Armut. « Lokale Produkte essen » etc gehört für mich klar in die Rubrik « gut gemeint ist oft das Gegenteil von gut ». Wer etwas gegen die Armut in Entwicklungsländern tun will, der MUSS sich zwangsläufig für mehr Globalisierung, in erster Linie FÜR Agrarfreihandel einsetzen! Glättli demonstriert hier völliges Unverständnis von wirtschaftlichen Zusammenhängen! Ich werde auch weiterhin versuchen, CH-Agrarprodukte zu vermeiden!
Mit Armut meinen Sie vermutlich die materielle Armut. Aus unserer Sicht, die wir zu Materialisten erzogen wurden, sind die Menschen in den Entwicklungsländer natürich arm. Aus der Sicht die von jemand, der zu einem rein geistigen Wesen erzogen wurden, sind wir hier im Westen sehr arm. Gut, dass die Entwicklung bei uns weg vom Dualismus und hin zu einem geistig-materialistischen Menschen geht.
Aus meiner Sicht sollten wir uns nicht in Kulturen einmischen, die völlig andere Werte haben. Ein sehr trauriger Fall von Einmischung war Babynahrungs-Skandal in den siebziger Jahren.
Auch das stimmt nicht ganz. Das Hauptproblem in armen Ländern ist die Infrastruktur (z.B. Strassen, Lagerräume etc.) sowie die Verteilung. Länder wie Indien lassen Getreide Tonnenweise verfaulen, weils niemand kauft. Exportieren darf mans nicht, weil Leute hungern. Verschenken käme zu teuer.
Sudan: Auch hier, der Norden exportiert, der Süden hungert
Die Aussagen von Herrn Glättli sind lächerlich. Dieses so genannte « Land grabbing » hat nichts mit Landwegnahme zu tun. Im Gegenteil. Entweder es wird gekauft oder gemietet. Die Afrikaner sitzen ja heute in allen Gremien und studieren auf allen Universitäten der Welt. Also kann man denn annehmen, dass diese « Leader » wissen was sie mit IHREM Land machen. Wenn sie es verkaufen oder vermieten wird es wenigstens richtig bebaut. Nein, ich habe kein schlechtes Gewissen beim Verzehr von Fleisch. Im Gegenteil, ich geniesse es. Und-, die Afrikaner sollen selber sehen wie sie sich organisieren.
« die afrikaner », die vom landgrabbing betroffen sind, haben nur leider überhaupt gar nichts dazu zu sagen. sie leben auf land, auf dem sie schon seit generationen leben, aber keine bescheinigung dafür haben. sie bebauen das land bereits « richtig », wie es ihren bedürfnissen und den umständen entspricht und leben davon.
die « leader » wissen durchaus, was sie mit dem land machen: sie verkaufen es zu spottpreisen, für ihren eigenen profit über die köfpe ihrer « untergebenen ». konzerne und länder bestechen die leader und stürzen die grosse masse ins elend.
Merci Balthasar. Irgendjemand muss es ja den Leuten erklären. Auch wenn die wie kleine Kinder die Ohren zu halten und dazu laut singen.
Übermässigen Fleischkonsum kann man kritisieren, kein Problem. Wer nun, wie viele Linksgrüne, glaubt, dass CH-Biofleisch ökologischer sei, liegt falsch. Da diese Tiere nur einheimisches Futter fressen dürfen, bleibt logischerweise viel weniger Platz für den einheimischen Lebensmittelanbau. Konsequenz aus dem CH-Biofleisch: mehr Lebensmittelimporte.
Lieber dem Volk vorschreiben, wie es zu leben hat, statt die grossen multinationalen Konzerne anzugreifen, welche das Desaster zu verantworten haben (s. schon nur die vernichteten Lebensmittel der Grosshändler Coop und Migros). Das würde viel Arbeit bedeuten, ist schwierig zu vermitteln und man könnte sogar auflaufen…
solange die nachfrage nach den produkten der grossen konzernen stabil bleibt, wird sich nichts ändern. politisch ist leider auch wenig machbar, weil diese konzerne riesige profite einfahren und somit eine ebenso riesige lobby hinter sich haben und mächtiger sind, als der staat. auch mächtiger als das volk, das den konzernen mit seinem konsumverhalten eben diese macht liefert…aber natürlich bräuchte es der kampf gegen die deregulierte globale wirtschaft, von der nur eine kleine, weisse, wohlhabende, westliche schicht profitiert!
Für mich ist dieser Beitrag unglaubwürdig. Einerseits werden durch unsere subventionierte Landwirtschaft zerstörten Strukturen in den Entwicklungsländer angeprangert, andererseits habe ich keinen Grünen Vorschlag zu Lösung dieses Problem in der aktuellen Landwirtschaftsdebatte gehört. Sie könnten die Streichung aller Subventionen hier in der Schweiz fordern. Das wäre ein Schritt zur Hilfe in diesen Ländern und würde gleichzeitig das Portemonnaie der Leute hier schonen.
Wenn ich die obigen Kommentare lese erschreckt mich das schon ziemlich. Natürlich kann jeder tun und lassen, was er will. Nur, ist es wirklich richtig dass wir auf Kosten von Ärmeren, der Umwelt und zukünftigen Generationen unsere Konsumwut ungezügelt ausleben? Bedeutet die Möglichkeit, wählen zu können nicht auf Verantwortung? Ich finde ja – und passe mein Verhalten an..
Südkorea oder Vietnam sind gute Beispiele für arme Länder die es geschafft haben. Der Hunger in Afrika ist in erster Linie auf Diktaturen und deren Kriege zurückzuführen und nicht auf mein Schnitzel im Teller!
Lieber Herr Glättli
vielen Dank für den fundierten Text – Ich stelle fest, dass sich viele PolitikerInnen, Parteien und Verbände weiterhin für den Freihandel für landwirtschaftliche Produkte einsetzen, obwohl die Konsequenzen bekannt sind. Bei uns Überfluss in den Ländern des Südens Mangel. Ernährungssouveränität ist eine Vision, die davon ausgeht, dass die Bevölkerung eines Landes mitredet bei der Landwirtschaftspolitik und auch dafür sorgt, dass wir damit nicht anderen Menschen in anderen Ländern schaden.
Die Lösung heisst Fleisch aus dem Labor. Man muss es nicht füttern und es braucht deutlich weniger platz.
Selbstversorgung ist der grösste Blödsinn aller Zeiten und Glättli hat offenbar keine Plan von Ökonomie. Wenn er nichts vom Thema versteht, warum schreibt er dann Artikel dazu? Die Bauern in den Entwicklungsländern würde davon profitieren, wenn sie Nahrung an uns exportieren. Das funktioniert nur deshalb nicht, weil wir unsere Produktion subventionieren. Subventionen für Bauern sollten weltweit gestrichen werden und Qualitätsstandards eingeführt werden. Dann produziert der Beste. Glättli ist Sozialist und will Planwirtschaft. Wozu das führt, haben wir ja gesehen, Millionen sind verhungert.
Wohin die heutige Form von Freihandel führt, sehen wir auch täglich. 57’000 Menschen sterben täglich an Hunger. Fast eine Milliarde Menschen ist permanent schwer unterernährt.
Die Weltlandwirtschaft produziert mehr als genug NAhrungsmittel, um über 12 Milliarden Menschen zu ernähren (momentane Weltbevölkerung: 7 Mia.). Die Frage ist, wie die Nahrung verteilt wird. Wie bezahlbar sie ist. Wieviel davon den Weg in die Mägen findet und wieviel nicht (Stichwort: Food Waste). Und wieviel pflanzliche Nahrung zur Tierfütterung verwendet wird und wieviel direkt gegessen wird.
Hunger leidet die Bevölkerung in Ländern die nicht am Freihandel teilnehmen. Die Frage der Bezahlbarkeit stellt sich, aber sie wollen die Kleinbauern fördern die keine bezahlbaren Lebensmittel produzieren.
Warum hungert dann in Indien jedes zweite Kind? Lebensmittel dürfen nicht aus Indien exportiert werden. Trotzdem verfaulen jedes Jahr Millionen Tonnen Getreide in Indien (siehe http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/indien-laesst-millionen-tonnen-getreide-verrotten-a-832714.html ). Warum nimmt der Hunger in Gebieten, wo es (Gratis-) Lebensmittel durch Hilfsorganisationen gibt, zu? Herr Glättli, würden Sie noch Lebensmittel anbauen, wenn es sie Gratis gäbe?
Wenn Sie der « heutigen Form » von Freihandel die Schuld für Unterernährung in die Schuhe schieben, dann ist das wohl eine ideologische Verdrehung Ihrerseits. Es ist doch wohl die heutige Form von Protektionismus, die Menschen tötet. Die Grünen gehören hier – neben den (SVP-wählenden) Bauern – zu den Mitschuldigen! Das Selbstversorgungsargument ist ein typisches Verschleierungsinstrument der Protektionisten! Da Sie ja Philosophiestudent sind empfehle ich Ihnen die Lektüre des Moralphilosophen A. Smith, denn es fehlt Ihnen – mit Verlaub – am Verständnis einfachster wirtschaftlicher Zusammenhänge!
Was, Thomas Meier ? Glättli soll Sozialist sein, da muss ja jede Kuh lachen !
@Iskra. Natürlich sind die Grünen (GPS) zu über 90% Sozialisten. Das ist nämlich die Übereinstimmung mit der SPS bei Abstimmungen im Nationalrat. Auch bei den Parolenspiegeln sind die Unterschiede eher im « homöopathischen » Bereich….
Man mag in den protektionistischen Massnahmen zum Schutz der Landwirtschaft der westlichen Staaten einen Grund für Ernährungsprobleme in der Dritten Welt sehen. Aber die Alternative dürfte gerade den Grünen gar nicht behagen: Noch mehr importierte Lebensmittel aus allen Herren Ländern und ein gerereller Preiszerfall, der unsere Landwirtschaft schädigt. In der dritten Welt sind ungenügende landwirtschaftliche Strukturen, Misswirtschaft, Kleinbauerntum, fehlende stabile Märkte und Preise die Hauptursache für Ernährungsprobleme und nicht die westl. Konsumenten oder die « bösen » Narungsmultis.
Ich zeige Ihnen ein Beispiel auf. Die EU exportiert Ausschuss-Poulet krass subventioniert nach Afrika. Da zahlen wir alle drauf mit Steuern. Wir essen ja nur Pouletbrüstchen hier. Europa unterbietet sogar den Poulet-Preis des lokalen Hühnerzüchter und der geht Bankrott. Was glauben Sie wohin dieser Existenzlose Mensch nun aufbricht um sein Glück zu versuchen? Und das ist nur ein Beispiel von xfachen Problemen die wir weltweit verursachen.
Ich gebe Ihnen insoweit recht, dass der hoch subventionierte Export von Überschussproduktion in Entwicklungsländer ein Ärgernis darstellt und zu Verwerfungen in diesen Ländern führt. Diese können sich aber mittels Schutzzöllen behelfen um ihre Landwirtschaft ebenfalls zu schützen. Nicht dass das Ganze über Dauer eine sinnvolle Lösung ist, aber es braucht halt eine schlaue sich den Notwendigkeiten anpassende Wirtschaftspolitik zum Wohle der eigenen Bevölkerung. Protektionismus und Subventionen sind nicht eine Erfindung der westlichen Staatenwelt sondern überall anzutreffen.
wenn die entwicklungsländer schutzzölle einführen, kommt gleich die wto und prangert « handelshemmnisse » an und ruiniert diese länder zur strafe gemeinsam mit der weltbank…so einfach ist das eben doch nicht…
Was mir in diesen Diskussionen immer fehlt, ist der Aspekt einer Kontrolle bzw. einer über mehrere Generation gesteuerten Reduktion der Weltbevölkerung. Offenbar könnte unser Planet unter den heutigen Produktionsbedingungen zwar ca. 12 Mia. Menschen ernähren. Die Frage ist aber, ob man solch ein Wachstum auch zulassen soll. Die Nahrungsmittelproduktion ist ja nur ein Element des immer grösser werdenden « Human Footprints ».
In den Medien wird die Eurokrise, Märkte, Finanzwirtschaft usw in unendlichen Beiträgen gewälzt. Wieso schaffen es die grünen Politiker nicht, dass die angesprochenen Themen zB in der Tagesschau an erster Stelle kommt? Wieso gibt es keine Arena zum Thema? Ein gutes Buch dazu: « Die Globalisierungsfalle, Angriff auf Demokratie und Wohlstand »
Lieber Rolf Steiner
wir versuchen es. Z.b. mit solchen Artikeln, wenn wir erfreulicherweise die Gelegenheit dazu erhalten. Aber natürlich sind nicht wir es, welche die Themen in der Arena setzen. Das Buch « Globalisierungsfalle… » ist lesenswert! Weitere Lesetipps: Stiglitz, « Die Schatten der Globalisierung ». Und zum Thema Nahrungsmittel/Boden von Bommert, « Bodenrausch: Die globale Jagd nach den Äckern der Welt ».
Übrigens: Die Finanzkrise und der Hunger haben mehr miteinander zu tun, als man denkt. Nahrungsmittelpreise u.a. wg. Spekulation. Landgrabbing, etc. Wäre ein eigener Artikel!
Danke für die Buchtipps. Ein interessantes Buch über Nahrungsmittel/Boden ist auch « Schwarzbuch WWF » und der Dokumentarfilm vom gleichen Autor « Der Pakt mit dem Panda » der von der ARD ausgestahlt wurde und jetzt auf Youtube zu finden ist.
Ich bin Nichtraucher, Familienvater, GA-Inhaber, Besitzer eines grossen Autos, da 4 Kinder, aber weniger als 4000 km/Jahr, Wohnung in Block (nicht Häuschen), kaufe wenn immer möglich Bio und Regionalprodukte, ABER ich esse unheimlich gerne Fleisch zu frischem Gemüse. Bin ich jetzt ein « guter » Mensch oder ein « schlechter » Mensch? Ich denke, nur Fanatiker (egal, ob religiöse oder andere) beurteilen Menschen einzig aufgrund eines einzigen Kriteriums. So gesehen finde ich es vermessen, wenn jemand im Zusammenhang mit Fleisch automatisch das Verb « fressen » benutzt (s. « Steppenwolf »).
Herr Marchand,ich sehe das voll und ganz wie sie.leute die fleischesser beschimpfen,sind wohl meist von ideologie den nächstenliebe gesteuert.
Es wäre falsch jemanden nur auf Grund eines Kriteriums als gut oder böse einzuteilen. Wenn Sie sehr gerne Fleisch essen, dann ist das schon OK, sowas verträgt es, da es ja auch Vegetarier gibt, die das ausgleichen. Aber in der Summe essen wir zuviel Fleisch und das bereitet Probleme. Deshalb ist es sinnvoll hin und wieder bewusst zu machen, dass man es vielleicht auch mal mit weniger probieren könnte, vor allem, wenn man es gar nicht so sehr braucht, sondern vielleicht einfach aus Gedankenlosigkeit oder Bequemlichkeit macht. Wer aber bewusst und gerne Fleisch ist, dem sei das nicht verboten.
Guten Tag zusammen. Fleisch ist ein Grundnahrungsmittel für mich. Es enthält Eiweiss und nebenbei schmeckts es mir sehr. Ich sehe nicht ein warum ich darauf verzichten soll. Ich denke aber dass man mind. 1-2 Tage locker ohne Fleisch auskommen kann. Ich mache das aber mehr um das schlechte Gewissen zu beruhigen und wegen der Gesundheit. Auf Dauer würde ich aber nie ganz auf Fleisch verzichten. Mich ärgert dass es Politiker/Vegi-Fanatiker gibt die meinen den Leuten vorschreiben zu müssen wie sie sich zu ernähren haben.
Lieber Mephisto, geehrte Fleischesser ich kann schlecht verstehen, warum sich viele Fleischesser (ich esse auch ab und zu = ca 1x/Monat) agressiv für ihren Fleischkonsum wehren. Du bringst das Problem mit dem schlechten Gewissen auf den Punkt. Warum hast du/ihr ein schlechtes Gewissen? Wohl weil ihr genau wisst, dass es gelinde gesagt eine Katastrophe ist. Es ist nicht das Problem, dass wir Fleisch essen, sondern wie viel Fleisch wir essen. Also cool down liebe Fleischesser. Es wäre einfach solidarisch mit unserer Heimat, der Erde und all ihren Lebewesen,weniger Fleisch zu konsumieren. Danke
Lieber Herr Glättli
Irgendwie widersprechen Sie sich in Ihrem Artikel selber, was mich ein bisschen stutzig macht. Die von Ihnen zitierte Idee der geschützten Werkstatt, wenn ich das überspitzt formuliere::
«Recht aller Völker, Länder und Ländergruppen, ihre Landwirtschafts- und Ernährungspolitik gemäss den Bedürfnissen ihrer Bevölkerung selbst zu definieren, sofern diese keine negative Wirkung auf andere Länder hat.»
Hat doch gerade dazu geführt, dass « Milchpulver und Butterbergen zu Dumpingpreisen » exportiert werden. Staatliche Planwirtschaft kann nicht die Lösung sein.
Der zweite Teilsatz « …sofern diese keine negativen Auswirkungen haben » meint eben grad, dass man selbstgeschaffene Probleme (Überproduktion) nicht auf andere Länder abwälzen soll (Dumpingexporte).
Fleischverzicht ist vor allem eine Privatsache Herr Glättli. Bitte belästigen Sie mich nicht mit ihren Ideologien, ich belästige Sie ja auch nicht mit meinen…
(ich möchte anfügen das ich den Fleischverzicht, vor allem aus ökologischen Gründen, gar nicht für so schlecht halte. Aber Glättlis starre Ideologie nervt mich doch sehr!)
Weniger Fleisch essen ist keine Option ich freue mich schon aufs 500g Schnitzel morgen Abend.
Ich werfe hier an dieser Stelle mal eine weitere These ein. Je tiefer das Bildungsniveau, desto Stärker die Orientierung an Fleisch.
Entlich ist das auch mal jemandem aufgefallen, vorallem spricht es aus!!!
Mein Gott! Man könnte ja meinen es gehe um Leben und Tod in dieser Debatte. Und der teilweise gehässige Ton dabei. Tz tz tz….
Auch wenn ich beileibe kein Glättli Fan bin, wo er Recht hat, hat er Recht. Auch ich esse gerne Fleisch, aber Qualität kommt vor Quantität. Ich will wissen woher mein Fleisch kommt und wie die Tiere gehalten wurden. Und ich lebe auch gut, wenn ich nur 1-2 mal pro Woche Fleisch auf dem Teller habe. Es macht wenig Sinn, wenn wir auf der ganzen Welt Getreide einkaufen, um unsere Masttiere zu füttern, derweil genau in denen Ländern die Mensche hungern müssen.
Ist es nicht rassistisch, wie Herr Glättli darauf zu achten, nur Schweizer Produkte zu kaufen? Wenn man darauf achtet, nur Schweizer Menschen anzustellen, kommt jedenfalls der Vorwurf. Warum sollte man nur Schweizer Kühe essen und keine argentinischen? Als weltoffener Mensch esse ich jedenfalls alle Kühe gern (sofern sie von Schweizern gekocht und serviert … ups, das sollte man ja nicht sagen, nehme es also zurück).
Immerhin ist es bemerkenswert, dass die an sich auf der Hand liegende Tatsache, dass für vegetarische Tierprodukte kein bisschen « Futtermittel » gespart wird, in den Mainstream-Medien überhaupt erwähnt wird. Für die Ernüchterung sorgt Glättli aber gleich wieder selbst, indem er für « fleischlose Rezepte » (einmal in der Woche [sic!]) plädiert. Die Ethik und somit die Frage, inwiefern es überhaupt vertretbar ist, empfindungsfähige Lebewesen auszubeuten, einzusperren und zur « Verwertung » zu töten, bleibt wieder einmal aussen vor.
Schon richtig, Herr Casutt. Aber dieses Thema und der unbedingt nötige Paradigmenwechsel können nicht in 7-Meilen-Stiefeln begangen werden. Hier wird es viele kleine Schritte brauchen, wie bei vielen Themen.
Richtig, viele Schritte werden nötig sein. Jedoch müssen diese in die angestrebte Richtung gehen, ansonsten sind sie als Rückschritt zu werten. Die Ethik beim Thema « Nutztiere » bzw. den Umgang mit emfindungsfähigen Wesen generell (ob von der eigenen oder von einer anderen Spezies) komplett zu ignorieren, ist absurd. So käme denn auch niemand auf die Idee, ökologische Argumente gegen Deportationszüge zu verwenden.
Völlig einverstanden Herr Casutt. Aber es ist halt schwierig gleich mit Maximalforderungen zu kommen und da spreche ich nicht Sie direkt an. Für einen Gewohnheitsfleischesser ist es nicht einfach zu verstehen, wieso plötzlich Vegetarier und Veganter mit einer Meinung an sie herantreten. Er fühlt sich moralisch in die Ecke gedrängt und beisst zurück. Das hilft weder der Sache noch den Tieren noch der dritten Welt. Heute hätte kein gesunder Mensch mehr ungeschützten Verkehr mit unbekannten Personen. Vor 20 Jahren sah das ganz anders aus. Steter Tropfen höhlt den Stein.
« Für einen Gewohnheitsfleischesser ist es nicht einfach zu verstehen, wieso plötzlich Vegetarier und Veganter mit einer Meinung an sie herantreten. »
Naja, meist ist es schon für Vegetarier ein unglaublicher Affront, wenn man sie darauf hinweist, dass für Ihren Konsum genauso wie für die Gewohnheitsfleischesser Tiere ausgebeutet und ermordet werden.
« Er fühlt sich moralisch in die Ecke gedrängt und beisst zurück. »
Nein, nicht alle. Einige versuchen Argumente zu verstehen und auch das eigene Verhalten zu reflektieren. Wer dies nicht tut, wird sein Verhalten ohnehin nicht ändern.
Glatter Beitrag von Herrn Glättli. Da Grün ohnehin kein politisches Programm hat, können sich die Exponenten der Partei wenigstens in Politblogs als Ernährungswissenchafter und Weltverbesserer in Erinnerung rufen. Das beruhigt ihr Gewissen, da sie sonst wenig bringen.
Wie bitte? Gerade diesen Typen habe ich doch vor ein paar Wochen im Fleischrestaurant Café Federal in Bern gesehen.
Sie haben Recht, Herr Feuz. Ich bin nicht Vegetarier. Und habe hier konsequenterweise auch keine Lanze für den Vegetarismus gebrochen, sondern bloss für etwas freiwillige Mässigung im Fleischkonsum plädiert und ein paar Argumente dafür angegeben.
Umso mehr wundere ich mich über all die andern Kommentare, welche an mir eine offenbar ideologisch verbohrte Fundi-Fleischverbots Haltung kritisieren 😉
Sie sind mein Zeuge dagegen, merci!
Eine ausgewogene Ernährung beinhaltet auch Fleisch. Herr Glättli und die Grünen versuchen nur einmal mehr sich zu profilieren und den Mitmenschen zuweilen gar mit Angstmacherei etwas aufzuzwängen. Man nehme solches ganz einfach nicht mehr zu stark wahr und höre auf seinen eigenen Körper.
Wir sind keine Fleischesser. Wenn wir das wären, hätten wir Reisszähne und würden die Fleischstücke roh essen. Unser Darm ist für diese Vedauung viel zu lang. Wir lieben das Fleisch ja nur gut gewürzt und durchgebraten. Ich will mal einen Fleischesser sehen, der ein rohes Stück Lende mit Genuss herunterschlingt.
Wir sind auch keine Vegetarier, sonst würden wir auf vier Beinen auf Feldern und in Wäldern leben und Gras/bzw. Blätter, Rinden, Wurzeln « fressen » wie teils Kommentatoren/Innen abschätzig über Menschen sprechen welche Fleisch auch auf ihrem ausgewogenen Teller möchten.
Herr Habegger, nicht alles was hinkt, ist ein Vergleich. Soll ich den Bogen zu den Blauwalen ziehen? Oder den Löwen? Zerbeissen Sie die Kinder aus einer alten Beziehung einer neuen Freundin auch? Wir sind mittlerweile Kulturmenschen und keine wilden Tiere, obwohl… A propos 2 Beine, Strausse sind auch Veganer. Ach, was mach ich da überhaupt.
Biotreibstoffe fördern, Fleischkonsum verdammen, die typische grüne Widerspruchspolitik.
Ich nenne dies Agro- nicht Biotreibstoffe. Mit « bio » haben Agrotreibstoffe gar nix zu tun. Und die Grüne Fraktion hat schon 2007 Agrotreibstoffe kritisiert und ein Moratorium gefordert (Geschäft 07.3317, Motion grüne Fraktion. Moratorium für Agrotreibstoffe – einer von mehreren ähnlichen grünen Vorstössen).
Die Kinder der Generation die uns vor dem dumpfen Bürgertum des 1968 befreit haben, radikalisieren sich immer mehr in die Extreme. Tofutaliban würde ich die mal so salopp nennen.
Es fällt es mir schwer zu verstehen, weshalb viele Menschen immer noch Fleisch, Milch und Eier konsumieren.
Sicher, es gibt Gewohnheiten und kulinarische Traditionen (wobei der extrem hohe Fleischkonsum in Europa und Amerika in den letzten Jahrzehnten ein historisch ungewöhnliches Phänomen ist, früher hätten sich die wenigsten täglich Fleisch leisten können), aber es gibt ausgezeichnetes veganes Essen, und wenn man alle Argumente – ethische im Zusammenhang mit Tierleid und Massentierhaltung, ökologische und solche mit der Welternährung – berücksichtigt, ist für mich die Schlussfolgerung klar.
Selbstverantwortung und bewusster Konsum sind super, aber nur einen Tropfen auf den heissen Stein. Verordneter Fleischverzicht geht gar nicht (Glättli fordert das ja auch gar nicht)
Wirksame Massnahmen in der Politik wären:
Deutliche Reduktion von allen finanziellen Anreizen für hohe Tierbestände und Streichung der Subventionen für den Zuckeranbau (Verteilt auf 10 Jahre, die Bauern brauchen Zeit!!!)
Lockerung des Verbotes von Tiermehl: An Tiere, die natürlicherweise Fleisch essen, dürfen die Abfälle anderer Arten verfüttert werden. (Schwein frisst Rind, Fisch frisst Schwein)
Ich bin ja kein Freund der Grünen, aber dieser Artikel von Glättli gefällt mir. Er zeigt (fast) frei von Polemik anhand von Fakten reale Missstände und Probleme auf, und am Schluss fordert er uns alle auf, FREIWILLIG etwas dagegen zu tun, und zwar in einem massvollen Rahmen. Er fordert kein Verbot oder « Lenkungsabgaben », wie man das von den Grünen sonst kennt, sondern versucht uns zu überzeugen, mit einer kleinen Änderung des Lebensstils etwas Positives zu bewirken. Herr Glättli, wenn Sie auch bei anderen Themen so vorgehen, steht bei den nächsten NR-Wahlen Ihr Name auf meiner Liste…
Komperativer Vorteil, schon davon gehört Herr Glättli? Nicht? Zeit zu googeln.
Wie viele Anderen scheint Herr B. Glättli ein Moralist sein zu wollen. Er versucht uns wegen der anhaltenden Wucherung der Pandemie Menschheit den Verzehr von Fleisch auszureden, indem er uns ein schlechtes Gewissen anhängt. Fleisch gehört aber seit der Altsteinzeit (99 % der Menschheitsgeschichte!) zu den Grundnahrungsmitteln des Jägers und Sammlers Naturmensch. Lieber soll Herr Glättli versuchen, ein SCHRUMPFEN der Bevölkerung durchzusetzen. Der Geldadel und Andere, die auf artgerechte Nahrung Wert legen, werden auf jeden Fall weiterhin gutes Fleisch mit Hochgenuss verspeisen.
Also wenn Sie mit der Steinzeit kommen: Auto weg, ÖV weg, Kartoffeln, Mais, Tomaten weg, Zentralheizung weg, Polizei weg, TV weg, usw, usw. Ich nehme aber an, Sie geben mir Recht, dass wir uns weiterentwickelt haben. Dann: niemand will Ihnen den Fleischkonsum verbieten, aber vielleicht wären Sie bereit ihn etwas zu reduzieren und damit die Probleme zu lindern, die durch den übermässigen Fleischkonsum entstanden sind? Ihre Gesundheit wird es Ihnen danken.
Sehr geehrter Herr Monaro, Sie sehen es genau richtig: seit der Erfindung von Landwirtschaft und Viehzucht während der Jungsteinzeit geht es in Wirklichkeit mit der Menschheit nur noch abwärts. Sie hat die Fähigkeiten verlernt, im und vom Walde mit stabiler Bevölkerung zu leben. Sie ist leider zu einer weltweiten, wuchernden, die Mutter Erde vernichtende und vergiftende 7-Mrd.-Pandemie geworden, die verzweifelt versucht, ihre Probleme z. B. durch Fleischverzicht zu lindern. Die heutige Schmarotzer-Menschheit wird ihre Wirtin nicht überleben.
Ich lasse mir nicht von irgendwelchen Gutmenschen vorschreiben, wie ich zu leben habe. Und ganz ehrlich, mir sind die Menschen in der sogennanten Dritten Welt sowas von Wurst. Die sollen zuerst mal aufhören, sich wie die Karnickel zu vermehren, dann würden sie auch weniger hungern. Solange sie das nicht machen, liegt die Verantwortung ihrer Misere bei ihnen selbst und wenn sie verhungern ist mir das ehrlich gesagt egal. Ich lasse mir mein saftiges Steak nicht vermiesen, bloss weil in gewissen Ländern die Menschen lieber einer rückständigen Religion oder dem Aberglauben Folge leisten.
Dies könnten auch meine Worte sein.
Denn, ist es nicht so. Auch wenn ich hier verzichte, wird der « Arme » nicht mehr haben. Es ist wie mit dem « Wasser sparen ». Hat das Kind in der Sahelzone mehr Wasser wenn ich hier weniger verbrauche? Nein. Aber dessen muss man sich erst bewusst werden.
Schweizer Masttiere werden – wie auch solche in anderen europäischen Ländern – zu einem grossen Teil mit Mais und Soja aus Schwellenländern (z.B. in Südamerika) gefüttert. Diese Anbauflächen stehen für Pflanzen, die direkt von Menschen gegessen werden, nicht mehr zur Verfügung, und der sehr hohe Verbrauch an Pflanzen für die Tiermast treibt die Nahrungsmittelpreise in die Höhe. Der Zusammenhang zwischen weltweit hohem Fleischkonsum und Hunger besteht eindeutig.
Oft wird die Verwendung pflanzlicher Treibstoffe verurteilt – zu Recht, nur sind die Auswirkungen der Tiermast noch viel grösser.
Die Menschen verhungern nicht in den südamerikanischen Sojaproduktionsländern sondern in Afrika und Nordkorea.
Tolle Sache Herr Keller, andere einer rückständigen Religion bezichtigen und selbst eine rückständige Meinung wie aus dem Mittelalter haben. Zum Glück denken nicht alle so egoistisch wie Sie, leider sind Sie aber mit dieser Meinung in guter (?) Gesellschaft… Auf den « Gutmenschen » habe ich übrigens noch gewartet, dafür gibt’s einen Bonuspunkt.
übrigens: gutmenschentum ist nazi-slang. wollen sie wie ein nazi klingen, herr keller?
zudem: die menschen haben so viele kinder, weil sie sich davon erhoffen, das wenigstens einige überleben, und die familie mit arbeiten und die eltern im alter unterstützen können. und warum ist das nötig? unter anderem, weil ihnen ihr land zur eignen versorgung mit lebensmittel weggenommen werden und sie sich als taglöhner durchschlagen müssen. die kinder sind altersversicherung…
Ich bin hier mal mit absicht provokativ.
Diese Diskussion ist widernatürlich. Es herrscht ein fressen und gefressen werden. Sich ständig nur Gedanken um die Sorgen anderer zu machen ist reiner Luxus einer Überflussgesellschaft welche es sich auch leisten kann, Unproduktive aus Spass durchzufüttern.
Wenn ich stark bin – warum auch immer – kann ich mir nehmen was mir passt. Nur Schwache müssen sich immer sozial und solidarisch zeigen, weil sich die Starken mal von ihnen abwenden könnten, und sie dann auf MIlde und Unterstützung hoffen.
Starke zeigen sich solidarisch, auch wenn sie nicht « müssen ». Schwache denken, dass sie sich nehmen wollen, was sie können und sich nicht um andere Menschen und Tiere kümmern, wenn ihnen die Überflussgesellschaft die Gelegenheit zu einem so verantwortungslosen, verschwenderischen Leben bietet.
Der Ansatz ist insofern falsch, als es den Starken gar nicht kümmern muss, er sich damit gar nicht beschäftigt.
Da bin ich absolut gleicher Meinung- sie ist nicht ganz dieselbe die man so allgemein die Starken und Schwachen sieht.
Ihr Einwand ist absurd. Natürlich befasst man sich in Notlagen in erster Linie mit dem eigenen Überleben. Dieses Argument ist jedoch auf grundsätzlich alles anwendbar, bspw. auch die Pressefreiheit, welche ebenfalls ein « Luxus einer Überflussgesellschaft » ist. Dennoch käme wohl kaum jemand auf die Idee, pauschal Menschen, die für Pressefreiheit eintreten, mit dem Verweis auf hungernde Menschen als Wohlstandskinder zu bezeichnen. Ihr Beitrag ist somit ein Plädoyer zur Auflösung der Zivilgesellschaft, was kaum jemand unterstützen würde.
Im Übrigen werden die « Unproduktiven » (zu denen vielleicht auch mal Ihnen nahe stehende Personen gehören könnten) nicht « aus Spass durchgefüttert », sondern aus einem Verständnis für Ethik, das bei Ihnen komplett abhanden gekommen scheint.
Sorry Herr Casutt – das mit den « Unproduktiven » ging in die Hosen. Es war als Seitenhieb an den ewigen Studenten Glättli gedacht.
eine lanze für herrn glättli: er hat zwei firmen gegründet, erfahrung als unternehmer und arbeitsplatzbeschaffer. jetztz hat er sich entschlossen, neben der arbeit nochmals ein studium aufzunehmen. ob sie wirklich produktiver waren als herrn glättli ist zumindest nicht ganz einfach so auf den ersten blick zu sagen.
Ach Herr Perez, ich behaupte mal, dass ich sehr viel « stärker » bin als Sie, nach über 20 Jahren Karate-Ausbildung und 14 Jahren Eishockey. Bin 1,92 gross und wiege 104 Kilo. Soll ich Ihnen jetzt einfach mal alles wegnehmen, Auto, Haus, Frau, Gesundheit? Könnte ich, tue ich aber nicht. Wieso? Empathie, Solidarität, Menschlichkeit.
Ach Herr Gretener, da können wir uns auf Augenhöhe begegnen. Ich bin auch 192cm (kein Scherz) aber nur 95kg als ehemaliger Ausdauersportler.
Wobei Karate und Eishockey kaum helfen würden, denn der Geist siegt über die Materie – wie man so schön sagt. Was heisst, die Frage wäre, ob sie überhaupt so lange überleben könnten um ihre Künste anzuwenden. (Das ganze selbstverständlich rein rethorisch gemeint).
Sie winden sich um eine direkte Antwort auf meine Frage. Geist, Körper? Jetzt habe ich aber den Philosophen in Ihnen entdeckt. Schon mal ein Anfang.
Ich winde mich nicht um eine Antwort … aber sie wurde gelöscht …
Guten Tag!
Ich finde die Idee gut.
Bitte stören Sie sich nicht an den negativen Kommentaren. Solche Kommentare gibt es immer wenn der Fortschritt und die Menschlichkeit in einem Bereich Einzug halten.
Viele Grüße aus Deutschland!
Was soll daran frotschrittlich sein, sich von Politikern und Moralaposteln vorschreiben zu lassen was wir zu essen haben??? Und welcher Arbeit gehen dann die Rinderzüchter und Soja-Produzenten in Brasilien nach????
Herr Koller, unter ihrer Prämisse sollte dann auch Menschenfleisch frei erhältlich sein. Wer sind den die Politiker überhaupt, sowas zu verbieten.
Ja, ja Herr Glättli unser Überfluss macht andere hungrig, Traurig ! Ich muss gleich weinen.
Wie hungrig sind denn Sie, essen Sie jetzt nur noch Gras?
So lange Sie das Essen Ihrer Mitbürger nicht bezahlen müssen, sollten Sie ruhig sein und Ihre Äußerungen, welcher Art auch immer, zuerst aufschreiben, einmal durchlesen wie in der ersten Klasse und erst dann zum Besten geben. Vielleicht hilft es oder auch nicht, wer weiß ?
Herr Keith, jetzt mal langsam. Ihr Beitrag strotzt nur so vor Beleidigungen und hungert nach Argumenten. Fleischesser leben auf dem Buckel der Sorgfältigen, Armen und Nachhaltigen. Das ist Fakt. Get over it.
Herr Gretener/Unglaublich mal sind es Nichtraucher, dann jene die einen vorgeschrieben Bodymassindex haben, dann wieder solche die der Pharma hörig sind und jedes Grippeli glauben…. und jetzt die Vegetarierer, welche glauben die Welt gehöre Ihnen und sie seien die besten der Gattung Mensch. Lasst doch einfach endlich mal wieder die Menscheen leben, jeder soll doch essen was er/sie will. Der beste Indikator ist ohnehin auf seinen Körper zu hören, statt irgendwelchen Modestreams zu gehorchen.
Es geht hier doch nicht um Modestreams und Körper, Sie haben den Kern der Diskussion nicht richtig erfasst. Unsere Ernährung hat einen direkten Zusammenhang mit manchem Elend in der Welt. Jeder kann alles machen was ihm gefällt, solange er nicht die Freiheit (sich zu ernähren) der anderen tangiert. Dann hört es nämlich auf.
Adam Gretner/Da pflichte ich Ihnen bei es gibt auf dieser Erde viel Leid und Elend. Man sollte vor der eigenen Haustüre zuerst wischen. Schon mal mitbekommen wieviele Arme es in unserem Land gibt? Im Übrigen ich war selber lange so naiv und glaubte, dass es uns besser gehe, wenn wir spenden etc. Wir ändern nichts bereichern bestgenfalls Bettelbürokratien.
Herr Habegger: hören Sie ruhig auf Ihren Körper, das ist schon mal ein guter Anfang. Aber Ihr Körper kann leider nicht melden, was für Probleme durch den ÜBERMÄSSIGEN Fleischkonsum der Industrienationen entstehen. Dafür muss man lesen, sich austauschen, nachdenken. Kurz: den Intellekt benutzen. Sie werden sehen, Ihr Körper funktioniert auch bestens mit etwas weniger Fleisch, Ihr Wohlbefinden wird kein bisschen leiden, sondern vielleicht sogar gesteigert. Wäre doch mal einen Versuch wert, nicht?
Her Mario Monaro/Sie dürfen glauben was Sie wollen und leben nach Ihrem Gutdünken. Was wir nicht mehr brauchen in der Schweiz sind Leute die andere « bekehren » müssen. Es besteht langsam dike Gefahr hierzulande, dass in Kürze gar das Atmen besteuert oder mit Gebühren belegt etc. wie durch Leute wie Glättli und Sie. Leben und Leben lassen! O. K. ?Solange man dies in der Schweiz befolgte, ging es diesem Land sehr gut, heute hat es zuviele sog. « Experten » und keinem kann man mehr glauben .
Auch wenn jeder Schweizer zwei Jahre lang absolut kein Fleisch isst, keinen Biotreibstoff braucht,so wird es in den von Ihnen angführten Regionen keinem einzigen Menschen besser gehen. Wenn wir alle hier zu Veganern werden, so müssen wir dafür andere Lebensmittel importieren, welche dort dann fehlen, wir hätten zuwenig vom Eigenanbau. sollen wir fasten? Es liegt nicht an dem, was wir hier essen, sondern an den Regierungen dieser Staaten. Diese sind hauptsächlich schuld an der Not ihrer Bevölkerung. Ich habe absolut kein schlechtes Gewissen, wenn ich ein Kottlett, ein Steak oder eine Wurst esse
Sie müssen auch kein schlechtes Gewissen haben. Denn Sie und ich haben die Schweiz nicht überbevökert und auch nicht zubetoniert. Aktuell müssen 75 % der Lebensmittel importiert werden.
Also auch kein Mitgefühl für das Tier, welches für Sie sterben musste. Brrr….
« Wenn wir alle hier zu Veganern werden, so müssen wir dafür andere Lebensmittel importieren »
Unsinn, es müssten Unmengen weniger Lebensmittel/ »Futtermittel » importiert werden. Genau dies hat Herr Glättli ja geschrieben (wenn auch unverständliche Konsequenzen daraus gezogen).
Liebe Hardcore-Vegis: hört endlich auf zu missionieren. Jeder soll selber entscheiden und es wird uns schon genug vorgeschrieben! Und liebe Hardcore-Fleischesser: schaut öfter Mal Dokus auf ARTE (« Unser täglich Gift », « Nie wieder Fleisch? », etc.) und schaut über euren Tellerrand und die CH-Landesgrenze hinaus. Wenn ihr danach immer noch mit GUTEM Gewissen Fleisch esst (und euch nicht wegen eurem Stolz selber belügt), habt ihr weit grössere Probleme. Das Problem unserer Zeit ist nicht Fleisch ja oder nein. Das Problem ist NICHTWISSEN, IGNORANZ und VERDRÄNGEN.
Genau!
Ja: die Ignoranz ist das Schlimmste. Aber betr. missionieren bin ich nicht mehr einverstanden. Wenn man es den Menschen nicht dauernd unter die Nase reibt, verdrängen sie weiterhin alles und essen ungerührt weiter Tiere. Sie sollen endlich hinhören und aufwachen!
Interessant, interessant, wieviel Staub das Fleisch essen oder nicht essen, für manche sogar als Verzicht gesehen, aufwirbelt! Das empfinde ich als sehr gutes Zeichen! Wen Gesundheit im Zusammenhang mit Konsum von tierischen Eiweiss, interessiert, dem empfehle ich das Buch ‘China Studie’ von T. Colin Campbell.
Ich stelle mir manchmal die Erde vor ohne industrialisierte Fleisch- und Milchproduktion: es sieht wunderschön aus!
Nicht nur regenerieren sich die Regenwälder, sondern wir habe viel weniger CO2 in der Luft – und praktisch keine Hungersnot! Wollen wir auf diese Möglichkeit verzichten?
« Unser Überfluss macht andere hungrig ». « Unser » verstehe ich als die Schweiz. Fakt ist, dass wir 75 % der Lebensmittel importieren müssen (!), damit nicht 75 % der Bevölkerung verhungern müssen. Wir leben also nicht im Überfluss und essen den anderen doch den Teller leer. Ich schreibe es schon lange und immer und immer wieder und werde als alles mögliche bezeichnet. Das ich Recht habe hat mir aber noch niemand gesagt. Der Artikel gibt mir aber wieder mal Recht – Vor allem, weil er auch am falschen Ort ansetzt.
Wir leben nicht im Überfluss, wir leben in der Überbevölkerung.
« Ich schreibe es schon lange und immer und immer wieder und werde als alles mögliche bezeichnet. »
So sehr scheinen Sie von der absurden Idee der « Selbstversorgung » kaum überzeugt zu sein, denn der effektivste Weg, diese zu erreichen wäre eben, keine Tierprodukte zu konsumieren.
1. hat es in der CH nur noch 1,1 Mio Hektaren Landwirschaftsland. Dies reicht für maximal 2,2 Mio Einwohner. Bei vegetarischer Ernährung liessen sich vermutlich 4,4 Mio füttern.
2. sind sowohl vegetarische als auch vegane Ernährung widernatürlich und vegane Ernährung ist ungesund. Der Mensch ist ein Allesfresser.
3. ist es tatsächlich so, wie ich es schon lange schreibe: die CH ist massiv überbevölkert
Ich esse auch nicht jeden Tag Fleisch. Ich esse meist 2 bis 3 Tage (manchmal länger) kein Fleisch, dann wieder 4 bis 5 Tage Fleisch. Das ist sehr gesund so.
Sehr geehrter Herr Glättli
Pauschalisieren und Tatsachen unterschlagen ist auch eine Art von Lügen. Sie schreiben :“ Schweizer Rind ist heute brasilianisches Fleisch.“ Sie unterschlagen dass es viele Raufutterbasierte Tierhaltungsprogramme gibt. Wissen Sie es nicht besser oder kommen Sie in ihren Kreisen besser mit Pauschalaussagen an? Der Grund warum brasilianisches Soja verfüttert wird ist ganz einfach : man kann damit günstiger als mit Gras, Fleisch und Milch produzieren. Viele Konsumenten sind nicht bereit teurer produzierte Nahrungsmittel zu kaufen. Die Wahrheit ist halt störend.
Der Grund, warum importiertes Futter verfüttert wird, ist, dass der Selbsversorgungsgrad der Schweiz nur mal gerade 25 % beträgt. Weil die CH zubetoniert und überbevölkert ist. Dämmerts immer noch nicht?
Ich arbeite bei einem grossen Getreidehändler in Ohio (USA). Dort wird hauptsächlich mit Sojabohnen, Getreide und Mais gehandelt. Ca. 50 % der amerikanischen Produktion werden exportiert, vor allem nach Russland und den Fernen Osten. Grosse Mengen werden auch für Tierfutter verwendet und in den USA gibt es die besten Steaks. In Ohio, Michigan, Indiana und Illinois leben viele Bauern von der Produktion von Soja, Getreide und Mais. Ich sehe das oben erwähnte Problem nicht und geniesse die Steaks hier den sie sind von besonderer Qualität.
Herr Glättli/ Eine Frage sei erlaubt: Was viele Leser eventuell intressieren könnte ob Ihres sehr eifrigen Engagements: Welche Verwaltungsratsmandate bekleiden Sie.? Wer bezalht Ihren Lobbyismus, nebst den « Polit-Gagen (evtl. Steuergelder) » für die Grüne Partei, abgesehen der Steuerzahler? Diese Frage ist aktueller denn je und gegenüber dem Volk das man vertreten will mehr als gerechtfertigt imit Verlaub.
Herr/Frau Habegger
Sie finden meine Interessebindungen auf http://www.parlament.ch – oben rechts Balthasar Glättli eingeben, auf die Bio klicken. Unten an der Seite sind die Interessebindungen. Was meine finanzielle Situation angeht, bin ich ebenfalls transparent. Schauen Sie auf meiner Homepage, http://www.balthasar-glaettli.ch > Ueber mich > Finanztransparenz. So viel zu ihren unfundierten Anwürfen.
Besten Dank Herr Glättli für Ihre Info. Betr. unfundierten Anwürfen, wenn Sie meinen Beitrag lesen, es waren Fragen, nicht Anwürfe. Und leider heutzutage legitim, gar beinahe notwendig, wenn man den ungezähmten Lobbyismus sieht im Parlament sieht.
Mit freundlichen Grüssen
B. Habegger
Ich esse schon jahrelang kein Fleisch und vermisse absolut nichts. Manchmal beschleicht mich der Eindruck, dass viele Fleischesser/innen ev. süchtig sind? Wie sonst kommt es, dass sie nicht mal EINEN Tag ohne Fleisch-essen auskommen? Auch betrübt mich, dass man Fleischesser mit so nüchternen Argumenten wie ‘weniger CO2, gesünder, etc.’ überzeugen muss. Für mich zählt nicht in erster Linie meine Gesundheit sondern das Empfinden der Tiere.
Tom/Es steht Ihnen selbstverständlich frei kein Fleisch zu konsumieren. Gegenfrage: Gehören Sie zu den « Süchtigen » welche den Drang verspüren den Mitmenschen ihr Leben als einzig wahres und richtiges aufzuzwingen. Bitte etwas mehr Toleranz gegenüber anders Denkenden. Danke.
Was haltet Ihr eigentlich von der privaten Haustierhaltung? Es erstaunt mich, dass diese Thematik in dieser Diskussion nie angesprochen wird. Es ist doch Fakt, dass wir auch sehr viel Fleisch an unsere Katzen, Hunde, etc. verfüttern. Ich selber esse übrigens noch Fleisch, allerdings nicht jeden Tag. Wir sind eine 4-köpfige Familie mit 1 Hund und einem Kater. Die beiden essen fast so viel Fleisch wie wir 4 Personen. Oder ist unter Veganern die Haltung von Tieren, welche Fleisch als Nahrung benötigen verpöhnt?
Die « Haltung » von Tieren ist unter Veganern selbstverständlich « verpönt », trotzdem brauchen die Tiere, die nicht alleine überlebensfähig wären, einen Ort um zu leben. Hunde sind (wie wir Menschen) omnivor und können problemlos vegan ernährt werden. Katzen sind karnivor und brauchen gewisse Stoffe wie Taurin oder Arachidonsäure, die in der üblichen veganen Nahrung nicht enthalten sind. Diese können jedoch anders zugeführt werden, weshalb auch bei Katzen eine vegane Ernährung durchaus möglich und ausgewogen sein kann.
Herr Casutt, Sie haben ein Problem. Entweder ein sektiererisches oder ein sozialistisches. Wer Hunde und Katzen vegetarisch oder vegan ernährt, sollte dringendst Ausstiegshilfe finden und nicht suchen.
Anstatt Hunde und Katzen tierquälerisch total falsch und widernatürlich zu ernähren, sollten sich solche Leute dazu entschliessen, keine Hunde und Katzen zu halten. Desweiteren sollte sowieso nur jemand Hunde und Katzen halten dürfen, wenn diese auch nach Lust und Laune ins Freie können.
Einerseits produzieren wir unsere Nahrungsmittel wenig nachhaltig (z.B. Futtermittel), andrerseits werfen wir zuviel davon wieder weg. Eigentlich schizophren, nicht? Nahrungsmittel sind wertvoll, aber offensichtlich zu billig.
reicht es wirklich, nur einmal die Woche auf Fleisch zu verzichten?Und selbst wenn alle Schweizer nur noch 2-3 Mal die Woche ein Stück Biofleisch auf dem Teller hätten (und die Schlachtabfälle unseren Haustieren verfüttert würden) – hätten wir dann noch genug Kühe um unseren Bedarf an Milchprodukten und Eiern zu decken? Hier im Fondue- und Ovomaltinenland? Könnte die Firma mit dem Vogelnestchen dann noch ihre Schokoladenprodukte und Babynahrungen in alle Welt exportieren oder würden hier Tausende von Jobs gefährdet? Kämen wir wirklich um den Import von Fleisch resp Futtermitteln herum?
Es wird wohl noch ein paar Jahrhunderte dauern, bis wir Menschen das Bewusstsein entwickelt haben, dass die Schöpfung nicht uns gehört, sondern wir Teil der Schöpfung sind.
Genau, wir sind darin integriert mit Fressen und gefressen werden!
Bin ganz Ihrer Meinung.
Herr Glättli, ich finds voll herzig, dass Sie diesen Blog lesen und mit den Bloggern interagieren.
Was ich noch mitgeben möchte zum Bedenken ist der folgende Aufsatz des Neurophilosophen Thomas Metzinger
Tierethik
Beweislast für Fleischesser
Mit jedem neuen Experiment erhärtet sich der Verdacht:
Viele Tiere sind leidensfähiger, als wir lange annahmen. Höchste
Zeit, einige bequeme Gepflogenheiten über Bord zu werfen!
Glättli zieht alle Klischees aus der Mottenkiste der Linksgrünen hervor. Er schiesst gegen den Klassenfeind « Glencore » und meint die Welt sei gerettet, wenn dieser aus der Schweiz vertrieben sei. Ich bin der Überzeugung, dass das Welthungerproblem mit intelligenten Anbaumethoden gelöst werden kann. Gestern lief auf Arte ein interessanter Film, der zeigt wie man Probleme lösen kann: http://www.arte.tv/de/die-zukunft-pflanzen-bio-fuer-neun-milliarden/6892764.html
Herr Glättli, das Hungerproblem hat nichts mit dem Fleischkonsum von einem Schweizer zu tun. Das Hungerproblem hat einzg mit Diktatoren wie z.B. Mugabe zu tun, welcher irgendwelche Grussgrundbesitzer vertreibt. Indien (die grösste Demokratie) z.B. hat kaum Hungerproblme mehr.
Das Hungerproblem hat auch nichts mit den Spekulanten zu tun, an den Börsen. Dies ist ein Abbild, dass die Nahrung (endlich) wieder mehr geschäzt wird!
Warum importiert die CH soviel Soja? Weil es billiger ist, als es selber zu produzieren (man könnte sehr wohl), denn dann müsste der Staat ja mehr Subvenzionen zahlen.
« Warum importiert die CH soviel Soja? Weil es billiger ist, als es selber zu produzieren (man könnte sehr wohl) »
Nein, man könnte nicht. Selbstverständlich würde die Anbaufläche in der Schweiz niemals reichen.
Falsch, heute kriegen die Bauern Subvention damit sich nichts oder wenig produzieren. Der Wald nimmt zu, weil ebenfalls im Gebirge wenig produziert wird, dies sind die Fakten.
Aber ich bin nicht der Meinung, dass dies sinnvoll ist!
Planzen leiden auch wenn man sie ausreisst, schneidet oder pflückt! Nur weil Pflanzen nicht schreien können meinen wir die Pflanzen werden gerne gefressen!
Lasst euch ein bis zwei mal pro Woche eine pflanzenlose Mahlzeit schmecken! Dem Pflanzenfrieden zuliebe!
« Nur weil Pflanzen nicht schreien können meinen wir die Pflanzen werden gerne gefressen! »
Das meinen Sie vielleicht, jeder einigermassen vernünftige Mensch ist sich jedoch bewusst, dass Wesen, die kein Bewusstsein und keine Interessen haben, auch keine Vorlieben bezüglich des Todes haben können. Selbst wenn anders wäre, wäre es recht angezeigt, vegan zu leben, würden doch so mit Abstand am wenigsten Pflanzen verbraucht.
« Planzen leiden auch wenn man sie ausreisst, schneidet oder pflückt! »
Pflanzen leiden genauso, wie Schweine fliegen und Pilze Aufsätze schreiben: Gar nicht. Schliesslich haben sie keinerlei Nerven oder andere Strukturen, die dies erlauben würden.
Trotzdem sollte man versuchen einen oder zwei Tage in der Woche planzenlose Mahlzeiten zu kochen. 🙂 🙂
Anstatt sich auf vielen Nebenschau-Plätzen herum zu tummeln, würden Sie, Herr Glättli, sich gescheiter mal auf die Kern-Kompetenzen Ihrer politischen Arbeit als Nationalrat konzentrieren.
Dann müssten Sie nicht dauern aufschreien und der Nation mitteilen, dass Sie überlastet seien als Nationalrat und scheinbar zuwenig Geld dafür bekommen würden.
Denn seriöse Arbeit in solch einem Blog kostet auch viel Zeit, welche dann andernorts wieder fehlt.
bin ganz ihrer Meinung
Hr.Glättli, « Es ist doch ganz einfach », wir brauchen ihren Ratschlag – weinger Fleisch zu essen – nicht, denn die Mehrheit verzichtet bei dem vielfältigen Nahrungsangebot bereits 1-2 x pro Woche darauf.
Glättlis Artikel ist ein Paradebeispiel grüner Problembewirtschaftung: Auf einen guten Problembeschrieb lässt Grüngaukler Glättli eine qualitativ richtige aber quantitativ untauglich schwache Massnahmenempfehlung folgen – weil er Nationalrat bleiben und keine Wähler vergraulen möchte. So wird die Problemlösung schon im Ansatz korrumpiert, dabei aber die Illusion erschaffen und aufrechterhalten, wir würden etwas tun zur Lösung des Problems: Die Nachhaltigkeitslüge macht so die Bewahrung der Schönheit und Vielfalt der Welt vollends unwahrscheinlich. Unsere Nachkommen werden uns verfluchen.
Es liegt heute im Trend, und da reiht sich Herr lättli nahtlos ein, den Menschen ihr Tun zu verbieten oder zu vermiesen. Das fängt beim Rauchen an, geht über zum Drinken, Auto, ÖV-Fahren, Essen usw.
Man will jedes und alles regulieren, zuerst mit appellen und dann mit gesetzlichen Verboten, der Mensch soll seine Verantwortung bei der Geburt an den Staat abtretten, dieser wird ihn behüten und entscheiden was für jeden gut ist, bis zum Tode. Es soll ja keinem Menschen einfallen selber für etwas eine Entscheidung zu treffen, die Behörden sollen das Sagen haben.
Aber nicht mit mir !!!!!!!!!!!
Ja, den meisten Kommentatoren nach ist die Individualisierung bereits ins Widerwärtige abgestiegen. Trotz aufklärerischen (und sehr moderaten) Worten von Herrn Glättli, fressen sie weiterhin jeden Tag Fleisch, jagen mit ihrem Luxuskarren durch die Gegend und pfeiffen auf die massenhaften Problemen von landgrabbing, das ausserdem kein besonders neues Phänomen darstellt, sondern seit Jahrzehnten betrieben wird. Und die neoliberale Hochsitzklasse klatscht begeistert in die Hände und schreit: Freiheit, Freiheit über alles! Mir würde vor Scham das Gesicht rot anlaufen!
schon wieder sollen wir solidarisch sein?! Ich nicht mehr. Solidarisch bei der KK und der Bundesrat solidarisch mit der Pharmaindustrie, solche Mätzchen verleiden mir die Solidarität. Mit den Nahrungsmittel ist es genau das selbe.