Romands et Alémaniques, s’entendent-ils vraiment?
Jean-François Rime, conseiller national UDC fribourgeois, s’est emporté. Et même assez sérieusement. L’incident s’est déroulé au cours de la session de printemps lors du débat au Conseil national sur l’acquisition de nouveaux avions de combats et s’est terminé en conflit linguistique.
Bruno Zuppinger et Pius Segmüller présentaient l’objet devant la chambre du peuple au nom de la commission préparatoire. Pius Segmüller, un Lucernois pure souche, faisait office de rapporteur francophone, mais ne s’est exprimé qu’en allemand. Bien qu’anodine, l’affaire a eu des conséquences…
«Affront», s’est-on indigné chez les Romands. Jean-François Rime était tellement hors de lui qu’il a appelé ses collègues romands à boycotter le vote. Il leur a demandé de s’abstenir avec lui pour protester contre ces indélicats de Suisses allemands. Selon lui, on n’a jamais vécu pareille situation, synonyme de fin du parlement billingue.

Malgré de longues années d'apprentissage à l'école, les Suisses ne maîtrisent pas toujours bien une autre langue nationale.
Et voilà que refait surface le sentiment d’être mis de côté en tant que minorité – fût-elle la plus grande du pays. Au regard de l’importance de l’affaire, le traitement d’une motion, l’agitation de Jean-François Rime a pu sembler exagérée. Mais les Romands ne connaissent que trop bien la défaite, même pour des sujets importants. Le vote sur l’EEE en 1992 en est un exemple. Un cas typique de Röstigraben.
Pourtant, la Suisse, du moins la Suisse officielle, fait de gros efforts pour unir toutes les régions du pays. Au niveau fédéral, tous les documents sont traduits et les employés de la Confédération sont méticuleusement recrutés selon un équilibre linguistique – 70 pour cent d’allemand, 22 pour cent de français, 7 pour cent d’italien et 1 pour cent de romanche. La Constitution et les lois constituent la base de tous ces efforts. Il existe même un délégué au plurilinguisme au sein de la Confédération.
Dans l’article 70, alinéa 3, de la Constitution, il est écrit que «la Confédération et les cantons encouragent la compréhension et les échanges entre les communautés linguistingues». Le préambule indique «vivre ensemble la diversité dans le respect de l’autre et de l’équité».
Tout semble parfait, mais en fait pas tant que cela. Certes, il n’y a jamais eu en Suisse de conflits linguistiques comme en Belgique ou au Canada. Mais les Romands ne sont pas à l’aise avec l’allemand, pas plus que les Suisses alémaniques avec le français, et ce malgré une dizaine d’années d’apprentissage à l’école. Ceux qui, comme le journaliste Peter Rothenbüler, se sentent aussi bien chez eux dans l’une ou l’autre des deux grandes régions linguistiques ne sont pas un cas classique en Suisse.
Les Romands ne sont pas à l’aise avec l’allemand, pas plus que les Suisses alémaniques avec le français, et ce malgré une dizaine d’années d’apprentissage à l’école.
Nous aurions pourtant beaucoup à apprendre d’eux. Car nous travaillons sur le même projet: la Suisse de demain. Nous nous posons les mêmes questions, comme par exemple: notre pays a-t-il intérêt à faire partie de l’Union européenne? Ou encore: quelle politique énergétique devons-nous suivre ces cinquante prochaines années?
Dürrenmatt a dit un jour que les langues et les cultures cohexistaient sans vraiment coopérer. Il est bien possible que cela s’applique encore aujourd’hui en partie. À l’époque de Dürrenmatt, il n’y avait pas d’internet. Entre temps, cet outil de travail technologique est venu s’ajouter aux moyens de communication et facilite la formation de communautés plurilingues. Le Politblog en est un exemple.
Au fait, même lorsqu’il s’est emporté, Jean-François Rime a montré l’exemple. Il s’est efforcé de prononcer sa tirade en français et en allemand. Genau das ist die Herausforderung und das Schicksal unseres Landes.
300 commentaires sur «Romands et Alémaniques, s’entendent-ils vraiment?»
Moi, jai aucun problème avec cette situation. Je suis bilingue. – j’ai dû faire un effort sur qq années. Je pars aussi de l’idée lorsqu’on veut faire de la politique à Berne c’est indispensable de savoir au moins 2 langues nationales. Au lieu de chercher la différence à la moindre occasion, il faudrait faire un effort des 2 côtés linguistiques.
Häää??
Also, mein Schulfranzösisch reicht um diese einfache Aussage zu verstehen. Das Problem (z.B. im Parlament) beginnt mit den Fachausdrücken. Aber: wo ein Wille ist, ist auch ein Weg.
Dann sind Sie entweder ein älterer Jahrgang, ein Deutschschweizer aus dem Westen (Bern und Umgebung) oder eine löbliche Ausnahme. Die allermeisten jungen Deutschschweizer können mit Französisch überhaupt nichts anfangen und bringen trotz Schulunterricht keinen simplen Satz zustande, haben aber auch null Interesse an der Sprache, da ihnen der persönliche Bezug zur Romandie fehlt. In Bern lernten wir vor 30 Jahren exzellentes Französisch und jede Kioskfrau kann sich mündlich auf französisch verständigen. Das ist, weil man in Bern nah dran ist, viel französische von Muttersprachlern hört.
Jahrgang 67, teils in Lateinamerika aufgewachsen, Akademiker. Das Schulfranzösisch im Kanton ZH allerdings genügt knapp, wichtiger ist der Aufenthalt und das Praktizieren. Sowohl in Englisch wie Spanisch sattelfester 😉
Ich verstehe Ihren Kommentar nicht. Haben Sie alles verstanden – oder soll ich Ihnen den Text auf Deutsch schreiben ?
Bitte übersetzen. Danke!
Ich sage, dass ich mit dieser Situation kein Problem habe. Ich bin zweisprachig. Ich habe jedoch während einigen Jahren gewisse Anstrengung machen müssen. Ich gehe davon aus, dass die Bundes-Politiker mindestens zweisprchig (Landessprachen) sein müssen. Anstelle bei einer geringsten Gelegenheit, Probleme zu suchen , müsste beidseitig eine kleine Anstrengung gemacht werden. (Als Solothurner lebe ich seit 40 Jahren im Kt. Neuenburg).
Moi je le fais moin complique. Je ose a faire de fautes en francais. J evite de me casser la tete avec les accents etc. C est pas si grave non? Ce qui compte ce qu on se debrouille dans l autre langue et qu on essaie a se donner un effort de casser les barrieres lignuistices pour surmonter la fosse de Roest. Quel patriot suisse penible qui ne sait pas comme il faut l haute-allemand et refusse le francais et l italien. Y en a bcp qui savent que le Schwizerdütsch et le micro-business-english. Ca suffit pour faire une carriere splendide a Zürich, mais ronge l esprit nationale profondement.
das sagt der live übersetzer
Mich, Jai kein Problem mit dieser Situation. Ich bin zweisprachige. -Ich hatte zu Qq Jahre schießt abzugeben. Ich gehe auch die Idee, wenn Bern Richtlinie mindestens zwei Sprachen wissen werden. Anstelle der Suche nach den Unterschied auf die geringste Möglichkeit, sollte der sprachlichen Sozialpartner bemühen.
Bravo, das ist ein ausgezeichnetes Beispiel. Wir können doch nicht glücklich sein mit solchen Uebersetzugen.
Bof dit donc.
Quoi, tu n’as pas compris?
Je suis également bilingue. Ce que je ne supporte pas ou de moins en moins c’est l’arrogance de certains alémanique tout puissant qui pense que les Romands ne font que râler. Mais, j’aimerais bien voir les Alémaniques se rendrent dans les magasins et n’avoir des produits que rédigés en Français. Comme nous en Romandie ou plus en plus de commerce de détail importent et sous prétexte que c’est la mondialisation tout devient en Allemand. Combien de produit ou tout est inscrit en Allemand et pas une ligne en Français. Alors dernièrement par opportunité mes achats ont été fait en France.
Eine weitere Bestätigung der doch eigentlich offenkundigen Tatsache, dass Multikulti bloß in intellektuellen linken Gehirnen existiert. Ein Wir-Gefühl – für den Zusammenhalt eines Volkes unabdingbar – kann sich in einem Verband mit verschiedenen Kulturen und Ethnien unmöglich ausbilden. Es besteht auf dieser Welt nirgens eine Nation, wo verschiedene Kulturen reibungsfrei zusammenleben. Es ist höchste Zeit, auch in der Schweiz von einer, nur in sozialistischen Träumen vorhandenen, multikulturellen Gesellschaft Abschied zu nehmen.
Aha. Und deshalb fordern Sie also den Zerfall der Schweiz, weil ja « auf dieser Welt nirgends eine Nation besteht, in der verschiedene Kulturen reibungsfrei zusammenleben ». In diesem Falle auch nicht in der Schweiz. Und doch haben die rechten Gehirne das Gefühl, man könnte die verschiedenen Kulturen so zusammenbringen, dass man die Ausländer diskriminiert. Sorry, das verstehe ich überhaupt nicht. Aber vielleicht können Sie mir das ja erklären. Ich wäre sehr froh darüber.
Ich kenne Secondos die sind um einiges « schweizerischer » (in der rechtsbürgerlichen Definition) als ich. Die USA ist eine Nation aus 99% Einwanderern. Volk ist per se ein Blendbegriff, wir als zwei « Schweizer » haben wohl weniger gemeinsame Interessen oder Meinungen als ich und mein Nachbar (ein Ire). Jugendliche trennen sich auch nicht nach Nationalität auf, sondern nach Interessen.
Also ich würde mich schämen wenn man unser Land über SVP oder SP definiert. Ich bin aber ziemlich stolz auf den Teil der nicht in irgendwelchen Parteikorsetts feststeckt. Eben weil wir weltoffen sind.
@ Walter Sutter: Sie sprechen mir aus der Seele. Eine Integration von Immigranten findet kaum statt, da sie sich in Quartieren mit Ihresgleichen zusammentun und so eher eine Subnation Gründen, als sich wirklich an ein Land anpassen und dessen Werte, wie auch Traditionen übernehmen (natürlich spreche ich hier nicht von allen, sondern nur von einem Grossteil der Einwanderer). Wenn sich selbst Deutschweizer von Romands und umgekehrt abschotten wollen, wie soll dann bitte eine Abschottung zwischen noch unterschiedlicheren Kulturen vermieden werden?
Walter Suter, Ihre sozialistischen Träume in Ehren, aber bitte zuerst überlegen, dann schreiben. Wo beginnt « multikulti » bzw. wo endet « monokulti » für Sie ? Klar ist nach Ihrem Beitrag dass, neben Ausland, schon die Westschweiz in der Deutsschweizer SVP-Welt keinen Platz hat – die stimmen und wählen oft falsch, gälled Sie. Biel, Fribourg, BE, VS, GR, teilen Sie auf. Wenn Sie im Krankenheim enden, bestehen Sie darauf, dass die Pflegerinnen CH sind, gälled Sie.
Herr Suter, Ihre Denkweise kommt mir bekannt vor. Das hat doch vorher schon einer gepredigt. Da Sie als bescheuklappter Sprachbanause sich einer kulturellen Öffnung verschliessen und stattdessen einen « Zusammenhalt des Volkes » fordern, muss ich Ihnen – als Teil des « Volkes » – bescheiden: Sie sind der Letzte, mit dem ich ein Wir-Gefühl haben will. Ich fühl mich mit jedem Romand verbundener als mit Ihnen.
Sie sollten sich mal mit der Geschichte der Schweiz auseinandersetzen. Nach Ihrer Definition dürfte es ja die Schweiz gar nicht geben, die Schweiz mit vier Nationalsprachen war schon immer multikulti. Wollen Sie eine germanisierte Schweiz unter Deutschschweizer Diktat oder wollen Sie eine multikulturelle Schweiz mit Ticinesi, Romands und Rätoromanen? Sie stellen hier den nationalen Zusammenhalt der Schweiz zur Diskussion, Ghaddafi hat kürzlich die Aufteilung der Schweiz auf die Nachbarländer gefordert… Mit sozialistischen Träumen hat dies gar nichts zu tun, aber mit nationaler Identität.
Es kann ja nicht sein, dass sich die grosse Mehrheit der kleinen Minderheit anpassen muss. In jedem anderen Land ist es umgekehrt..Die Welschen sollten den Deutschschweizern dankbar sein, dass sie so tolerant ihnen gegenüber sind.
das klingt jetzt aber sehr arrogant
Sie haben recht, diese Haltung darf man nicht vertreten.
Ganz Ihrer Meinung. Eine solche Haltung ist nicht nur undemokratisch, sondern sprachimperialistisch. Herr Gut sollte sich schämen. Er glaubt wohl, die sprachlichen Minderheiten in der Schweiz müssten sich von Deutschschweizern dominieren lassen. Das führt ins politische Abseits und gefährdet den nationalen Zusammenhalt.
In der RS wurde unter den Rekruten immer von den Franzosen gesprochen, wenn die Romands gemeint waren. Hart aber war…
Bei uns waren das dann die Russen 🙂
Und ich dachte es waren die Russen
Herr Büchler, war ist die Vergangenheit von ist… Sie meinen wohl wahr. Lässt auf Ihren Bildungsstand schliessen. Und was ist, wenn die Romands von den Deutschschweizern als Schwaben und Teutonen reden? Dann regen Sie sich wohl auf…
naja, der liebe A.H. selig hätte dies wohl auch gefunden … von dem her hat der liebe Rolf einen prominenten Fürsprecher 😉
es waren und sind definitiv die Russen !
Nicht nur arrogant. Ohne die Romand wäre die Schweiz wirklich dasselbe Land?
Müssen wir nicht uns bemühen für ein gutes Zusammensleben?
@ Rolf Gut:
ich dachte genau dies sei einer unserer stärken, dass wir nämlich die minderheit nicht untergraben. ihre antwort finde ich mehr als arrogant, vorallem aber scheinen sie von unserem schweizerischen gut nichts begriffen zu haben. *kopfschüttel*
Ich glaube, Ihr Beitrag ist definitiv der grösste Scheiss, den ich hier jemals gelesen habe.
Herr Brunner, wen meinen Sie, wäre interessant zu wissen!
Den Beitrag von Rolf Gut (was wahrscheinlich sein Fake-Name ist, aus Schiss vor der Realität)
Ce constat quelque peu décevant de l’absence de « Miteinander » entre Romands et Alémaniques se reflète à merveille dans ce blog. Non seulement les Romands ont été très timides jusque là mais il est aussi frappant de voir à quel point il y a deux cultures politiques différentes, deux langages différents. Le problème ne se résoudra pas demain… Peut-être faudrait-il commencer par encourager de manière beaucoup plus active l’apprentissage de la langue parlée de l’autre côté de la Sarine. Avec l’Anglais comme langue « refuge », on n’en prend actuellement pas la direction.
Tout a fait juste.
Absolument d’accord avec votre opinion. J’ai vécu des années en Suisse romande, mais aussi en Asie, en Amérique latine, en Australie. L’opinion de quelques Suisses alémaniques (moi, je suis Suisse alémanique d’origine) est incomprenable et de sorte impérialiste, dans la mesure de favoriser l’anglais contre la langue française. Je suis fortement contre cette attitude parce que la langue française fait part de la culture suisse et le slang anglais favorisé dans les écoles des quelques cantons dans la Suisse alémanique ne peut JAMAIS remplacer les richesses du français. NON à l’anglais!
tout à fait d’accord avec vous. il y a quelque suisse alémanique qui sont vraiment impérialiste par leur coeur. Moi, j’ai jamais compris ce qui est la raison pour ça. Mais il y a dix ans déjà que j’ai su qu’il y aura un jour un parti politique qui va se servir de ces sentiments – et voilà, l’udc.
Werter Armando, keine Ahnung was Sie so gegen Englisch wettern lässt und wieso Sie Ihr geliebtes Französisch so hochjubeln. Es gibt nicht nur in Französisch grossartige Literatur, sondern auch in Englisch. Oui à l’anglais, non à français! Englisch muss die erst gelernte Fremdsprache für die Schweiz und Europa werden! Wer dann Freude an Sprachen hat, kann freiwillig diejenigen Sprachen lernen, die ihm Spass machen oder nützen. Auch Französich, Spanisch, Mandarin oder wie ich Thai.
NON AU NON! Der Imperialist bist Du. Toleranz ist es, was vonnöten ist. Und hier im Kanton SZ, zum Beispiel. Hier lernt man in der Primarschule ab der fünften Klasse englisch UND französisch, obwohl, und das mag Ihnen jetzt seltsam erscheinen, man das Französische hier praktisch nie braucht, das Englische hingegen immer wieder.
an Patrick Tigri: Es ist doch richtig, dass in der Schule auch die franz. Sprache erlernt wird. Als Kind hat man wenig Elemente in der Hand um zu behaupen, dass man ewig im Kt SZ bleibe. Zum Beispiel wenn Geschäftsleute des Kt SZ mit der Romandie Geschäfte machen wollen, müssen sie es eben in franz. Sprache machen. Umgekehrt in der Romandie muss man auch Deutsch lernen ansonsten wird man kulturell blind……
Ich prophezeie Ihnen den Zerfall der Schweiz. Spätestens in 5 Jahren wird es die Schweiz nicht mehr geben, weil uns unser Klein-Klein-Denken über die Kante gebracht hat. Die Zeit, als wir Schweizer gedacht haben, wir seien die bessern Menschen (weil multikulturell) ist leider definitiv vorbei.
@Severin Brunner
Absurd! Die Schweiz ist eindeutig und mehrere Ausländer uns neiden (
Politische Rechte wie Initiativrecht – Referendumsrecht)-
Ja klar, wieso sollte der Zerfall ausgerechnet jetzt passieren? Hat schliesslich jahrelang ganz gut funktioniert.
warum gerade jetzt ? weil die Welt sich wandelt, nur die Schweiz nicht ! genau deshalb.
In Afrika ist es nichts Besonderes für einen durchschnittlichen Bürger, mehrere Sprachen zu sprechen. Bei uns gibt es diese Tradition leider nicht. Dies wird uns nicht helfen, die sprachlichen und kulturellen Grenzen zu überwinden.
Ich dachte eigentlich, dass Kommentare in Fremdsprachen nicht publiziert würden.
Ich habe im Blog nur eine Fremdsprache entdeckt: Schriftdeutsch! Unsere Kultur sollte verlangen in der eigenen Sprache, sprich Mundart, schreiben zu dürfen. Oder vielleicht drehen wir das Rad der Geschichte 2000 Jahre zurück, besinnen uns unserer gemeinsamen Wurzeln und beleben wieder die Sprache unserer Helvetischen Vorfahren!
Hatten « usere » « helvetischen Vorfahren » denn schon eine Sprache?
Als eigenes Volk sicher, nur ist sie leider ausgestorben. Aber verwandte Sprachen finden sich noch auf den Britischen Inseln und der Bretagne.
Dann sollten wir Gällisch lernen.
Hugo Müller, tja mit dem Gällischen ist es so eine Sache. Auch in Irland wird primär English gesprochen.
Keltisch? Das wäre doch endlich mal ein Impulsprogramm für die irische Wirtschaft. Alle SchweizerInnen gehen nach Irland um Gälisch zu lernen. Die Schulen dort brauchen dringend mehr Publikum, weils sogar den Iren selber zu blöd ist. Und die wurden von den Engländern ja immerhin kolonisiert, ausgeplündert und ermordet, also von wegen Abwehrhaltung gegenüber der Sprache eines Nachbarn. Da hätten wir noch was zugut, so wie wir uns ums Hochdeutsch rumdrucksen.
Traduction pour les Welsch: Ou on retourne aux racines celtiques ou bien vous insistez de plus qu’on vous parle en Hochdeutsch.
falsch gedacht, dieser Blog ist mehrsprachig. Wozu haben sie in der Maus eine direkte Uebersetzungshilfe
Herr Gut, das ist ein nationaler Dialog, und Französisch ist Schweizer Nationalsprache, falls Sie das noch nicht wissen. Völlig gleichberechtigt mit Hochdeutsch, und besser als Schweizerdeutsch. Falls Sie kein Französisch sprechen, ist das Ihr Problem und ein Bildungsmangel.
Well, this blog is hosted on a server which is accessable from all over the world. So you should write in a language the whole community can read. If you don’t speak englisch it’s your issue and a lack of knowledge ….
Please excuse my « swiss » english if you can’t understand it, but I spent some important years of my school time to learn french.
Blöd! Das interessiert vor allem die Schweizer!
dümmer geht’s nimmer!
English is an important language, but it is NOT a Swiss national language. We have 4 national languages, but NOT English. Spanish is also very important in the world, such as Chinese and Russian. Beware of all the people who tend to favourite English. Most of the English speaking people do not know any other foreign language… which is a cultural lack.
When a Romand with little working knowledge of German and a Swiss-German that speaks French poorly meet I increasingly observe that English is used as the language both sides understand and speak reasonably well. English might not be a Swiss national language but it sure is a Swiss working language!
Armando, wir haben auf dem Papier 4 nationale Sprachen. Faktisch haben wir aber nur Alemannisch und Französich als Landessprachen. Will ein Tessiner weiter kommen, ist er gezwungen in die Deutschschweiz zu emigrieren und Deutsch zu lernen (keine Ahnung wieviele Tessiner in die Romandie emigrieren). Wenn ein Rätoromane weiterkommen will, muss er oder sie aus der angestammten Sprachregion emigrieren und Deutsch lernen. Alemannisch ist die dominierende Sprache in der Schweiz. Hätten wir eine gemeinsame Sprache (zusätzlich zu den 4 nationalen Sprachen), sähe es ganz anders aus.
Bravo Hugo Müller. Genauso ist es. Soll Europa noch mehr zusammenwachsen wird es eher früher als später erforderlich werden, eine gemeinsame Sprache einzuführen. Ein Staatengebilde mit mindestens 27 Sprachen benötigt eine gemeinsame Sprache, damit sich dessen BürgerInnen überhaupt miteinander verständigen können.
Mehrere Sprachen sind nur dann ein Problem, wenn man nicht in der Lage ist, zwischen der Politik und dem Einzelnen zu unterscheiden. Sorry, so leid es mir tut, dieses Problem existiert für mich nicht. Ein Mensch bleibt für mich ein Mensch, egal welche Sprache er spricht. Und daher glaube ich, dass auch ein Romand, ein Tessiner oder ein Rätoromane ein Schweizer ist, auch wenn er eine andere Muttersprache als ich hat.
genau meine meinung, danke!!
bitte 🙂
Ja Severin Brunner da haben Sie recht. Eine gemeinsame Sprache würde uns aber helfen einander besser zu verstehen. Dann gäbe es vielelicht auch keinen Röschtigraben mehr. Da Armando und andere meinem Vorschlag Englisch als nationale Sprache zusätzlich zu den Landessprachen einzuführen nichts abgewinnen können, könnten wir vielleicht Lateinisch als zusätzliche, gemeinsame nationale Sprache einführen. Schliesslich heisst unser Land offiziell Confoederatio Helvetica. Damit wäre Armando’s Bildungsanspruch auch noch Genüge getan 🙂
Guter Vorschlag, danke !
@ W. Suter: Typisch schweizerische Froschperspektive. Wir meinen immer, wir seien so was von speziell mit unseren 3-4 Sprachen. Dabei gibt es ausser den paar sehr speziellen Nationalstaaten rund um die Schweiz – welche die Multikultur und Mehrsprachigkeit in früheren Jahrhunderten mit Gewalt ausgetrieben haben – fast nur Staaten mit mehreren bis vielen Kulturen. Sehr viele Länder, vor allem in Asien und Afrika haben mehrere bis Dutzende von völlig verschiedenen Sprachen und teilweise auch mehrere Schriften. Soll es für jede der ca. 6500 Sprachen und Kulturen einen eigenen Staat geben?
Diese Staaten sind ein Erbe der Kolonisation, respektive das Produkt von Eroberungen. Bürgerkriege und Unterdrückung von Minderheiten die Folge. Unsere Vorfahren wurden auch zuerst romanisiert und dann (in der Deutschschweiz) germanisiert. Warum sollte nicht jedes Volk das Recht auf einen eigenen Staat haben?
Herr Burri, der Nationalstaat, gegründet auf Sprache und Volkskultur, ist ein Modell aus der Vergangenheit. Oder wollen Sie in Zentraleuropa Zustände wie auf dem Balkan, wo aus dem ehemaligen Jugoslawien 7 verschiedene Länder entstanden sind?
Na Herr Müller. Es gibt immer jemanden der besser ist. In Indien werden 200 Sprachen gesprochen, aber nur eine ist Amtssprache, genau so in China. Oder haben sie schon mal einen Sack Reis gesehen der 3-sprachig angeschrieben ist? Man kann mehrere Sprachen ‘besitzen’, man kann sie aber auch leben. Und das macht die Schweiz aus. AUch wenn’s nicht immer perfekt funktioniert.
@ Marcel, ja schon Säcke Reis gesehen, die sind 5-sprachig beschriftet. Z.B. in Singapur, Malaysia, Thailand. Und zwar auf Mandarin, Malay, HIndi, Thai und Khmer. Die Schweiz ist ein mehrsprachiges Land, aber bei weitem nicht das einzige.
Laut der Wikiseite über Nigeria werden dort 500 Sprachen von der lokalen Bevölkerung gesprochen. Nicht die paar läppischen wie bei uns.
Ich bin einer der Rothebühlers, aus der Region Biel (gebürtiger D-CH’ler) und lebe seit 6 Jahren in Lausanne. Jeden Tag versuche ich, den Röstigraben, welche ich zu meinem persönlichen Feind erklärt habe, nieder zu reissen. Ja, es ist ein effort, ja man muss lernern, zuhören, sich in die Kultur einleben. Heute stelle ich fest, dass die Schweiz und La Suisse zu kennen eine enorme Bereicherung ist welche ich nicht missen möchte. Jeder muss seinen Beitrag leisten und sich nicht in seine kleine Welt verkriechen – ich glaube die multikulturelle CH ist nicht am Ende. A bon entendeur, salut!
Bien joué. Als Solothurner lebe ich seit 40 Jahren im Kanton Neuenburg und finde es kulturelles Bereichertum von beiden Seiten auch sprachlich alles zu verstehen.
ich bin die Tochter eines Aargauers und einer Italienerin und bin mit deutsch aufgewachsen. In der Schule habe ich gemerkt, dass mir das Lernen von Sprachen leicht fällt. Ich habe mit 23 Jahren ein Jahr in Lugano gearbeitet. Heute arbeite ich im IT-Support. Primär zweisprachig (de+it) und nach Bedarf auch fr. Und stelle fest: Sprach-Arroganz gibt es in allen drei Sprachregionen. Mich nervten die Deutschschweizer die in Lugano erwarteten, dass jeder im Tessin Mundart kann genau so, wie die Romands die sich nicht bemühen am Telefon langsam zu reden, wenn man sagt man sei Deutschschweizer.
Ganz einverstanden (als Romand)
Ich, Deutschschweizer, der sich auch französisch, italienisch und englisch verständigen kann, möchte allen in diesem Blog Aktiven mitteilen: Die Schweiz ist der einzige multikulturelle Staat der Welt der, funktioniert – manchmal zwar mit einigen Reibungsverlusten, aber er funktoniert. Was streitet Ihr Euch also fortwährend um Sprachen, Kultur und Nation?
Stimmt leider nicht, es gibt andere multikulturelle Staaten, wo vier oder mehr Sprachen gesprochen und geschrieben werden. Beispiele: Malaysia, Singapur, Thailand, Indonesien, Indien, China, Pakistan, Russland, Italien.
Genau lieber Armando. Du hast aber vergessen zu erwähnen, dass in Indonesien als gemeinsame Sprache Bahasa Indonesia eingeführt wurde. Dass in Malaysia die gemeinsame Sprache Malayisch ist, auch wenn Malayen chinesischen Ursprungs zu Hause Kantonesisch sprechen, zum Besuch besserer chinesischer Schulen Mandarin sprechen müssen und im öffentlichen Alltag Malayisch sprechen. Dann sprechen sie noch Englisch, um mit der übrigen Welt komunizieren zu können. In Thailand wird als gemeinsame Sprache Thai gesprochen und geschrieben.
In Afrika ist Mehrsprachigkeit die Regel. Du bist ein eurozentrischer Chauvinist.
Si le désir est de garder nos langues nationales vivantes et ne pas se ‘réfugier’ dans l’anglais, il faudrait et ce dès le plus jeune âge, imposer – ou du moins proposer – un séjour (de 2-3 mois qui ne ferait pas ‘rater’ d’année à l’élève) dans une école en Suisse allemande, au Tessin ou en Suisse romande, aux élèves qui sont en fin d’année secondaire ou au niveau scolaire supérieur. Ce serait une occasion unique de créer un lien linguistique et culturel entre les différentes régions linguistiques du pays.
Meine Tochter konnte von der Schule aus solchen Austausch machen: ein Grossteil der Deutschschweizer Schüler haben das Angebot angenommen, kein einziger Schüler aus der Romandie war bereit in den Aargau zu kommen. Meine Tochter war schockiert: Ihre franz-Lehrerin hat vom ersten Tag mit den Schülern franz. gesprochen. Als sie in der Romandie war, hat der Deutschlehrer mit Schülern die seit 4 Jahren Deutsch hatte während der Lektion französisch gesprochen und nur was unvermeidlich war (Lesetext, Uebungs-Text etc.) auf deutsch gelesen. Und das bestätigen mir meine Kollegen aus der Romandie
Es ist wirklich schade. Als ich Kind war hatte ich diese Gelegenheit nicht. Ich habe aber nur Lehrern, die den ganzen Unterricht auf Deutsch geführt haben. Es gibt ja selten von denen. Ich denke auch, dass Kinder/Schüler die Wichtigkeit nicht verstehen. Wenn sie schon 18 oder 20 Jahre alt sind, merken sie, dass sie etwas verpasst haben.
ich habe viele welsche freunde,ich mag es ,wenn sie deutsch sprechen mit so manchen fehlern,umgekehrt ist es das gleiche,wir können lachen darüber,so sollte es auch sein,warum alles so tierisch enst nehmen,wir sind doch eine nation,zusammen mit dem tessin und den rätormanen,hat doch immer geklappt,warum jetzt dieser aufstand?
Tut mir leid, aber Französisch ist nicht mein Ding.
Vielleicht sollte man mal ganz nüchtern darüber nachdenken. Wir haben vier Landessprachen. Italienisch und Rätoromanisch werden immer diskriminiert.
Ausserdem ist Englisch in der Wirtschaft stärker vertreten als Französisch. Sogar grosse französische Firmen haben als Konzernsprache Englisch.
Vielleicht sollte man sich auf Muttersprache + Englisch beschränken. Dann hätte man eine gemeinsame Sprachbasis.
Diese Englisch-Richtung unter der Bevölkerung ist falsch, denn mit einer Sprache kommt auch Kultur dazu, was hier verloren
würde.
Wieso geht hier Kultur verloren? Welche französische Kultur (ausser Leidenskultur wegen dem Französischunterricht in der Schule) hat denn die Deutschschweiz?
Herr Müller, schauen Sie doch mal unsere Sprache an und vergleichen Sie es mit Deutschland. Wir sagen Trottoir statt Gehsteig, Portemonnaie statt Geldbeutel, Communiqué statt Kommunikee… usw. Zudem verdanken wir Frankreich die demokratische Staatsform, die Schweizer Patrizier und Autokraten dankten erst nach Napoleon ab. Schon was von 1848 gehört oder im Geschichtsunterricht geschlafen?
Wenn Sie das Lernen einer anderen Sprache als Leiden empfinden, warum schreiben Sie dann auf Hochdeutsch und nicht in Schwyzerdütsch, Hochdeutsch ist ja schliesslich auch eine Fremdsprache in der Schweiz…
@ Armando Auch wenn Sie und andere es für sich aus den verschiedensten Gründen ablehnen, für mich ist Standarddeutsch (oder Hochdeutsch) einfach Deutsch. Und keine « Fremdsprache ». ich finde, man sollte sich vor Augen führen, was eine Fremdsprache überhaupt ist. Französisch, Chinesisch oder Englisch sind für mich persönlich Fremdsprachen. Standarddeutsch (egal ob österreichisches, deutsches oder schweizerisches) spreche ich zwar im Alltag nicht immer, aber ich lese und schreibe es doch täglich. Und habe damit keine Schwierigkeiten. Auch emotional nicht.
An Patrick Ordys: In der Deutschschweiz gibt es offenbar doch ein Problem mit dem Hochdeutsch. Es gibt viele Beispiele:Sendung Arena. Weshalb sprechen die Deutschschweizer kontinuierlich mundart auch bein Anwesenheit von Romands-Politiker. Offenbar muss das doch ein wenig stören dieses Hochdeutsch ansonsten würde es sicher mehr gepflegt. Ich wohne im Kt NE und bin bilingue, deshalb schaue ich auch die Arena. Ganz problemlos ist das Hochdeutsch nicht. Einer hat man gesagt : wir sind Schweizer keine Deutschen – ist das eine Erklärung ?
Es gibt nur gaaanz weniger Französische Firmen die Englisch als offizielle Konzernsprache bezeichnen, die Franzosen sind in Europa wohl die grössten Sprachnbanausen – Ihre Aussage ist schlicht falsch (evt meinen Sie das, weil Sie mit den Franzosen immer Englisch parlieren?). Ich muss auch ehrlich gestehen, dass mir die Anglo-Saxo Einheitsbreikultur manchmal echt zu wider ist « et je prefère me régaler de la culture francaise » (je parle bien entendu de la cuisine ;-)! Für meine Eltern war Französisch, Auslandjahr und Joe Dassin noch cool und trendy, alle wollten Franz spechen. Tempi passati
Zeiten und Gepflogenheiten ändern sich zum Glück!
Es zeugt aber von Groesse sich an den nie endenden Fundus der eigenen LandesspracheN heranzuwagen. Wer die französische und italienishe Kultur negiert, zerstört bewusst einen Teil der eigenen Heimat. Gemeinsame Ziele können wir nur erreichen, wenn wir uns verstehen. Jeder Kantoschüler sollte ein Jahr in einer anderen Sprachregion der Schweiz absolvieren MUESSEN. Come possiamo construire la svizzera se non comprendiamo al meno il vicino nostro.
Jeder Mensch müsste eine Weltreise machen!
Rolf Schuhmacher, das ist Quatsch was Sie sagen. Mit einem Franzosen oder Italiener, Welschen oder Tessiner in Englisch zu kommunizieren hat nichts mit negieren von Kulturen zu tun. Im Gegenteil, durch die Kommunikation wird Verständnis für die Denkweise, die Mentalität, die Kultur des Gegenübers erzeugt. In welcher Sprache sollte ich mit einem Palästinenser über die Bibel und den Koran diskutieren? In Arabisch oder Deutsch? Oder hilft uns da vielleicht doch Englisch weiter? Es könnte auch eine andere Sprache gewesen sein. Aber es muss eine beiden gemeinsame Sprache sein. Got it?
Ihr Vorschlag ist für ein Land wie die Schweiz mit vier Nationalsprachen untauglich. Ein halbwegs gebildeter Schweizer sollte nicht nur die Muttersprache, sondern eine oder besser zwei andere Nationalsprachen sprechen. Ich spreche fliessend Französisch und Italienisch und gehöre damit leider einer kleinen Minderheit von Deutschschweizern an.
Genial, dass Sie so gebildet sind und mehere Landessprachen sprechen.
Danke für das Kompliment, ich spreche auch fliessend Spanisch und Portugiesisch sowie etwas Indonesisch und Thai. Ich habe Latein und Altgriechisch im Progymnasium gelernt, eine gute Denkschule und solide Basis für weitere Sprachen, aber das wurde heute alles über Bord geworfen, dafür wird English Slang als allein seligmachend angesehen. Grundfalsch.
Englisch ist EINE Weltsprache, aber nicht die einzige. Spanisch, Russisch und Mandarin werden von mindestens ebenso vielen Menschen gesprochen wie Englisch.
Werter Armando, schön dass Sie so viele Sprachen sprechen. Damit gehören Sie zu den privilegierteren MitbürgerInnen. In Ihrem Glasturm übersehen Sie aber etwas. Es haben nicht alle MitbürgerInnen das Privileg ein Progy besuchen oder in den verschiedenstenen Weltgegenden arbeiten zu können. Wir hätten die Möglichkeit in ganz Europa arbeiten zu können. Dies scheitert aber weitgehend an den Sprachbarrieren. Mit einer gelebten gemeinsamen Sprache bestünde das Problem nicht.
Ich stelle fest, dass die Westschweizer aus zwei Gründen nicht gehört werden:
1) Alles wird auf Deutsch/Schweizerdeutsh gemacht, und bis sich die welschen melden, hat man schon das Thema gewechselt
2) Die Deutschschweizer bilden sich oft ein, dass sie Französisch verstehen, aber of verstehen sie nicht richtig, und so fällt das Anliegen der Welschen unter den Tisch, weil niemand zugeben will, dass er in Wirklichkeit nicht verstanden hat.
Als Italienischsprachiger habe ich die Nase voll davon, dass die sprachliche Frage in diesem Land immer wieder auf das Verhältnis Deutsch-Französisch reduziert wird. Warum ist dieser Blog nur zweisprachig? Warum dürfen italienischsprachige Parlamentarier im Parlament ihres Landes nicht in in ihrer Sprache reden? (Im spanischem Parlament werden alle vier anerkannten Landessprachen gesprochen). Die Sprachpolitik der Schweiz ist heuchlerisch: einerseits wird behauptet, das Land habe vier Nationalsprachen; in der Tat aber wird nur zwei davon eine nationale beduetung zugestanden.
Es ist ja eigentlich noch viel schlimmer….weil viele deutschschweizer zwar Mundart sprechen (was auch gut ist so), aber leider nicht fähig sind ein längeres Gespräch in Schriffdeutsch zu führen. Und dann wird noch Französich, Italienisch oder gar Rumanzsch erwartet! Leute bei denen sich die Idendität auf ein Dorf beschränkt führen dieses Land an die Wand.
Caro Carlo dann beginn Du doch einen Blog italienisch/deutsch. Mach Du Dich stark für die italienisch-sprechenden. Es nützt nichts wenn man rumjammert. Die Tessiner sind eine weitere Minderheit in der Schweiz. Das ist ein Fakt. Dass der eine in einer Sprachregion geboren ist und ein anderer in einem anderen: da kann keiner was dafür. In Lugano hat man mehr als einmal, in Dialekt nota bene, über mich gelästert, weil ich einen Deutschschweizer-Nachname habe. Wenn ich auf italienisch geantwortet hatte, verstummte das Gespräch. Mangelnder Respekt macht vor Sprachregion nicht halt.
Es geht nicht nur um die Tessiner, sondern um alle Italienischschweizer auch diejenigen aus dem Graubünden. Idioten gibt es überall, in Zürich wurde ich tschink genannt und und kam ich für eine Wohung nicht in Frage, weil ich Tessiner bin (es wird nicht an Tessiner vermietet, wurde mir am Telephon gesagt). Dass Italienisch nicht als Nationalsprache wahgenommen wird, ist eine Tatsache, deshalb ist das ganze Blabla über die vier Nationalsprachen meisten nur Heuchelei.
Wenn ich nun also als rumantsch zur Sache komme, dann könnte es so heissen: bei sinkenden 5% Sprachanteil ist das Italienische in der Fernseh- und Radiolandschaft überfinanziert (2 eigene Staatssender plus Privatsender). Da kann ich nur träumen.. Für uns Rätoromanen (1%, stabil) bleibt gerade mal ein 10minütiger Sendeplatz auf SF1 oder SFi. Zudem grenzt die 4. Landessprache an kein Nachbarland mit gleicher Sprache, dito kann auch nicht davon medial « profitieren »… Ich wünschte mir, dass eine gesprochene Mehrsprachigkeit, auch unperfekt, selbstverständlicher wird. « Grazia fetg!
Wenn es wenigstens genug rätoromanische LehrerInnen gäbe, fänd ich ein Freifach Rumantsch an Schweizer Schulen was Grossartiges. Oder eine Art Kulturlager, wo man wenigstens ein paar Tage lang Romanisch leben kann. Ich hätte das sofort gebucht!
So let’s declare English as the new official language of Switzerland.
NO! Wir haben viel schönere Sprachen. Englisch ist ein notwendiges Übel, aber das ist alles.
Es geht nicht um die Schönheit einer Sprache, wenn denn eine Sprache überhaupt schön sein kann. Es geht um Kommunikation. Und da ist nun mal Englisch diejenige welche weiterhilft. Oder welche Sprache würden Sie in einer Runde mit Leuten aus China, Japan, Thailand, Brasilien, Venezuela und der Schweiz verwenden?
hmm, ich weiss nicht ob das spanische Parlament gerade das richtige Beispiel war. Als Ehemann einer Mexikanern sowie ab und zu mal in Spanien arbeitender Schweizer kenn ich in Europa eigentlich kein Land, das rassistischer ist als Spanien. Das mag für die Mallorca Touristen jetzt unverständlich klingen, aber ich fühle das so. Es soll auch nicht heissen, dass alle Spanier die ich kenne so sind, aber es ist eine Trendrichtung. So nebenbei, um auf Mexico zurückgekommen, sind dort meines Wissens 43 Sprachen/Dialekte offiziell anerkannt. Akzeptiert werden aber bedeutend weniger.
Was soll man mit Französisch? Die deutschschweizer Schüler haben es schon lange begriffen und konzentrieren sich auf Englisch. Mittlerweile haben es aber auch die Ewiggestrigen, Welschen und Franzosen kapiert, dass man auf die Sprache der « Grande Nation » getrost verzichten kann und sich des Englischen bemächtigen sollte. Wer dann noch eine weitere Sprache lernen will, der sollte Spanisch oder besser noch Mandarin ins Auge fassen.
die Schweiz besteht ja nicht nur aus Firmen. Ich mochte Franz in der Schule und versuche auch meine Enkelinnen Franz schmackhaft zu machen damit sie es gerne lernen.
Die Firman machen aber den Wohlstand der Schweiz aus. Da die Schweiz nicht gerade üppig mit Bodenschätzen ausgestattet ist, sondern ein grosser Dienstleistungbetrieb im internationalen Spielfeld ist, muss man sich international verständigen können. Sprechen sie mal mit einem Inder, Chinesen, Brasilianer französisch.
Sprachen lernen ist ohne Zweifel eine nette Sache. Je mehr Sprachen man kann um so besser. Aber in der Schule sollten Grundlagen geschaffen werden.
Grundlagen wie « so sag ich meinem Nachbarn ‘guten Tag, wie geht’s?.' » Oder « sag mir, wo es dir wehtut. » Sie wissen schon, was man halt so sagt als Menschen, die nebeneinander (und manchmal vielleicht auch zusammen) leben. Vom gemeinsamen Regieren eines Landes oder Führen eines Unternehmens mal ganz zu schweigen. Im Hirn hat’s übrigens genug Platz für mehrere Sprachen. Die nehmen einem nix weg.
Wenn Sie die Grundlagen nicht für Ihre tägliche Arbeit brauchen ist das « Guten Tag » ok.
Einigen mag Sprachen lernen leicht fallen. Meine Begabung ist es aber nicht.
Wer zum Zeitvertrieb und Hobby Französisch lernen will der soll dies ruhig machen. Oder auch irgendeine andere Sprache, welche ihm oder ihr Freude macht. Zum sich verstehen und kommunizieren braucht es eine gemeinsame Sprache, wie zum Beispiel Englisch (auch in der EU wird es auf Dauer mit den vielen Landessprachen nicht funktionieren).
Villeicht wird die EU in einigen Jahren uns verbieten unsere eigene Sprache zu benützen. Sind Sie dafür?
Lieber Romand, Sie wollen mich scheinbar falsch verstehen. Es geht nicht darum, dass die EU irgendwelche Sprachen verbieten soll! Es geht darum, dass ein Staatengebilde, in dem mindestens soviele Sprachen gesprochen werden wie es Staaten gibt, längerfristig nicht funktionieren kann. Ich habe gesagt, es braucht eine gemeinsame Sprache. Aber ich habe nicht gesagt, dass Muttersprachen verboten werden sollen. In Indonesien gibt es viel mehr Sprachen als in der ganzen EU. Damit sich ein Toraja mit einem Balinesen unterhalten kann, wurde die Sprache Bahasa Indonesia als Landessprache eingeführt.
WEnn man nur nach der Verbreitung der Sprache gehen würde, müsste es wirklich Mandarin sein.
Was man mit Französisch machen soll? Seinen Horizont erweitern, eine neue Kultur kennenlernen, sich geistig bereichern. Jede Fremdsprache mehr ist ein Plus, und wenn es sich dabei auch noch um eine Sprache handelt, die von den eigenen Landsleuten gsprochen wird, macht es umso mehr Sinn. Ist es nicht toll, auch mal zu sehen, wie gewisse politische oder sozialen Aspekte auf der anderen Seite des Röstigrabens betrachtet werden? All das kann man tun, wenn man die Sprache versteht. Mal Die Tagesschau auf TSR gucken zum Beispiel.
Habe aber schon andere Hobbies. Niemandem ist es verboten das zu tun. Mit dem gleichen Argument koennen Sie auch obligatorisch raetoromanisch einfuehren.
@ Patrick; Vielleicht mal einen Duden anschaffen… Es heisst Hobbys, nicht Hobbies. Wie soll man eine Fremdsprache lernen, wenn schon Deutsch ein Problem ist?
Ja Armando, eigentlich würde es in Deutsch Liebhaberei, Lieblingsbeschäftigung oder in weiterem Sinn Freizieitbeschäftigung heissen. Dies wäre Deutsch. Hobby ist ein Anglizismus. Sie haben zwar recht, dass der Plural des im deutschen verwendeten Anglizismus Hobby, Hobbys ist. Der Plural im Englischen ist aber Hobbies.
ça va encore?
Herr Schmid, für Ihre verächtliche Haltung gegenüber Französisch habe ich wirklich kein Verständnis. Warum muss ich im Geschäft nebenbei noch alle Korrespondenz und Gespräche mit dem Welschland und dem Tessin erledigen, obwohl dies eigentlich nicht meine Aufgabe ist? Weil niemand anders dazu fähig ist! In Ihren Augen bin ich offensichtlich ein Ewiggestriger, aber für das reibungslose Funktionieren des Geschäftslebens unersetzbar. English Slang, die meisten Deutschschweizer sprechen kein gutes Englisch, ist kein brauchbarer Ersatz. Jeder halbwegs gebildete Schweizer muss Französisch sprechen.
Dem entgegne ich, dass jeder halbwegs gebildete Schweizer Englisch müsste sprechen können. Sie gehören mit Ihren Sprachkenntnissen zu einer absoluten Minderheit unserer MitbürgerInnen. Respekt, dass Sie dies können.
Sprechen denn die meisten Deutschschweizer gutes Französisch oder Italienisch?
Ja in den meisten Konzernen ist Englisch die Verkehrssprache, aber in französischen Firmen ist man gut beraten, Französisch zu können. Ein klarer Vorteil als Deutschschweizer Französisch zu können und umgekehrt Deutsch; Englisch sowieso 😉
Die Welschen (und auch Franzosen) könnten lockerer werden und beim parlieren nicht stur auf perfektes Französisch beharren sondern wie die Tessiner auch Deutsch (oder gar Englisch, Französisch etc.) im Gespräch zuzulassen damit man zu Gange kommt. Lustiges Kauderwelsch gibt das immer wieder….
Besonders wenn man schweizer Politikern beim Deutsch sprechen zuhört.
Es gibt durchaus Tendenzen, die positiv sind: Dass die Region Biel wirtschaftlich überdurchschnittlich wächst in den letzten Jahren hat neben der endlich erfolgten Autobahnanbindung auch viel damit zu tun, dass Firmen aus dem Kommunikationsbereich zunehmend mehr mindestens zweisprachiges Personal rekrutieren. Ich arbeite in einer bi-lingue-Firma in Bern und es ist grade einer der Trümpfe, die beiden Mentalitäten im selben Unternehmen zu haben. Es braucht den Willen, verständlich zu formulieren, und verstehen zu wollen, stimmt, aber es lohnt sich sehr. Möge dieser Esprit weiter wachsen.
@ Hugo Müller: dann würde im Parlament also fröhlich auf Englisch schwadroniert? Irgendwie hat es bisher auch geklappt, was auch damit zu tun hat, dass das Erlernen der jeweils wichtigsten Fremdsprache in der CH (= Deutsch, Französisch) absolut zumutbar ist. Herr Segmüller macht sich lächerlich, wenn er sich als ‘französischsprachiger Sprecher’ sieht.
Für das Parlament kann man ja auch prof. Übersetzer anstellen.
Ich weiss nicht ob Sie viel Steuern zahlen, aber diese Situation mit Profi-Uebersetzer würde die Steuern sicher nicht senken. Und darf man denn nicht ein gewisses Niveau von einem Bundes-Politiker verlangen. Und wenn er dann in Genf ist, müsste er mit einem Handy einen Profi-Ueberseter bezahlen ? Forschritt wo bleibst du ?
Wenn sich das Niveau nur um die Sprache dreht wäre das schade.
Nicht alle Menschen haben ihre Begabung in der Sprache.
Ausserdem zahle ich Steuern für weitaus dümmere Angelegenheiten (wie z.B. Armee)
Nun das Handy ist ja auch nicht französisch. Da bleibt der Fortschritt.
Da Sie eben sehr gut Deutsch können, habe ich in meinem Kommentar die Fähigkeit eines Bundes-Politikers nie nur auf Sprach-Kenntnisse beschränkt. Ich sehe der Ausdruck Handy gefällt Ihnen nicht. Als 2-sprachige Person nehme ich eben den ersten Ausdruck der mir durch den Kopf geht und erwarte von meinem Gesprächspartner gleiche Annehlichkeiten.
Es ist nicht so, dass mir der Ausruck Handy nicht gut gefällt. Im Gegenteil, ich finde Handy besser als Natel.
Ich wollte nur aufzeigen, dass die Sprache einem ständigen Fortschritt unterworfen ist, welcher sich auch zu einem grossen Teil an der Technik ausrichtet. Was dann halt zu Ausdrücken wie Handy, Computer, Internet, Web-Beowser, EMail, Facebook usw. führt.
Alles englische (wenn auch nicht immer korrekte) Begriffe, wenn ich micht nicht irre.
Einverstanden für internat. Schlüsselbegriffe auf Englisch. Sie haben jedoch meine Frage wenn der Deutsch-sprechende Politiker in Genf ist, nicht beantwortet.
Nur so nebenbei. Handy ist ein deutsches Wort. Kein Anglophoner würde es benutzen. Mobile phone wäre da der richtige Ausdruck.
Alle SVP-Anhänger sollten es schleunigst aus dem Wortschatz streichen. Wurde nämlich vom grossen bösen Wolf im Norden erfunden.
Das Wort Handy wird in Frankreich kaum verstanden…es nennt siuch ein « portable », übrigens git es in Frankreich auch keine Computer, EMail, Bytes usw.
NEIN, von einem Schweizer Parlamentarier erwarte ich, dass er zumindest eine oder besser zwei andere Landessprachen versteht, sonst ist er am falschen Ort. Ein Schweizer, der nur seine Muttersprache spricht, ist ungebildet.
Eigenartige Ansicht Bidung über die Anzahl Sprachen zu definieren, die jemand spricht! Sie degenerieren den Begriff Bildung damit auf ein rein sprachliches Formalwissen. Bildung ist aber nicht einfach Wissen.
Ich würde gerne öfters im französischen SF politische Diskusionen verfolgen. Leider kann ich zu wenig Französisch. Ich finde es wäre die Aufgabe vom SF dies zu ermöglichen.
Warum gibt es keinen CH Arte? Warum wird Kulturplatz nicht auf TSR mit Untertiteln ausgestrahlt? Warum Temps Présent nicht auf SF? Es wäre ja so einfach…
Niemand hinder Sie daran, Temps Présent zu schauen. Es genügt ein Druck auf den richtigen Knopf auf der Fernbedienung. Ist jemand interessiert daran, Programme auf Französisch oder Italienisch zu schauen, kann er dies bereits heute problemlos tun. Und diejenigen, die nicht interessiert sind, werden es auch dann nicht tun, wenn SF 1, SF 2, TSR 1, TSR 2, TSI 1 und TSI 2 sprachunspezifisch senden.
R.beer; mais vous m’avez pas compris. es geht doch darum, dass wenn man die Sprache eben nicht versteht, Untertitel sehr hilfreich sein können! Nicht einfach zappen und frustriert wieder auf pro7 oder sf umschalten
eben, vielleicht ist noch nie jemand auf die Idee gekommen.
Ich hoffe die SRG SSR IDEE SUISSE lliest mit (was für ein vielversprechender Name das doch schon ist)
Doch, es gab letztes Jahr folgende politische Motion: Theo Maissen (GR): Fernsehkanal zur Stärkung der gegenseitigen Verständigung und des nationalen Zusammenhaltes. Sie wurde leider nicht gutgeheissen, sondern angepasst, resp. die SRG wurde « ermahnt », die Verständigung zwischen den Sprachregionen in Zukunft stärker zu gewichten. Ein eigentlicher Sender allerdings wurde abgelehnt. Sehr schade, viele von uns leben « nur » in Ihrer Sprache und verkennen dadurch die kulturelle Vielfalt der Schweiz. PS: Et n’oubliez pas la plus petite des minorités, le rumantsch 😉 Situation beaucoup plus difficile!
Sehr gute Idee, einen Schweizer Fersehkanal zur Stärkung des gegenseitigen Verständnisses: in einer gemeinsamen Landessprache, beispielsweise Englisch!
Es wäre eine tolle Idee!
Das ist nicht die Aufgabe von SF, sondern der Volksschule. Jedermann hat dort die Möglichkeit, Französisch zu lernen. Aber verpasste Chancen sind vertane Chancen. Zudem gibt es haufenweise Sprachkurse, Verpasstes kann man nachholen, aber ohne eigenen Aufwand geht es nicht.
Geht ja auch nicht ums lernen einer Sprache, sondern darum den anderen Landesteil (dazu gehört Kultur, Politik, Gesellschaft usw.) zu kennen. Die ganze Diskussion wird generell zu fest auf die Sprache reduziert.
ganz Ihrer Meinung !
Im Gegensatz zur forcierten globalisierten Multi-Kulti-Wischi-Waschi-Träumerei, besteht in der Schweiz ein gesundes Zusammenleben unter den 4 Schweizer Kulturen. Ein Deutscher realisiert dies sehr schnell, wenn er mal den Reifen wechseln will oder über den Gehsteig geht. Denn wir Deutschschweizer haben viele Begriffe von unseren Romands-Schweizer übernommen (wie eben zB. Pneu und Trottoir). Und uns verbindet halt trotz allen Unterschieden, der Wunsch, dass wir nicht zu Deutschland, Italien oder Frankreich gehören wollen (von der EU ganz zu schweigen). Meine subjektive Meinung…
Von gesundem Zusammenleben kann wohl nicht die Rede sein. Es ist ein reines nebeneinadner her Leben. In den Medien eines sprachlichen Landesteiles wird kaum jemals etwas über die anderen Landesteile gebracht. Dies könnte mit einer gemeinsamen Landessprache für alle behoben werden.
In der Schule habe ich Franz gehasst wie nichts anderes. Inzwischen arbeite ich in beiden Kulturen, spreche jeden Tag französisch und möchte es nicht mehr missen. Das Problem war (ist?) doch, dass in der Schule jeder kleinste Fehler korrigiert wird uns so in erster Linie vermittelt wird, dass a) Französisch unglaublich schwierig zu lernen ist und b) man sowieso nicht geeignet ist, die Sprache zu lernen. Ich mache immer noch Fehler, werde aber verstanden. Und so ist die Sprache mein Kulturöffner. In der Ausbildung sollte auf Kommunikationsfähigkeit, nicht Fehlerfreiheit hin gearbeitet werden!
@Reto Schmidt
So wird übrigens auch immer mehr in D gedacht. Englisch ist schon heute die zweite Sprache jedes Deutschen. Früher kam in Realschule Französisch als 3. hinzu, heute holt das Spanische immer mehr auf. Auch mir wäre damals Spanisch lieber gewesen, Französisch habe ich nie wirklich gebrauchen können.
Die Schweiz kann man eben nicht mit Deutschland vergleichen.
Kann Schmid nur zustimmen, Französisch sollte nicht obligatorisch sein in der deutschen Schweiz sondern Englisch!! Wir sollten unsere Kinder fokussierter ausbilden um unsere benötigten Fähigkeiten stärken zu können. Jeder kann freiwillig Französisch lernen und diese Sprache zu seinem Hobby machen.
FACK
Genau! Hab nichts gegen Hobby-Franzosen.
In keinem Landesteil soll eine zweite Landessprache Pflicht sein. Für alle soll Englisch Pflicht werden, je schneller je besser.
Komplett falsch. Wer nicht mindestens eine zweite Landessprache spricht, ist ungebildet und nicht fähig, mit eigenen Landsleuten zu kommunizieren. Warum muss ich im Geschäft alle Korrespondenz und Telefonate mit Kunden aus dem Welschland und aus dem Tessin führen, obwohl das eigentlich nicht meine Aufgabe ist? Weil niemand mehr fähig ist, mit Kunden aus anderen Landesteilen zu kommunizieren! English Slang kann da kein Ersatz sein. Sie propagieren indische Zustände.
Komplett falsch. Ich spreche keinen English Slang, sondern fliessend in Wort und Schrift vernünftiges Englisch. Was hat das Nichtsprechen einer zweiten Landessprache mit ungebildet sein zu tun? Wenn alle EinwonerInnen der Schweiz Englisch sprechen würden, hätten Sie Ihr Problem mit den Telefonaten ins Welschland und ins Tessin nicht. Dann könnten nämlich alle EinwohnerInnen der Schweiz miteinnder kommunizieren.
Herr Alder, ich bin definitiv nicht Ihrer Meinung. Jeder Deutschschweizer sollte Französisch lernen, es ist eine unserer Nationalsprachen. Warum muss ich im Geschäft alle Gespräche und Briefe mit Kunden aus der welschen Schweiz und aus dem Tessin erledigen, obwohl das eigentlich nicht meine Aufgabe ist? Weil kaum mehr einer Französisch und Italienisch kann! Und weil diese Sprachen dem allein seligmachenden English Slang geopfert werden (Wirklich gutes Englisch wird ja auch nur von wenigen beherrscht.) GRUNDFALSCH!
Würde der Welsche und der Tessiner Englisch sprechen und im öffentlichen Leben auch rege nutzen, dann ergäbe sich das von Ihnen in Ihrer Firma erlebte Problem gar nicht. Wenn schon denn schon müsste jeder Schweizer und jede Schweizerin alle vier Landessprachen lernen und fliessend in Wort und Schrift beherrschen. Was uns zur Frage führt, welche Sprachen dies dann wären: Standarddeutsch oder Alemannisch, Schweizer Slang Französisch/Italienisch oder richtiges Französich/Italienisch, und was machen wir beim Rätoromanischen?
En fin de compte c’est une question de volonté; als ‘bilingue’ aus der Stadt Freiburg, der seit 22 Jahren im Ausland lebt, fasziniert es mich immer wieder, wie soviele Schweizer (que ce soient les Romands ou ceux d’outre-Sarine) die Sprachenfrage mit sozialer Rangierung gleichsetzen. Es geht ueberhaupt nicht darum, wer mehr ‘wert’ ist, aber es geht darum, ob die Schweizer ein Interesse haben, auch in der Zukunft sich hinter den eigenen vier Waenden zu verbergen oder endlich einmal Mut fassen und sich der Aussenwelt aussetzen. Pour l’instant, j’en doute….
J’abonde dans votre sens. Il semblerait qu’il n’y ai pas de réelle volonté politique/économique de faire évoluer la situation.
M. Jungo, je suis absolument d’accord avec votre opinion. Les langues nationales sont importantes en Suisse et ne peuvent pas être remplacées par l’anglais. Ceux qui favorisent l’anglais au lieu du français ou de l’allemand ne connaissent pas l’importance des langues pour l’avenir national. Chaque Suisse doit maîtriser au moins une seconde langue nationale. Moi, je parle pas seulement français, allemand, italien, mais aussi anglais, espagnol, portuguais et autres.
Wie schon andernorts erwähnt hat nicht jeder Mitbürger oder jede Mitbürgerin die Möglichkeit sich Ihre Sprachenfertigkeit anzueignen. Das Favorisieren von Englisch als erste Fremdsprache in der Schweiz hat nichts mit Verkennen der Wichtigkeit der Landessprachen für die Zukunft der Schweiz zu tun. Für die Zukunft der Schweiz ist es viel wichtiger eine gemeinsame Sprache zu sprechen (hier ist nicht die Bildung menschlicher Sprechlaute gemeint).
« Aber weder sind die Romands mit dem Deutschen noch die Deutschschweizer mit dem Französischen je richtig warm geworden. Und dies trotz (!) jahrzehntelanger Übung in der Schule. »
Als Solothurner habe ich eine Neuenburgerin geheiratet und bin sehr glücklich dabei.
Kann das nicht auch an der Art und Weise liegen, wie die Sprache vermittelt wird? Ich persönlich fand den Französischunterricht in der Ostschweiz eigentlich sehr gut: gutes Lehrmaterial, Muttersprachler als Lehrer. Als ich nach Genf kam und dort den Sprachunterrricht verfolgt habe, war es genau andersrum: veraltetes Schulmaterial, auf Deutschland ausgerichtet, ohne Bezug zur Deutschschweiz, demotivierte Lehrer, die selber auch lausiges Deutsch sprachen. Kein Wunder konnten bei der Matura die meisten meiner Mitschuler nicht mal einen vernünftigen Satz auf Deutsch formulieren.
Der springende Punkt beim Erlernen einer Sprache ist die Motivation. Je besser die Einstellung der vermittelnden Person (Lehrer) ist, desto besser wird das Ergebnis der Schüler. Man sollte auch begleitende Aktionen unternehmen ev. individuell oder gemeinsam. Ein Kind das gerne Sport treibt zB sollte sich gewisse Sportübertragungen am TSR Télé S-Romande anschauen. Anders in den Schulen könnte man Sport-oder Zeichnungs-Unterricht in der franz. Sprache unterrichten. Je schneller der Einstieg in die Fremdsprache gelingt, desto besser wird das Ergebnis.
Der Mensch macht nicht gern nutzlosen Scheiss. Zum Beispiel Französisch lernen wenn er der Meinung ist er braucht das nicht und wird das nie brauchen. Gilt natürlich für sämtlichen Schulstoff. Unvernünftig und duckmäuserisch wie er ist legt er dann die Abneigung in den Stoff anstatt in die, die ihn dazu gezwungen haben.
an Hoffmann: Zwischen 12 und 16 Jahren, wussten Sie welche Sprachen Sie berüflich oder privat anwenden können in Ihrem Leben ? Ich zweifle daran, deshalb ist es ein MUSS als Kind viele Sprachen zu erlernen ob gern oder nicht. Es liegt auch am Umfeld Eltern/Schule die Schüler richtig sprachlich zu begleiten. Richtige Motivation zum spezifischen Zeitpunkt.
Weder wusste ich das noch hat das die Schule gewusst. Haha jetzt wollen sie schon zum viele Sprachen lernen zwingen? Weiviele dürfen es denn sein? Schade können Kinder sich nicht wehren…
Das Phänomen, dass viele Deutschschweizer mit französisch nicht warm werden, mag aus Zürcher Optik stimmen. In Basel, Bern oder Solothurn jedoch sprechen die meisten Personen akzeptabel Französisch.
Ich bin immer noch der Meinung, dass die Mehrsprachigkeit einer der grössten Trümpfe der CH ist. Deshalb bin ich z.Bsp. auch strikte dagegen, Frühenglisch auf Kosten von Franz einzuführen. Wer in der CH eine Matura hat, kann doch einigermassen passabel Französisch/Italienisch (mind. mündlich). Man müsste das noch viel stärker fördern: Z.Bsp. in der Schule obligatorisch vorschreiben, dass alle Deutschschweizer mind. 2 Semester im Welschland/Tessin verbringen und umgekehrt. Mindestens ab Stufe Gymer, evtl. auch früher. Zu meiner Zeit wurden solche Austausche überhaupt nicht propagiert/gefördert
Wenn ich Sie richtig verstehe ist ihr Fazit: Je mehr Sprachen desto besser. Also am liebsten jeder spricht seine eigene persoenliche Sprache und lernt dann alle anderen. Richtig?
Wenn die Welt an der Schweizer Grenze enden würde, hätten Sie wahrscheinlich recht: dann müsste man Ihre Idee fördern. Zum Glück geht’s an der Schweizer Grenze mit der Welt aber noch weiter. In der Welt wird nun aber Englisch gesprochen. Also sollten wir uns auf Englisch konzentrieren. Wer freude an Sprachen hat, kann dann immer noch andere lernen.
Herr Keller, die Welt besteht nicht nur aus den USA, England, Kanada und Australien. Englisch ist zweifellos eine Weltsprache, aber nicht die einzige. Versuchen Sie mal mit Englisch in Südamerika weiterzukommen. Sie sind ein Gringo und verstehen wird Sie kaum jemand. Spanisch ist auch eine Weltsprache, Französisch und Russisch auch, ebenso Mandarin. Diese Sprachen werden von teils von mehr Leuten gesprochen als Englisch. Sie sollten Ihr unilaterales Weltbild ändern. Und in der Schweiz sind die Nationalsprachen viel wichtiger als Englisch. Ich bin weit gereist und habe im Ausland gearbeitet…
Komisch, mit meinen Freunden und Bekannten aus Brasilien, Venezuela, Kolumbien, China, Taiwan, Japan, Thailand, Philipinen, Malaysia, Irland habe ich noch immer Englisch gesprochen. Sprechen Sie alle vier Sprachen der Schweiz? Falls ja, Hut ab. Aber eine gemeinsame Sprache wäre viel wichtiger, als das Pflegen einer zweiten Landessprache. Es hat dann ja immer noch zwei weitere Landessprachen. Es geht um eine gemeinsame Sprache, um miteinander kommunizieren zu können. Aus Kommunikation entsteht Verständnis für das Gegenüber, für andere Kulturen und Denkweisen.
Ich hatte das Glück, in den 40er Jahren in Biel beinahe bilingue aufgewachsen zu sein. Ein grosses Geschenk. Da es noch kein französischsprachiges Gymansium gab, waren in unserer Klasse auch französischsprachige Mitschüler, mit denen wir Französisch sprachen. Wir gingen auch in französischsprachige Theateraufführungen, wo ich Louis Jouvet, Barrault u.a. auf der Bühne erleben konnte. Ich lernte zwei Kulturen kennen und machte später mit meiner deutschen Frau unzählige Reisen ins französischsprachige Ausland. Wie man ein solches Geschenk ablehnen kann, ist mir unverständlich.
Wenn man glücklich mit Reisen ins französischsprachige Ausland ist, mag französisch ja ganz okay sein. Aber es gibt auch noch ein vielsprachiges anders Ausland. Und da ist halt Englisch zeckdienlicher.
In Südamerika nun aber gar nicht!
Dann müssten also nach Ihrer Lesart alle EU-Bürger alle 27 Sprachen der Mitgliedstaaten sprechen können? Wohl kaum zweckmässig. Eine gemeinsame Sprache drängt sich da geradezu auf. Der gemeinsame Sprachnenner dürfte hier wohl Englisch heissen. Nur hat es die EU noch nicht begriffen, sowenig wie es die Schweiz begriffen hat.
Wer hat denn gesagt, dass ich kein Englisch kann? Und vor allem geht es ja nicht einfach um die Sprache, sondern um die Kultur. Und da ist Frankreich gegenüber den englischsprachigen Ländern wirklich nicht unterlegen. Aber offenbar gehts ja leider immer nur um Handel und Geldverdienen.
Als jemand, der in Basel wohnt, was geographisch schon fast zu Frankreich und politisch zur Romandie gehört, war Französisch Lernen nie ein muss, sondern eine Freude. Dass es den Röschtigraben gibt, stimmt ja schon, aber wir müssene ihn ja nicht noch extra tiefer graben. Für die Separatisten: die Realität der Mehrheit der Menschen ist eine mehrsprachige, vielkulturelle Umgebung. Und das schon die längste Zeit. Siehe die grossen Reiche, die im 1. WK zerfallen sind. Einsprachige, pseudo-ethnisch uniforme Nationen sind ein Konstrukt und auch als solche recht neu. Nationalismus ist ungesund.
Ich gratuliere zu Ihrer Haltung. Ganz Ihrer Meinung. Sprachorientierte Nationalstaaten sind ein Produkt der Vergangenheit mit verheerenden Folgen. Oder wollen wir Zustände wie im ehemaligen Jugoslawien, wo aus einem Land 7 verschiedene Pseudoländer entstanden sind?
Bei mir ist es einfach so: Mein Schulfranzösich reicht einfach nicht aus für eine spannendes Gespräch. Weiter rede ich im Beruf sowieso englisch mit unseren französich sprachigen Kollegen. Das geht einfach besser für beide. Ich denke, es geht sicher Anderen genau so wie mir. Weiter mag ich als Zürich Schweizer die Welschen sehr. Die sind unkompliziert, offen und wirklich freundlich. Wie man in den Wald ruft, so hallt es zurück.
Der letzte Satz ist ganz zutreffend und ist überall anwendbar nicht nur zwischen Deutsch-CH und Romandie. Mit ein wenig Toleranz kann man Brücken bauen. Vor allem vergessen wir die Préjugé/ Vorurteile.
Bravo.
Die Schweiz hat dieverse Probleme in Sachen Sprachen und Kulturen. Die Deutsch-Schweizer müssen nebst ihrer Muttersprache noch deutsch lernen. Als weitere Fremdsprachen kommen dann noch französisch und oder englisch hinzu. So gesehen müsste man in den drei anderen Sprachengebieten wenigstens auch deutsch lernen. So wären alle gleichgstellt in Sachen Sprachen. Es gibt auch noch andere Reibpunkte in Sachen Kultur. Wie würde wohl ein deutsch Schweizer reagieren, wenn auf seinem privaten Grundstück fremde Autos abgestellt würden. In der welschen Schweiz ist das ganz normal.
Ja, das Problem haben die meisten Deutschen auch. Meist reden die Lehrer in der Grundschule noch Dialekt, in den weiterführenden Schulen dann Hochdeutsch was aber nicht heißt daß man als Schüler hochdeutsch reden muß. Von daher kann man sagen daß die meisten Deutschen mind. dreisprachig sind: Dialektdeutsch, Hochdeutsch, Englisch.
Die Schweiz hat nur ein Problem in Sachen Sprachen. Dass man sich nicht von der althergebrachten Idee lösen kann, jeder Mann und jede Frau müsse mindestens eine zweite Landessprache sprechen. Haben wir den Mut und erklären Englisch als gemeinsame Landessprache. Sorgen wir dafür, dass alle BewohnerInnen der Schweiz fliessend Englisch in Wort und Schrift beherrschen.
NEIN, das ist komplett falsch. Wer Französisch aufgibt zugunsten von English Slang, hat nun gar nichts begriffen und gefährdet die Zukunft der Schweiz. Wer als Deutschschweizer nicht Französisch spricht, ist ungebildet und kann am Wirtschaftsleben nicht teilnehmen. Warum muss ich alle Korrespendenz und Gespräche mit welchen Kunden erledigen? Weil es sonst niemand kann!
Was haben Sie immer mit Ihrem English Slang? Noch nie etwas von korrektem Englisch gehört?
In welcher Wirtschaft sind Sie denn tätig? Ich bin Maschinenbauingenieur und in technischer IT tätig, da wird Englisch gesprochen. Bildung definiert sich für Sie über’s französisch Sprechen?
Noch was: Wenn sich sogar Christoph Blocher in bemerkenswert flüssigem Französisch verständigen kann (seht euch mal Polit-Runden auf TSR an), dann können es wohl auch die Kulturpessimisten, die von Fribourg bis Rohrschach am liebsten eine eigene Nation ausrufen möchten. Blocher ist zwar Demagoge, aber auch er weiss, dass nicht die ganze Welt Züritüütsch spricht.
Dürrenmatt hatte und hat immer noch recht. Die Sprachregionen leben nicht miteinander sondern immer mehr nebeneinander her. Es bringt nichts in der Schule die Landessprachen zu lernen. Viel gescheiter wäre es eine gemeinsame Sprache für die ganze Schweiz zu definieren und diese dann bereits in frühestem Kinderalter zu lernen. Beispielsweise Englisch. Es müssten auch die Medien in allen Landesteilen englische Beiträge bringen (Politdiskusionen im Fernsehen für das ganze Land in Englisch). Für die Deutschschweizer hiesse dies zum Beispiel Mundart, deutsche und englische Standardsprache lernen.
Nein – es wäre wirklich eine Verlust.
Für mich es gibt nur ein Problem: Mundart. Dass heisst entweder müssen die Romand Deutsch und Schweizerdeutsch lernen (aber welchen Dialekt?) oder müssen wir uns bemühen auf Hochdeutsch zu komunizieren. Dieses Blog beweist dass es möglich ist…
Man kann immer von den andern lernen.
Nein, es wäre kein Verlust. Es wäre ein Gewinn. Endlich könnte eine interkulturelle Kommunikation stattfinden, welche erforderlich ist, um sich gegenseitig zu verstehen. Die Romands behalten ihre Mundart und Standardfranzösisch, die Deutschschweizer ihre Mundart und Standarddeutsch. Aber alle lernen Englisch, fliessend in Wort und Schrift, kommunizieren untereinander in Englisch, röschtigrabenübergreifend. Gleiches gilt für die italienisch- und romanischsprachigen SchweizerInnen.
Wollen Sie indische Zustände in der Schweiz? Sie propagieren hier den kulturellen Untergang der Schweiz. Wenn die Schweizer untereinander nur noch auf Englisch Slang kommunizieren können, ist die Existenz der Schweiz eine Frage der Zeit. Ghaddafi hat ja schon die Aufteilung auf die Nachbarländer gefordert…
Jetzt erzählen Sie aber einen totalen Quatsch! Das hat mit kulturellem Untergang nichts zu tun! In Indonesien ist die Kultur der Balinesen und Toraja auch nicht untergegenagen, weil als offizeille Landessprache Bahasa Indonesia eingeführt wurde und diese in den Schulen gelernt wird!
Frage; existiert die Deutsch-Schweiz als kultureller Raum? NEIN! Ich glaube der Lausanner und der Basler sind sich viel ähnlicher als der Lausanner und der Bullois (Grueyère) und der Appenzeller ist dem Bullois wohl ähnlicher als dem Basler. Sieht man ja auch bei Abstimmungen! Zudem; der Ost-Schweizer, der noch nie in Bern war, wird sich wohl auch nicht für Genf interessieren.
Das erleb ich als Basler auch so. Genf, Neuchâtel, Lausanne, etc. liegen von der Mentalität her sehr viel näher an Basel als manche Gegenden des Oberbaselbiets.
4 Jahre Französisch in der Schule – nie auch nur einen Satz gesprochen oder verstanden ausserhalb der Schule. Lieber hätte ich stattdessen Waterboarding überstanden. Gerne will ich diese Zeit zurückhaben und für etwas sinnvolles einsetzen.
Englisch spreche und schreibe ich jeden Tag. Wenn jeder als Zweitsprache Englisch lernt ist das Sprachenproblem gelöst. Englisch ist schon jetzt der de facto Standard für Interkulturelle Kommunikation. Daran wird auch die Sturheit der Frankophonen nichts mehr ändern können.
Ja was sollen den Leute die 4 Jahre lang Englisch lernen und nicht verstehen ?
English ist leichter zu lernen als Franz. English hört man überall Musik etc. Früher gab es halt auch französische Filmstars und Sänger. Bei uns wurde von den Sekschülern das Bravo auf französisch gelesen. Das war total IN.
@ Maja. Gutes Englisch zu lernen ist nicht einfacher als Französisch. English Slang, wie er von vielen gesprochen wird, ist zwar einfach, aber eben keine Sprache. Ich weiss, wovon ich spreche. Ich bin Übersetzer. Leider geht heute oft vergessen, dass Französisch Schweizer Landessprache ist, und das ist sehr schade und gefährlich für die Zukunft der Schweiz.
Richtig Patrick! Aber unsere MitbürgerInnen und unere PolitikerInnen sehen das leider noch nicht ein. Da wird argumentiert, um die Romands verstehen zu können, müsse man mit diesen französisch sprechen. So ein Quatsch! Dann gibt es noch diejenigen die mehr Mundart in der Schule fordern. Diese begreifen es erst recht nicht.
Das stimmt so nicht. Warum muss ich im Geschäft alle Korrespendenz und Gespräche mit Kunden aus dem Tessin und der Welschschweiz machen, obwohl das eigentlich nicht meine Aufgabe ist? Weil niemand anders dazu fähig ist! English Slang ist kein Ersatz für das Beherrschen anderer Landessprachen und auch nicht Nationalsprache.
Ich schreibe, spreche und übersetze auch Englisch, aber Französisch, Italienisch, Spanisch und Portugiesisch sind mir viel sympathischer.
Jedes Mal, wenn ich einen Artikel über die Sprachbarrieren lese, habe ich den Eindruck, es mangelt an wirklich interessanten Themen. Dass unsere Politiker starrköpfige Alphatiere sind, die ein Entgegenkommen als Schwäche betrachten, ist ja nichts neues; sie sind aber auch nicht representativ für « Schweizer Büetzer ». In meinem Alltag in Biel/Bienne werden Sprachbarrieren ohne zögern umgangen, indem man auf eine andere Sprache wechselt. Vielleicht sollten die Deutschschweizer ihre Kinder wieder häufiger in die Romandie als au-pair schicken, und vice versa.
Viele machten schlechte Erfahrungen, ich durfte auch nicht gehen. Wenn ich das Thema aufs Tapet brachte sah meine Mutter rot.
Ich bin der Meinung wir sollten Französisch an den Schulen abschaffen. Ich habe mich durch acht Jahre Französisch gequält und bin momentan in einer Regenerierphase. Ich glaube der Grund weshalb ich diese Sprache hasse liegt an der Tatsache, dass ich gezwungen wurde sie zu lernen. Englisch im Gegensatz dazu, wollte ich schon im Alter von vier Jahren lernen und ich besuchte dann auch einen Englischkurs für Kinder. Die Welschen müssen von mir aus auch kein Deutsch aber wenigstens Englisch lernen und in diesem Punkt sind die Welschen wirklich nicht viel anders als Franzosen, hauptsache kein Engl.
Das heisst nicht, wenn eine Person die franz. Sprache nur mit Mühe lernt, dass man diese Möglichkeit den anderen Schüler verbietet. Um Sprachen zu lernen, muss man auch gewisses Basis-Interesse vorhanden sein, ansonsten nützt das nichts nètzt.. Das mit dem Englisch für die Westschweizer können Sie vergessen.
(Bin Solothurner seit mehreren Jahren im Kt. NE – ich bin 2-sprachig.)
habe schon mehrfach erlebt, wie sich Romands und Deutschschweizer an Konzerten radebrechend auf englisch unterhalten haben. Als zugezogener Zürcher in der zweisprachigen Stadt Freiburg/Fribourg finde ich das äusserst schade. Mein Vorschlag: Als Zürcher/Appenzeller/Luzerner könnten sie wenigstens die Höflichkeit besitzen mit Romands Hochdeutsch zu sprechen. Wenn sie nach Lausanne oder Genf fahren, sollten sie aber auch die dort gängige Sprache benutzen. Übrigens: In der Schule hat mir Französisch auch keinen Spass gemacht. Das geschieht erst wenn man mit Romands in Kontakt kommt.
Höchste Zeit, dass wir SchweizerInnen alle vernünftiges Englisch lernen und auch anwenden. Englisch sollte als offizielle Landessprache deklariert werden.
Benjamin: 100% einverstanden.
Beispiel Flughafen Genf: Angestellte, die auf englisch angesprochen werden antworten auf franzoesisch. Die Frankophonen koennen’s immer noch nicht fassen, dass franzoesisch nicht die grosse Weltsprache geworden ist. Und die Welschen sind oft noch militanter als die ‘echten’ Franzosen.
Richtig Benjamin Friedli. Weg mit der zweiten Landessprache an den Schulen. Englisch so früh wie möglich unterrichten und auch im Unterricht gebrauchen. Dies in allen Landesteilen. Die Medien benutzen ebenfalls Englisch für alle Dinge, die von gesamtschweizerischem Interesse sind.
Weg mit Frühenglisch an den Schulen. Die Schweizer Nationalsprachen haben Vorrang. Wer als Schweizer keine zweite Landessprache beherrscht, ist ungebildet. Englisch ist nur EINE von mehreren Weltsprachen. Spanisch, Russisch, Mandarin sind auch Weltsprachen. Ich bin Übersetzer und weiss deshalb, wovon ich spreche. English Slang ist kein Ersatz für Französisch oder Italienisch. Wir brauchen keinen angloamerikanischen Sprachimperialismus.
Aha, jetzt haben Sie sich geoutet. Sie haben ein Problem mit Englisch. Sprachimperialismus. Was ist den mit Spanisch und Portugiesisch in Südamerika und Französisch in Afrika? Alles einheimische Sprachen dort? Hat da nicht Spanien, Portugal und Frankreich übelsten Imperialismus betrieben? Bildung definiert sich nicht über’s Sprechen einer zweiten Landessprache. Ich könnte auch sagen, wer als Deutschschweizer die deutsche Standardsprache nicht richtig sprechen kann, ist ungebildet. Solche Aussagen sind aber nichts als Quatsch!
Le Francais à l’ecole (St. Gall), ce n’etait pas ma chose. Et si je doit parler avec un romand, ca me doit un extra effort. Je pense que il faut commencer plus tot avec ca. Et echanger les etudiants entre les deux regions.
Da ist eine gemeinsame Landessprache lernen, beispielsweise Englisch, schon zielführender. Ein Studentenaustausch ergibt sich so dann vielleicht automatisch, besonders bei weiterführenden Bildungsinstituten. Es gibt ja nicht nur Deutsch und Französisch. Es gibt auch noch Italienisch und Romanisch.
English Slang ist keine Schweizer Landessprache.
Sie wollen es scheinbar nicht begreifen. Die Sprachregionen in der Schweiz leben nicht miteinander, leben nicht zusammen. Sie leben nebeneinander her, ohne viel voneinader zu wissen. Das ist die Gefahr für den Zusammenhalt der Schweiz. Und der Grund dafür ist die fehlende gemeinsame Landessprache!
Mir fällt einfach auf, dass die Welschen sich praktisch keine Mühe geben, Deutsch zu lernen. Es sind fast immer die Deutschschweizer, welche entgegenkommen und versuchen, sich auf französisch zu sprechen. Wieso nicht mal umgekehrt? Das kann es doch echt nicht sein, dass sich die Mehrheit IMMER der Minderheit anpassen muss, damit der Zusammenhalt einigermassen funktioniert.
Was sagen Sie denn wenn mein Sohn 3 Monate nach Köln zur Schule gegangen ist, nachdem er sein Studium erledigt hatte ? Es ist falsch wenn Sie behaupten, dass sich immer die Mehrheit der Minderheit anpassen muss. Der Zusammenhalt basiert auf Toleranz beider Teile der Schweiz. Als Solothurner wohne ich seit vielen Jahren im Kt NE. Ich bin 2-sprachig und kenne das Problem bestens. Es würde mich interessieren wie Sie die Westschweiz kennen und einschätzen.
Die SchweizerInnen der deutschsprachigen Schweiz sind da nicht besser, wenn es um Standarddeutsch geht. Es wird Schweizerdeutsch gesprochen, auch wenn es angebracht wäre Standarddeutsch zu sprechen. Beispiel: warum wird darauf beharrt in einem Restaurant Schweizerdeutsch mit den Servicefachangestellten zu sprechen? Wenn diese voerst « nur » Standarddeutsch verstehen, ist es wohl kein Beinbruch anstatt Schweizerdeutsch eben Standarddeutsch zu sprechen, oder nicht?
Die Deutschen verstehen sehr wohl Dialekt. Ich verstehe die Deutschen Dialekte ja auch.
Na, dann wünsche ich Ihnen viel Glück sich in Hamburg oder Kiel mit Schweizerdeutsch zu verständigen oder eine Diskussion zu führen. Es gibt ja nicht nur die Deutschen, Östereicher und Franzosen die einen alemannischen Dialekt sprechen. Es gibt auch noch Andersprachige, die Standarddeutsch lernen und lernten, wie zum Beispiel Romands oder in die deutsche Schweiz immigrierende Ausländer, und nun halt mal kein Wort verstehen, wenn Sie mit alemannischen Dialekten konfrontiert werden!
An Mark Keller: Es ist doch Toleranz mich anpassen zu können. Dagegen gehört es zur Aufgabe einer Direktion eines Restaurants abzuwägen wie mein Personal mit den Kunden den Sprach-Kontakt pflegt. Im Geschäft gilt die Regel, derjenige der etwas verkaufen will muss sich anpassen. Für mich ist das kein Problem. Im Gegenteil wenn mich ein Ausländer bedient lass ich nicht los, bis ich seine Muttersprache erfahre. Vielleicht kann ich mit ihm dann in seiner Sprache kommunizieren.
Und wieso will die Direktion eines Hotels oder Restaurants, dass das Servicepersonal Schweizerdeutsch vertsehen muss? Weil es die Schweizerdeutsch sprechenden Gäste nicht akzeptieren wollen in deutscher Standardsprache sprechen zu müssen! Und dies in einem Land, in welchem Standarddeutsch eine offizielle Landessprache ist. Nicht mal um Schweizer zu werden muss man in der Deutschschweiz Alemannisch sprechen können. Es wird deutsche Standardsprache Niveau B1 bis B2 verlangt.
ich erlebe genau das Gegenteil.
Haben die Leute, die ganz simpel glauben, m. Englischkenntnissen seien alle Probleme aus der Welt geräumt, auch schon mal darüber nachgedacht, dass man d. sprachlichen Missverständnisse verdoppelt, wenn e. Welscher auf Englisch übersetzt + e. Deutschschweizerin dasselbe tut? Und haben diejenigen Leute auch schon mal bedacht, dass es heute VIEL mehr als nur Kenntnisse seiner Muttersprache plus ein bisschen Englisch braucht? Das hat nämlich unterdessen fast jede/r, aber wenn man noch Kenntnisse weiterer Sprachen hat, hebt man sich von der grossen Masse ab und hat mehr Chancen a.d. Arbeitsmarkt!
Und wie spricht man denn Ihrer Meinung nach, wenn sich zum Westschweizer und Deutschschweizer noch ein Italiener, ein Amerikaner und ein Chinese dazugesellen? Die Welt ist kleiner geworden und Heute ist ein Welscher dem Deutschschweizer nicht mehr naeher als ein Chinese.
Meine Firma exportiert in mehr als 100 Laender. Wo sollte ich denn da beginnen mit Sprachen lernen wenn’s nicht Englisch als gemeinsamen Nenner gaebe?
Richtig Patrick, leider haben das aber die meisten SchweizerInnen noch nicht begriffen. Auch die PolitikerInnen nicht, die sich darüber streiten ob’s Frühfranzösich oder vielleicht doch lieber Frühenglisch sein darf. Dann gibt’s noch die SchweizerInnen welche das Nutzen der Mundart in der Schule befürworten und Anstrengungen so früh wie möglich in der Deutschschweiz Standarddeutsch zu lernen bekämpfen.
Sprechen Sie Fremdsprachen? Scheinbar nicht. Wie kommen Sie darauf, dass man als deutschsprachiger von Deutsch nach Englisch übersetzt? Meine Muttersprache ist Deutsch. Ich spreche und schreibe fliessend Englisch. Aber ich übersetze nicht von der einen in die andere Sprache, ich spreche und schreibe entweder Deutsch oder Englisch.
Das ist ein Intelekuelles Schauckelperd und genzt bewusst unliebsame Nachbarn aus.Die Fanzosen in der Schweiz haben es noch nicht begriffen,die ganz Westschweiz bis und mit Basel ist Franco lastig als ehemalige Burgunder keine Ueberraschung.Wenn ich in Genf war in meiner Jugend und Lehrgaenge besuchte oder Erklaerungen begeben musste habe ich einfach englisch gesprochen und ploezlich verstanden alle Hochdeutsch.Heute spreche ich taeglich mit Leuten aus ca. 84 Nationen und habe keine Problem mit der Verstaendigung,egal Russen,Chinesen Filipinos etc. Ist alles Hausgemacht um Krach zu provozieren
Sie haben vergessen zu erwähnen welche Sprache(n) Sie zur Kommunikation mit diesen Leuten aus 84 Nationen benutzen.
Eigentlich ist es schade. Es gibt auch andere Länder, in denen mehrere Sprachen gesprochen werden und in denen es dennoch möglich ist, dass sich ein Nationalgefühl entwickelt. In Indien gibt es mehr als 43 offizielle Sprachen, die meisten Inder sprechen mindestens zwei, drei Sprachen und dennoch identifizieren sich die meisten mit ihrem Staat. Wenn die Inder das können, wieso sollen Schweizer sowas nicht schaffen? Zweisprachig zu sein, ist eine wunderbare Bereicherung für jeden. Französisch ist eine tolle Sprache, wenn man es richtig lehrt, macht das Lernen auch Spass.
Die Studie von Prof. F. Grin (Uni GE) beweist, dass Mehrsprachigkeit nicht nur e. kult., sondern auch e. wirtsch. Nutzen bringt: « Die Sprachkompetenzen der Bevölkerung steuern demnach ungefähr 10% zum Bruttoinlandprodukt bei. […] Ebenso sind mehrsprachige Personen, wenn die Stellen reduziert werden, zweimal weniger davon betroffen als einsprachige. Die Bedeutung der Sprachkompetenzen ist in seiner Gesamtheit für den Arbeitsmarkt und die Schweizer Wirtschaft durch die Studie klar bestätigt + nun auch beziffert worden. »-> http://www.nfp56.ch/d_projekt.cfm?Projects.Command=details&get=18&kati=4
Sie können noch anfügen, wenn ein Kandidat bei einêm Anstellungsgespräch bei einer Intern. Firma mehrere Sprachen spricht als für die ausgeschriebene Stelle vorgesehen war, ist ehr schon im Top-Ten. Man spührt ebenfalls ein sicheres Auftreten einer sprachgewandten Person. Ich spreche aus Erfahrung.
Mir fällt auf, dass relativ viele Kommentatoren Französisch in der Schule hassen gelernt haben. Verstehe ich gut, ging mir genau so. Heute lebe ich auf der Sprachgrenze und meine Kinder wachsen zweisprachig auf. Ein Geschenk des Himmels. Inzwischen ist mir aber aufgegangen, dass nicht das Französisch (oder Deutsch!) an sich das Problem ist, sonder das grottenschlechte System es zu lernen. Statt Grammatik und Wortschatz zu büffeln um dämliche Sätze wie « Je m’appelle Paul » schreiben zu können, sollten wir reden, reden, reden… und so früh wie möglich! Die Kinder in unserem Dorf machen es vor!
Abweichend vom Theme der Diskussion solls hier ein für allemal gesagt sein: Die erste Fremdsprache ist das Trampolin von welchem man auf die zweite hüpft und so weiter … So gesehen ist Französisch die beste Möglichkeit einen Anfang ins Romanische Sprachgebiet (E/P/IT, Südamerika, Rumänien, Teilweise Afrika) zu finden. Es hilft auch ungemein beim Erlernen des Englischen. Englisch hingegen ist eine Sackgasse, die zwar für sich interessant ist aber nirgendwo hin führt.
Dass hierzulande nur die allerwenigsten vernünftiges Enschglisch sprechen hängt wohl damit zusammen. Parlez français !
Sehr schön gesagt! Félicitations!
Sie wollen also alle Sprachen der Welt erlernen (ca. 6000-7000)? Wie weit sind Sie denn schon wenn man fragen darf? Das toent mir eher nach Sackgasse.
Leider bin ich nicht allzuweit gekommen, aber für F/I/E hats gereicht. Verständigen kann man sich zur Not ja noch mit Händen und Füssen und eben … was aus dem Fundus noch so passt. Deswegen die Idee dass Französisch ein guter Anfangspunkt sein kann. Maîtriser plusieurs langues, c’est acquérir plusieurs vies, devenir plusieurs êtres, s’ouvrir à un autre être, une autre façon d’être, trouver un autre coloration de l’esprit, d’autres pensées, d’autres sens dans les mots, sortir de soi, agrandir son espace intérieur.
Nachtrag: Womit wir wieder beim Thema des Blogs angelangt sind. Wir Schweizer sind einfach doof.
Sich mit Händen und Füssen zu verständigen reicht eben nicht. Im Urlaub wahrscheinlich schon, um was zwischen die Zähne zu kriegen. Aber eine Kommunikation und ein Vertsehen kommt so mit dem Gegenüber nicht zustande. Hierzu braucht es eine gemeinsame Sprache.
an Paul Newspeak : C’est vraiment parfait. C’est l’llustration de notre richesse culturelle. Et il ne faut jamais abandonner.
Bravo encore.
Englisch eine Sackgasse? Wohl kaum! Eine beachtliche Anzahl Erdenbürger spricht englisch. Dass hierzulande wenig vernünftiges Englisch gesprochen wird, ist darauf zurückzuführen, dass man sich unsinnigerweise auf Landessprachen versteift, anstatt vernünftig Englisch zu lernen. Wäre Englisch beispielsweise die gemeinsame Landessprache und würde in den Medien nebst den Landessprachen auch gleichwertig Englisch verwendet, sähe das schon ganz anders aus. Dann würden wir in der Schweiz vielleicht auch beginnen wirklich zusammzuleben, nicht nur nebeneinander.
Englisch ist EINE Weltsprache, aber bei weitem nicht die einzige. In Südamerika (ich habe dort gearbeitet) kommt man mit Englisch gar nicht weit, in Westafrika auch nicht. Französisch und Spanisch sind genauso wichtig wie Englisch. Zudem sprechen mehr Menschen Mandarin als Englisch und in etwa gleich viele Spanisch. In einer Sache gehe ich einig mit Ihnen: Der in der Schweiz gesprochene English Slang wird fälschlicherweise Englisch genannt, aber wirklich gutes Englisch wird nicht von vielen Schweizern gesprochen. Französisch gehört in der Schweiz zur Grundausbildung.
Zur Grundausbildung sollte eben nicht französisch gehören, sondern Englisch. Dies ist weit zweckdienlicher. Wenn richtig Englisch unterrichtet würde und alle Englisch als zweite Landessprache anwenden würden, dann wäre das Englisch der SchweizerInnen auch besser. Ich habe übrigens in England Englisch gelernt.
Mon expérience me dit que c’est une minorité qui possède vraiment deux, voire trois langues nationales. Or, cette minorité, elle va en diminuant! Votre exemple m’agace un peu, parce qu’il met en avant les UDC qui nous ont perverti le discours « national », et je crains un peu que Rime ne cherche ici qu’à se mettre en scène pour des raisons électorales. Le Überbau politique ne changera rien à la situation, il faut créer le besoin de connaître l’autre dans la société civile et au niveau des pme. C’est ce que nous faisons avec Suisse interactive et Forum kmu pme (voir http://www.koeppelpartner.ch).
Leider habe ich nirgens Angaben gefunden wieviele Prozent der Bewohner der französischen und der italienischen Muttersprachler in der Schweiz deutsch als Fremdsprache können?
Weiß das jemand?
nein, aber ich habe dauernd das Gefühl alle können Franz nur ich nicht:)
Das ewige Sprachentheater der Schweiz. Ist man jetzt stolz auf die Viersprachigkeit oder findet man sie unnötig? Das Problem ist doch nicht Mehrheit oder Minderheit, sondern daß Romands selbstverständlich richtiges Deutsch lernen, sprechen und verstehen, während Deutschschweizer genau das ja schon als identitätszerstörend betrachten – und so verkrampft sprechen und schreiben sie es dann ja auch. Wenn man schon hört « unser Hochdeutsch », « Helvetismen », « heimeliger Klang » und ähnlichen Quatsch, muß man sich nicht wundern über Barrieren. Englisch für Alle ist keine Lösung, sondern weniger Stolz.
Englisch für alle ist nur weiter gedacht als Französich für alle Deutschschweizer, wie’s Armando immer wieder propagiert. Der Stolz ist ja gerade das Problem, mindestens in der Deutschschweiz. Der geht soweit, dass mehr Mundart anstatt Standarddeutsch gefordert wird.
Als Auslandschweizer (deutschsprachig) habe ich schon oft am Genfersee Urlaub gemacht. Ich liebe die Schweiz mit ihren Sprachen immer mehr. Das ist doch ein Reichtum, also lernt Französisch, Italienisch und Deutsch. Früher gingen unsere Mädchen nach der Schule für ein Jahr ins Welsche. Die sprechen heute perfekt Französisch. Ich plädiere dafür, dass junge Schweizer nach der Schule für ein Jahr in einen anderen sprachlichen Landesteil fahren. Wir sind eine Willensnation, also müssen wir auch mehrsprachig sein.
Absolument d’accord!
An Alex. Meikirch : Und ich gehöre als Solothurner zu den Ausnahmen, die nicht mehr in die Deutschschweiz kehrten, weil es mir so gut im Kt NE gefallen hat. Ueberall gibt es angenehme Gegenden und Leute. Es ist eine Einstellungs-Angelegenheit.
Ich unterstütze jedoch die Theorie mit dem Welschland-Jahr. Die Jungen wechseln heute mehrmals den Beruf, so ist es ein Vorteil wenn man mehrer Joker im Sack hat. (Sprachen)
Wo ist das Problem? Es gibt ja noch Englisch zu Verständigung, so what?
You mean English slang, as spoken by most Swiss?
No, we do not mean slang. We mean proper English!
Je suis Zurichoise. Je parle Français comme langue etrangére, pas parfait comme vous le voyez mais je me debrouille tout de même. J’aime trés bien le Français et si je suis en Suisse Romande, je me sente trés à laise. Pour dire vrais, l’Allemand du Valais me semble plus étrange que le Français du Valais. Je suis trés fiére de notre diversité culturel et linguistique et un peu désolé que beaucuop de gens n’apprécies pas ce privilége.
Mit dem Aukommeen von Frühenglisch in der Schule haben viele Schweizer Kantone sich vom Deutsch-Romands-Dialog verabschiedet.
Diesen Dialog hat es gar nie gegeben – ausser in akademischen Kreisen und aus eigener Initiative. Aufenthalte im anderssprachigen Landesteil waren einseitig verteilt (viel mehr Deutschschweizer im Welschland als umgekehrt). Der typische Ostschweizer hat mit dem typischen Genevois wenig gemeinsam. Höchstens im Militär gab es Kontakte. Es ist eine Tatsache – bedauerlicherweise -, dass der Deutschschweizer nicht motiviert ist, Französisch zu lernen. Genauso unbeliebt ist Deutsch bei den Romands. Kommt hinzu, dass die Dialektmanie der Bourbines den Welschen als willkommene Ausrede dient.
Die Kontakte beim Militaer sind ziemlich einseitig. In einer gemischtsprachigen RS grenzen sich die – untereinander vorbildliche Kameradschaft pflegenden – Welschen scharf von den Deutschschweizern ab. Pro Massenschlag sind immer zwei Putz- (statt nur Wehr-)sklaven eingeteilt. Waren zwei Welsche eingeteilt, war der ganze Schlag sauber, wenn einer davon anderweitig sekkiert wurde. Fehlte der Deuschschweizer zu einem Welschen, wischte der Welsche fein seuberlich nur die welsche Haelfte.
Erstaunlich ist die Sadistenresistenz der Welschen. Litt der Rest schon an PTBS, besprachen die Welschen i
Ein grosser Fehler, der sich noch rächen wird. Kein Interesse am kulturellen Zusammenhalt der Schweiz.
wir verstaendigen uns mit english
Als vielgereister mehrsprachiger in Zürich aufgewachsener Schweizer, kann ich die meisten Kommentatoren bestätigen. Wenn Schweizer sich im Ausland treffen und verschiedensprachig sind, kommunizieren sie halt auf Englisch wenn nicht anders geht. Ich habe schon gesehen wie zwei Romands in Aegypten lieber mit zwei Deutschschweizern auf Englisch miteinander redeten als mit den Franzosen nebenan. Also Sprachprobleme wie in Belgien, haben wir Schweizer noch lange nicht und ich hoffe es wir nie dazu kommen. Und schliesslich beneiden uns alle anderen europäischen Länder für unseren Sprachenreichtum.
L’anglais,c’est vraiment la dernière des solutions ! Chez les scientifiques c’est même parfaitement snob et dénote la grande paresse des intellectuels du milieu universitaire à communiquer dans leur langue nationale.Au parlement fédéral,il faut être correct : soit la procédure prévoit un rapport en deux langues et on le fait ou bien on change la procédure;mais on la viole pas.Les incivilités commencent toujours au plus haut niveau.Reconnaissons que parler français et suisse allemand est un avantage que j’apprécie tous les jours.Faire l’effort de parler les langues de son pays,rapproche !
Lieber Philippe Sie machen den gleichen Fehler wie die meisten hier im Blog. Sie vergessen die italienisch und rätoromanisch sprechenden SchweizerInnen. Englisch ist eben NICHT die Letzte aller Lösungen. Es ist DIE Lösung, nicht nur für die Schweiz, sondern noch viel mehr für Europa.
Mark Keller : Sie sollten mal den Franzosen Englisch – Kurse verkaufen und mir dann einen Rapport mit der Erfolgsquote unterbreiten. Es wäre vielleicht dann interessant weiter zu diskutiern !
Immerhin ist Französisch nicht nur eine Landessprache, sie ist auch international von Bedeutung. Bei Italienisch ist das viel weniger der Fall – jeder Tessiner oder Italienischbündner weiss das und lernt deshalb Deutsch oder Französisch, oder beides. Ein Rätoromane muss zweisprachig sein, darf aber nicht erwarten, dass andere Schweizer seine Muttersprache lernen. Über die Schweiz hinaus hat Rätoromanisch keinerlei Bedeutung. Es ist eine Sprache, die in einigen Jahrzehnten ausgestorben sein wird. Das mag man bedauern, aber jährlich sterben Dutzende von Sprachen aus. Die Welt verändert sich eben
Auch im Friaul wird Rätoromanisch gesprochen. Dies liegt in Italien.
Das eigentliche Problem ist ja, dass die Damen und Herren Nationalräte im Plenum eine Übersetzung bekommen, mais dans les commissions, ça manque. Und so rede man aneinander vorbei, teilweise il y avait deux discussions en parallel en deux langues, tönt es mit vorgehaltener Hand aus dem Bundeshaus. – C’est bien difficile de garder une compétance de langue sans contanct respectif und es macht es nicht viel leichter, dass man in der Romandie Hochdeutsch und in der Deutschschweiz französisches Französisch (quatre-vingt-dix-huit?) lernt. Vielleicht fangen wir bei einer gemeinsamen Handschrift an.
Das Geheimnis der Vielsprachigkeit der Schweiz besteht darin, dass die Sprachen territorial kompakt in Kantonen oder Kantonsteilen konzentriert sind. Dazu sind die Deutschschweizer generell tolarant. Was ich mir aber dingend wünsche ist, dass der politische Röschtigraben endlich politisch aufgearbeitet wird. Am Fernsehen, am Radio und in der Presse. Dringend!!
So noch eines – Französisch ist eine sehr schöne Sprache.
Französich, Italienisch, Romanisch, Deutsch und Englisch sind für mich vertraute Sprachen. Wenn Leute im ÖV in diesen Sprachen sprechen stört es mich nicht, da ich einige Fetzen immer verstehe. Balkanische und tiefste Afrikanische Dialekte dagegen empfinde ich als Fremd und es stört mich wenn ich nicht einordnen kann worüber diese Leute sprechen.
« Je t’aime » toent gewinnenden als « Ich liebe Dich ». « Gardavufix » aber weit weiniger ueberzeugend als « Achttung sttett ».
Englisch deckt den ganzen Bereich besser ab, hat mit Abstand die einfachste Grammatik, und man(n) kommt damit weltweit am weitesten. Zusammen mit seiner weltweiten Verbreitung bietet es sich als erste Fremdprache an. Zur leichtesten Kommunikation mit Andersamtssprachigen in der Schweiz und – fuer Leute, die sich das Reisen noch leisten koennen – weltweit. Englisch sollte – und das auch nur in den Elitestufen – einzige obligatorische Fremsprache sein….
An Freiherr: DasThema hier lautet wie Romands und Deutschschweizer besser kommunizieren können. Wir müssen zuerst das sprachliche Verständnis in der Schweiz lösen, bevor wir uns weltweit mit Englisch verständigen wollen. Ich habe kein Problem mit dem Englisch weltweit, aber in der Schweiz darf man das nicht von der Bevölkerung verlangen. Ich finde es gehöre zur Akzeptanz des anderen Landesteiles seine geschriebene Sprache zu erlernen. Sie sollten vielleicht mal Sarkozy fragen, was er von Ihrem Vorschlag halten würde, auf Eliten-Stufe nur Englisch zu sprechen.
Abgesehen davon dass in der Schweiz Deutsch und Franzoesisch schon teilweise anglifiziert sind, ist Englisch viel leichter zu lernen als Franzoesisch oder gar Deutsch. Franzoesisch waere als Weltsprache galanter; sogar die Berner Patrizier hatten Franzoesisch geschrieben (oder schreiben lassen), als es noch eine Schande war, Lohn nehmen zu muessen, statt keinen Lohn nehmen zu koennen. Gynokratisch inkorrekt gestatte ich mir zu bemerken, dass viele logisch, matematisch und fisikalisch hochintelligente Knaben fremdsprachliche Versager sind, denen mit Zwang zu mehr als Englisch das Fortkommen gek
Dans « Les bourbinnes » Marie Therese Porchet dit tout ce qu’il y a à dire
http://www.youtube.com/watch?v=mm0ygml2Ya4&feature=related
Antwort an Mark Keller : Es geht doch nicht dass jemand kommt und sagt an den Tessinern oder den Romands sie müssen Englisch lernen. Hinter einer Sprache in der Schweiz besteht eine gewisse Identität, die in diesem Fall verloren gehen würde. Dass man den Schweizern eben nicht Europa-Konzeption leicht verkaufen kann sollten Sie hier verstehen.
Ich bin perfekt bilingue D-FR, muss jedoch an meiner Arbeit ebenfalls Englisch und Italienisch anwenden. Ich tue es sehr gerne. Abser Druck auf die Bevölkerung machen geht nicht.
Ich, Walliserin habe in der Schule 6 Jahre Französisch gelernt und 1 Jahr Englisch. War als Au-Pair französischen Tel und habe danach 3 Jahre im Franz. Teil gearbeitet. Danach weiter in die « Üsserschwiz » und ich habe festgestellt, dass Französisch zwar schon im Oberwallis nicht sonderlich beliebt ist, aber je weiter weg von Bern umso schlimmer. Ich habe übrigens ohne Frühenglisch Shakespears Sprache erlernt, flessend.
Ich habe mir stets gewünscht mein Französich öfters nutzten zu können und es ärgert mich stets wahnisnnig wenn zwei Schweizer auf Englisch miteinader reden müssen – and you?
an Silana: Ich bin absolut Ihrer Meinung. Wir sind in der Schweiz und sollen die Sprach-Kulturen pflegen. Es gehört zur Toleranz und Akzeptanz des Romands mit dem Deutschschweizer Schritdeutsch zu sprechen. Dasselbe gilt für den Deutschschweizer der soll auch korrekt Französisch lernen. Das gegenseitige Entgegenkommen ist die Garantie für ein harmonisches Bestehen der Multikultur-Schweiz. Wenn dann berufliche Bedingungen verlangen, dass man international Englisch anwenden muss – einverstanden. Aber unter Bevölkerung Englisch aufzudringen ist komplett falsch.
Ja und jetzt? Du scheinst ein gewisses Flair für Sprachen zu haben. Ich hatte ebenfalls 6 Jahre Französisch und auch kurze Sprachaufenthalte in Frankreich, dennoch habe ich nie den Zugang zu dieser Sprache gefunden. Englisch dagegen beherrsche ich. Und wenn mein compatriote die gleichen Probleme mit Deutsch hat, dann sprechen wir halt Englisch miteinander, auch wenn es Dich wahnsinnig ärgert.
Knaben, deren Eltern von den Lohnsklavenhaltern zwischen den Sprachregionen hin und her getschuttet werden, leiden immens am aufgezwungenen Bilingismus. Als « Boches » und « Staufiffres » bis aufs Blut gequelt profitieren sie auch nicht – wie fremdsprachiger Lohndoempernachzug – von Sonderfoerderung. Haben Sie sich an welschen jmenfutismus und eine Charakter- statt Sklavenschrift gewoehnt, werden Sie zurueck im germanofonen Sprachraum brutalst mit Bibliotheken von Schnuerlischriftuebungsheften und einer nur Sprachgenies zugaenglichen Grammatik weiter PTBS-iert. Wer eine englischsprachge Frau frequ
Die Politiker machen laufend Druck auf unsere SchülerInnen. Als Schüler kann ich nicht bestimmen, welche Sprache ich lernen möchte. Als Schüler muss geschluckt werden, was Politiker wollen. Und es ist purer Zufall, ob es Frühenglisch oder Frühfranzösich ist, je nach dem Pech des Wohnortes. Ich sage ALLE in der Schweiz lebenden Personen sollten fliessend Englisch sprechen können!
Der Ueberdruck waechst laufend, sehr schlimm bei fuer Nichtuebersetzern und Nichtdolmetschern ueberfuessigem Fremsprachenzwang und noch schlimmer bei der Hirnwaesche mit ideologischer Geschichtsklitterung und Sexfehlleitung statt neutraler Staats- und saeckularer Familienkunde. Dafuer wird die Leibesertuechtigigung und die Ausbildung zur Orientierung sowie dem Leben in der der freien Natur gekeult….
Überflüssigere Zwangsverstanstaltungen als Leibesertüchtigung und « Ausbildung zur Orientierung » (Hä?) sowie Leben in der freien Wildbahn fallen Ihnen wohl nicht ein? Neutrale Staatskunde in der staatlichen Schule… ein schlechter Witz, oder?
Ritalin und seelische Verkrueppelung der Knaben auf Schul-, Lohnsklaverei- und Familienknasttauglichkeit – wenn moeglich mit ueberwachtem Transport zur und von der Schule – passt wohl besser ins Konzept der Gynokratinnen und ihrer Lila Pudel.
Es sollte zumindest jedem Knaben freigestellt werden, auch gegen den Willen der Eltern oder Verdingkindsklavenhalter den Pfadfindern beizutreten und anzugehoeren….
J’ai peur que le béton remplace les röstis! La Suisse romande deviene de plus en plus un bastion gauchiste dirigé par des technocrates gauchistes. Enfin rien de bon! En plus la cultures et surtout l’esprit français s’installe et ça aussi n’annonce rien de bon. Tout le monde devraient faire des études jusqu’à 40 ans et après obtenir une retraite à 50 ans! Une étude ne vient elle pas de dire que les doctorants étaient de bons clients des psy! Une nouvelle lutte des classe s’installe, les avec et les sans études! Attendons mai 201x
Es bleibt nur zu hoffen, dass beim « neuen Klassenkampf » sich nicht die verschiedenen Erkrampfer und Sicherer des BSP weiterhin aufeinanderhetzen lassen, sondern sich endlich gegen den erwerbsfaulen Kapital- und Sozialschmarotz verbuenden….
Wäre Nationalrat Rime aufgestanden um zu beanstanden, dass Herr Segmüller seinen « französischsprachigen » Rapport auf deutsch macht, hätte recht gehabt und richtig gehandelt. Wer aber, wie Herr Rime, die politischen Gespräche mit der anderen Sprachgemeinschaft boykottieren will und nicht bereit ist, im gemeinsamen konstruktiven Dialog die Probleme anzusbrechen und zu lösen ,verletzt urschweizerische Grundwerte wie Mehrsprachigkeit. Selbst wenn – oder gerade weil- er in der Sache Recht hatte, war eine Boykottdrohung keine Lösung.
Pas honnête tout cela. Voyez ce Suisse allemand qui apprend le français tout petit, à l’école. Ce qu’il a appris sera toujours valable.
A 10, 20, 30 ou 50 ans. Le petit welsche,lui, apprend une langue qu’il ne reconnaitra jamais en écoutant d’autres garçonnets ou fillettes germaniques ou en voulant converser avec eux. le moindre mot est faux. Les langages (car il n’y en a pas qu’un seul) sont tellement différents de ce qu’ils apprennent. Il est temps de comprendre le problème. Que le Suisse allemand et ses multiples variantes reste dans le domaine privé. Comme dans le Tyrol italien.